Histoire

Zeus soit loué, la Grèce n’en est pas arrivée à cette extrémité !

Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
Édouard Philippe, en visite au Vietnam, a rendu un hommage appuyé à Hô Chi Minh. Réaction au micro de Boulevard Voltaire du colonel Jacques Hogard.

« Bourgeoise » ou « prolétarienne », la gauche adula jadis Mao Tsé-Tung.
C’est honorer un immense écrivain et raviver un amour de la France si chèrement payé.

L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».

Plus de 80 ans après la fin de la guerre civile, les revanchards du peuple de gauche ne baissent pas les bras…

À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.

La « question alsacienne » sera maladroitement gérée à partir de Paris, contraignant les Alsaciens à des démarches parfois compliquées et fastidieuses, souvent humiliantes.
À Verdun, nous avons eu droit à une espèce de parodie. Les soldats morts à Verdun ne méritaient pas cela.

Non, Monsieur le Président, la France n’a pas à rougir de sa victoire face à la réconciliation européenne.

Le 10 novembre, à Strasbourg, sera proclamée la déchéance du pouvoir impérial au profit de la « République d’Alsace » dont la devise sera « Ni Allemands, ni Français, ni neutres »…

Jean Sévillia s’est, comme à son habitude, attelé à démêler le vrai du faux, le bon grain historique de la vérité de l’ivraie politique de la propagande.

« Savoir où ils vivaient, quel âge ils avaient », dit le maire, ne les intéresse pas, ne les émeut pas mais, au contraire, provoque en eux un rejet haineux.
Les cloches font entendre, par-delà les âges, l’âme de la France.

Cent ans après la fin de la Grande Guerre, la France franchouillarde acceptera-t-elle de considérer que l’Alsace et la Moselle ont eu une histoire différente jusqu’en 1918 ?

C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.

Sous Hollande, on piétinait les tombes des poilus. Sous Macron, on piétine la mémoire.


Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.

En 2015, une fatwa émise par un imam de Constantine a qualifié d’acte d’idolâtrie le fait de boire à cette fontaine.

En Loire-Atlantique, cette fois, « la communauté éducative » de Carquefou demande à débaptiser son lycée. Le nom d’Honoré d’Estienne d’Orves ne lui convient pas.

Que reste-t-il, aujourd’hui, de ces marcheurs dont l’action, dans l’histoire de l’immigration, peut être considérée comme le premier « coup de gueule » des jeunes de banlieues de la deuxième génération d’immigrés ?

En fait, une telle proposition irait jusqu’au bout… de la déconstruction de la Ve République.

Oui, François Mitterrand a été le plus grand Président de ces quarante dernières années !
Pour Boulevard Voltaire, Philippe de Villiers présente Le Mystère Clovis. Dans ce livre écrit à la première personne, il donne la parole au roi mérovingien

Emmanuel Macron aurait eu cet ouvrage entre les mains dès 2017, peut-être ne serait-il pas allé dire des sottises en Afrique.

Emmanuel Macron a profité de l’occasion offerte par le soixantième anniversaire de la Constitution de la Ve République pour se glisser dans l’uniforme.

Zeus soit loué, la Grèce n’en est pas arrivée à cette extrémité !

Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
Édouard Philippe, en visite au Vietnam, a rendu un hommage appuyé à Hô Chi Minh. Réaction au micro de Boulevard Voltaire du colonel Jacques Hogard.

« Bourgeoise » ou « prolétarienne », la gauche adula jadis Mao Tsé-Tung.
C’est honorer un immense écrivain et raviver un amour de la France si chèrement payé.

L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».

Plus de 80 ans après la fin de la guerre civile, les revanchards du peuple de gauche ne baissent pas les bras…

À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.

La « question alsacienne » sera maladroitement gérée à partir de Paris, contraignant les Alsaciens à des démarches parfois compliquées et fastidieuses, souvent humiliantes.
À Verdun, nous avons eu droit à une espèce de parodie. Les soldats morts à Verdun ne méritaient pas cela.

Non, Monsieur le Président, la France n’a pas à rougir de sa victoire face à la réconciliation européenne.

Le 10 novembre, à Strasbourg, sera proclamée la déchéance du pouvoir impérial au profit de la « République d’Alsace » dont la devise sera « Ni Allemands, ni Français, ni neutres »…

Jean Sévillia s’est, comme à son habitude, attelé à démêler le vrai du faux, le bon grain historique de la vérité de l’ivraie politique de la propagande.

« Savoir où ils vivaient, quel âge ils avaient », dit le maire, ne les intéresse pas, ne les émeut pas mais, au contraire, provoque en eux un rejet haineux.
Les cloches font entendre, par-delà les âges, l’âme de la France.

Cent ans après la fin de la Grande Guerre, la France franchouillarde acceptera-t-elle de considérer que l’Alsace et la Moselle ont eu une histoire différente jusqu’en 1918 ?

C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.

Sous Hollande, on piétinait les tombes des poilus. Sous Macron, on piétine la mémoire.


Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.

En 2015, une fatwa émise par un imam de Constantine a qualifié d’acte d’idolâtrie le fait de boire à cette fontaine.

En Loire-Atlantique, cette fois, « la communauté éducative » de Carquefou demande à débaptiser son lycée. Le nom d’Honoré d’Estienne d’Orves ne lui convient pas.

Que reste-t-il, aujourd’hui, de ces marcheurs dont l’action, dans l’histoire de l’immigration, peut être considérée comme le premier « coup de gueule » des jeunes de banlieues de la deuxième génération d’immigrés ?

En fait, une telle proposition irait jusqu’au bout… de la déconstruction de la Ve République.

Oui, François Mitterrand a été le plus grand Président de ces quarante dernières années !
Pour Boulevard Voltaire, Philippe de Villiers présente Le Mystère Clovis. Dans ce livre écrit à la première personne, il donne la parole au roi mérovingien

Emmanuel Macron aurait eu cet ouvrage entre les mains dès 2017, peut-être ne serait-il pas allé dire des sottises en Afrique.

Emmanuel Macron a profité de l’occasion offerte par le soixantième anniversaire de la Constitution de la Ve République pour se glisser dans l’uniforme.
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