Histoire
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »
Fini le temps des maquerelles, des bordels militaires de campagne et des joies du dimanche après-midi…
Revenons, avec un peu de recul, sur la polémique provoquée par le discours de Jean-Luc Mélenchon, le 23 septembre, à Paris.
En Allemagne, la CDU-CSU, le parti d’Angela Merkel, recule, mais avec un tiers des voix, il demeure le premier parti du pays.

Ce serait bien si l’univers dans toutes ses facettes obéissait à nos désirs et correspondait à notre vision paresseuse.
S’attaquer à l’esclavage moderne est bien plus difficile que de jouer avec la culpabilité des anciens pays colonisateurs.

Tiens, M. Macron vient de gagner cinq points de popularité en septembre !

Non content de faire preuve d’anachronisme, M. Tin a la mémoire bien sélective !

L’antigaullisme systématique, viscéral, pour ne pas dire rabique, que certains médias prêtent au Front national peut, lui aussi, prêter à rire.
Cédric Bernasconi a pu en toute liberté exprimer sa violence débridée parce qu’un psychiatre n’a pas fait son travail.

Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
« Nous partageons avec Nicolas Dupont-Aignan la volonté d’élaborer l’offre politique que les Français attendent. »

Toute l’équipe chargée de l’infrastructure pour le référendum du 1er octobre se trouve désormais sous les verrous.
Guillaume Bernard analyse le départ de Florian Philippot.
Pour Robert Ménard, le départ de Florian Philippot est une bonne nouvelle.

Juger des événements historiques à l’aune des valeurs d’aujourd’hui est évidemment une pure bouffonnerie.

Tous les 21 septembre, nous sommes encore quelques-uns à travers le monde à commémorer la mort du « divin Maro ».

Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.

On comprendra pourquoi à force j’ai eu envie de défendre Stéphane Bern.

Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?
Stéphane Bern fait l’objet d’attaques d’une poignée d’historiens qui l’accusent d’être un « historien de garde ».
De nos jours jouer les Cassandre n’est pas très difficile ! Il suffit de dire la vérité.

Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
Ne reste plus qu’à célébrer celle du slip, mais on ne voudrait pas non plus manger le pain de fesses de Dominique Strauss-Kahn.

Les Éditions Nathan nous proposent dans un nouveau manuel de rentrée 2017 un exercice quelque peu étonnant.
Mme Calmels est là pour câliner et ramener toutes les brebis effrayées par le grand méchant loup Sens commun.

Stéphane Bern, s’il est télégénique lorsqu’il est bien maquillé, semble un piètre historien quand il n’a pas ses fiches.
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »
Fini le temps des maquerelles, des bordels militaires de campagne et des joies du dimanche après-midi…
Revenons, avec un peu de recul, sur la polémique provoquée par le discours de Jean-Luc Mélenchon, le 23 septembre, à Paris.
En Allemagne, la CDU-CSU, le parti d’Angela Merkel, recule, mais avec un tiers des voix, il demeure le premier parti du pays.

Ce serait bien si l’univers dans toutes ses facettes obéissait à nos désirs et correspondait à notre vision paresseuse.
S’attaquer à l’esclavage moderne est bien plus difficile que de jouer avec la culpabilité des anciens pays colonisateurs.

Tiens, M. Macron vient de gagner cinq points de popularité en septembre !

Non content de faire preuve d’anachronisme, M. Tin a la mémoire bien sélective !

L’antigaullisme systématique, viscéral, pour ne pas dire rabique, que certains médias prêtent au Front national peut, lui aussi, prêter à rire.
Cédric Bernasconi a pu en toute liberté exprimer sa violence débridée parce qu’un psychiatre n’a pas fait son travail.

Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
« Nous partageons avec Nicolas Dupont-Aignan la volonté d’élaborer l’offre politique que les Français attendent. »

Toute l’équipe chargée de l’infrastructure pour le référendum du 1er octobre se trouve désormais sous les verrous.
Guillaume Bernard analyse le départ de Florian Philippot.
Pour Robert Ménard, le départ de Florian Philippot est une bonne nouvelle.

Juger des événements historiques à l’aune des valeurs d’aujourd’hui est évidemment une pure bouffonnerie.

Tous les 21 septembre, nous sommes encore quelques-uns à travers le monde à commémorer la mort du « divin Maro ».

Comme La Vieille Fille de Balzac, la vraie droite est riche d’espérances pour qui saura la conquérir.

On comprendra pourquoi à force j’ai eu envie de défendre Stéphane Bern.

Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?
Stéphane Bern fait l’objet d’attaques d’une poignée d’historiens qui l’accusent d’être un « historien de garde ».
De nos jours jouer les Cassandre n’est pas très difficile ! Il suffit de dire la vérité.

Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
Ne reste plus qu’à célébrer celle du slip, mais on ne voudrait pas non plus manger le pain de fesses de Dominique Strauss-Kahn.

Les Éditions Nathan nous proposent dans un nouveau manuel de rentrée 2017 un exercice quelque peu étonnant.
Mme Calmels est là pour câliner et ramener toutes les brebis effrayées par le grand méchant loup Sens commun.

Stéphane Bern, s’il est télégénique lorsqu’il est bien maquillé, semble un piètre historien quand il n’a pas ses fiches.
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