Histoire

Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.
Celui qui avait prédit la décomposition de la sphère soviétique se penche sur la décomposition de la France et de l’Europe. Son bilan n’est pas bon.

Jean-Marie Le Pen s’apprête à publier ses mémoires. À cette occasion, il se confie au micro de Boulevard Voltaire.

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.

Un adolescent chrétien vient d’être assassiné par ses « camarades » musulmans. Son crime ? Avoir refusé d’apostasier.

Cet été, Boulevard Voltaire a rencontré chez lui Jean Lassalle, ancien candidat à la présidence de la République.

Un tel terrorisme est autrement plus inquiétant que celui du siècle dernier…
Ça commence par la SNCF, puis ce sera la RATP, puis EDF, puis la police nationale, puis les infirmières, et où cela s’arrêtera-t-il ?

La politique d’Emmanuel Macron ne fixe pas un cap de fermeté afin de limiter l’immigration massive.

Le Venezuela aujourd’hui, hier l’URSS, Robespierre toujours et la Terreur avec…
La « dédiabolisation » est pour le FN une chimère.

Le processus de renoncement à la culture ou à la mémoire identitaires atteint aujourd’hui le sommet du grotesque.

Emmanuel Macron précipite la France dans « l’événementiel », quitte à nous démontrer à jamais la vanité du système qui l’a porté au pouvoir.

Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.

L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.

Les jeunes Français n’ont plus besoin d’exprimer leur besoin de s’engager, ils agissent !

Chez Libération, pour la date anniversaire de la mort de Lady Diana, l’occasion est trop belle de se payer une ex-tête couronnée !

On ne se lasse pas de faire soi-même la synthèse de tout ce que Henri Leclerc égrène comme autant de pépites…
L’État a le devoir de protéger ses ressortissants, y compris par les armes si nécessaire.
On ne présente plus Jacques Attali, sorte de Iago de la Ve République depuis François Mitterrand…

Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.
Ne serait-il pas enfin l’heure d’acter le décès du mariage-mirage conçu par M. Juppé ?

Je regarde toujours Paris avec mes yeux d’enfant…

Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.
Celui qui avait prédit la décomposition de la sphère soviétique se penche sur la décomposition de la France et de l’Europe. Son bilan n’est pas bon.

Jean-Marie Le Pen s’apprête à publier ses mémoires. À cette occasion, il se confie au micro de Boulevard Voltaire.

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.

Un adolescent chrétien vient d’être assassiné par ses « camarades » musulmans. Son crime ? Avoir refusé d’apostasier.

Cet été, Boulevard Voltaire a rencontré chez lui Jean Lassalle, ancien candidat à la présidence de la République.

Un tel terrorisme est autrement plus inquiétant que celui du siècle dernier…
Ça commence par la SNCF, puis ce sera la RATP, puis EDF, puis la police nationale, puis les infirmières, et où cela s’arrêtera-t-il ?

La politique d’Emmanuel Macron ne fixe pas un cap de fermeté afin de limiter l’immigration massive.

Le Venezuela aujourd’hui, hier l’URSS, Robespierre toujours et la Terreur avec…
La « dédiabolisation » est pour le FN une chimère.

Le processus de renoncement à la culture ou à la mémoire identitaires atteint aujourd’hui le sommet du grotesque.

Emmanuel Macron précipite la France dans « l’événementiel », quitte à nous démontrer à jamais la vanité du système qui l’a porté au pouvoir.

Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.

L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.

Les jeunes Français n’ont plus besoin d’exprimer leur besoin de s’engager, ils agissent !

Chez Libération, pour la date anniversaire de la mort de Lady Diana, l’occasion est trop belle de se payer une ex-tête couronnée !

On ne se lasse pas de faire soi-même la synthèse de tout ce que Henri Leclerc égrène comme autant de pépites…
L’État a le devoir de protéger ses ressortissants, y compris par les armes si nécessaire.
On ne présente plus Jacques Attali, sorte de Iago de la Ve République depuis François Mitterrand…

Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.
Ne serait-il pas enfin l’heure d’acter le décès du mariage-mirage conçu par M. Juppé ?

Je regarde toujours Paris avec mes yeux d’enfant…
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