Histoire

Après la dérive du pouvoir, place aux produits dérivés.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?

Ce harcèlement permanent infligé à la littérature semble définitivement ignorer le fameux proverbe « autre temps, autres mœurs ».

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.

Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.

Le 30 juillet prochain, les 5,4 millions d’électeurs du pays seront appelés à voter pour les élections présidentielles, législatives et municipales.

C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.

Nouveau coup dur après l’arrêt, quelques années plus tôt, de L’ombre d’un doute, sur France 3.

Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.

Joffrin sait-il si Libération a parlé de l’élection de Donald Trump ? Il faudra lui poser la question.

Ce peuple dont le cœur saigne pour les blessures infligées à sa langue, à son histoire et à son identité, va-t-il se laisser impunément faire ?
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.

Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?

Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Marine Le Pen vient d’adresser une lettre ouverte à Nicolas Dupont-Aignan l’appelant à une liste commune aux européennes sur laquelle tous les deux se mettraient

Marion Maréchal vient d’annoncer le lancement de son école, l’ISSEP. Pour autant, on ne la voit pas « partout » : elle dit préférer, avec le relais

Sept minutes pour demander aux députés les pleins pouvoirs pour six mois.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
Ne pas penser systématiquement comme les autres, fussent-ils la majorité, cela veut dire simplement que l’on pense librement.

Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !

Ils pensent que les peuples asservis ont abandonné tout instinct de révolte et de défense. Pourtant, qu’ils se méfient !

Les coupables de cette rupture de transmission sont désormais au pouvoir. Ce sont les enfants de mai 68 !
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette, une enfance heureuse, et en réparation d’un terrible génocide.
En attendant, si vous passez par Bordeaux, dégustez des cannelés : personne ne contestera leur nom – à moins qu’on n’en conteste l’orthographe…

Après la dérive du pouvoir, place aux produits dérivés.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?

Ce harcèlement permanent infligé à la littérature semble définitivement ignorer le fameux proverbe « autre temps, autres mœurs ».

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.

Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.

Le 30 juillet prochain, les 5,4 millions d’électeurs du pays seront appelés à voter pour les élections présidentielles, législatives et municipales.

C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.

Nouveau coup dur après l’arrêt, quelques années plus tôt, de L’ombre d’un doute, sur France 3.

Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.

Joffrin sait-il si Libération a parlé de l’élection de Donald Trump ? Il faudra lui poser la question.

Ce peuple dont le cœur saigne pour les blessures infligées à sa langue, à son histoire et à son identité, va-t-il se laisser impunément faire ?
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.

Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?

Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Marine Le Pen vient d’adresser une lettre ouverte à Nicolas Dupont-Aignan l’appelant à une liste commune aux européennes sur laquelle tous les deux se mettraient

Marion Maréchal vient d’annoncer le lancement de son école, l’ISSEP. Pour autant, on ne la voit pas « partout » : elle dit préférer, avec le relais

Sept minutes pour demander aux députés les pleins pouvoirs pour six mois.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
Ne pas penser systématiquement comme les autres, fussent-ils la majorité, cela veut dire simplement que l’on pense librement.

Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !

Ils pensent que les peuples asservis ont abandonné tout instinct de révolte et de défense. Pourtant, qu’ils se méfient !

Les coupables de cette rupture de transmission sont désormais au pouvoir. Ce sont les enfants de mai 68 !
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette, une enfance heureuse, et en réparation d’un terrible génocide.
En attendant, si vous passez par Bordeaux, dégustez des cannelés : personne ne contestera leur nom – à moins qu’on n’en conteste l’orthographe…
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