Histoire

Plus d’un demi-siècle s’est écoulé depuis l’indépendance de l’Algérie. Pourtant, le sujet est toujours aussi explosif. Il est, du reste, de façon plus ou moins

C’est la course à l’agrandissement qui commence et cette nouvelle politique sonne le glas du modèle d’exploitation familiale, tradition multiséculaire de l’agriculture française.
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.

Les propos de Laurent Wauquiez assimilant la possible légalisation de la PMA pour toutes à l’eugénisme pratiqué par les nazis ont fait beaucoup réagir. Par méconnaissance ?

Le nouveau Panthéon national ne doit plus être composé que de Parfaits.

À l’occasion de son dernier ouvrage Paris Napoléon(s) : Guide du Paris des deux empereurs, l’historien Dimitri Casali répond aux questions de Boulevard Voltaire devant

C’est une première qu’une promotion de Saint-Cyr soit ainsi « débaptisée » !

Depuis lors, l’eau a coulé sous les ponts de la Save et de la Seine… Belgrade, décorée de la Légion d’honneur, fut bombardée par la France en 1999.

La France a gagné la guerre et obtenu la paix car elle savait qui était son ennemi. Aujourd’hui, notre ennemi n’est pas nommé, c’est donc la défaite assurée…

Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».

Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.

À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien

D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un

Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.

Aujourd’hui, il m’apparaît si loin – cent ans – mais si près.

Voici des hommes appelés au devoir et qui l’ont courageusement embrassé, dépouillés de leur bravoure et réduits à l’état de pantins.

Il ne reste plus qu’à diffuser le message aux unités alliées et ennemies pour un cessez-le-feu à « la 11e heure du 11e jour du 11e mois ».

Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».

La France ne doit pas se noyer dans des commémorations incessantes. Elle doit, moins encore, s’enliser dans des polémiques superflues à propos du passé.

À 21 heures, tout est prêt pour signer l’armistice ! Mais les représentants allemands tardent à le parapher. Foch laisse paraître quelques signes d’agacement : « S’ils ne se décident pas, je lance l’attaque en Lorraine ! »

Pourquoi ouvrir la polémique ? Jupiter seul le sait.

Les généraux allemands ainsi que les gouvernements alliés estiment que le Kaiser Guillaume est un obstacle à l’armistice.

En Alsace, sur les monuments aux morts de 1914-1918, ne figure nulle inscription « Morts pour la patrie » mais, de façon plus laconique, « À nos morts » ou « À nos enfants »…

Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…

En ce 7 novembre 1918, c’est le 171e régiment d’infanterie qui a l’honneur d’accompagner l’arrivée des plénipotentiaires allemands en vue d’un prochain armistice.

Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?

Les célébrants, derrière les masques de circonstance, n’auront qu’une hâte : oublier cette guerre mondiale qui sort aujourd’hui de leur entendement.

…et lui remémorer ses promesses de campagne.

Plus d’un demi-siècle s’est écoulé depuis l’indépendance de l’Algérie. Pourtant, le sujet est toujours aussi explosif. Il est, du reste, de façon plus ou moins

C’est la course à l’agrandissement qui commence et cette nouvelle politique sonne le glas du modèle d’exploitation familiale, tradition multiséculaire de l’agriculture française.
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.

Les propos de Laurent Wauquiez assimilant la possible légalisation de la PMA pour toutes à l’eugénisme pratiqué par les nazis ont fait beaucoup réagir. Par méconnaissance ?

Le nouveau Panthéon national ne doit plus être composé que de Parfaits.

À l’occasion de son dernier ouvrage Paris Napoléon(s) : Guide du Paris des deux empereurs, l’historien Dimitri Casali répond aux questions de Boulevard Voltaire devant

C’est une première qu’une promotion de Saint-Cyr soit ainsi « débaptisée » !

Depuis lors, l’eau a coulé sous les ponts de la Save et de la Seine… Belgrade, décorée de la Légion d’honneur, fut bombardée par la France en 1999.

La France a gagné la guerre et obtenu la paix car elle savait qui était son ennemi. Aujourd’hui, notre ennemi n’est pas nommé, c’est donc la défaite assurée…

Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».

Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.

À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien

D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un

Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.

Aujourd’hui, il m’apparaît si loin – cent ans – mais si près.

Voici des hommes appelés au devoir et qui l’ont courageusement embrassé, dépouillés de leur bravoure et réduits à l’état de pantins.

Il ne reste plus qu’à diffuser le message aux unités alliées et ennemies pour un cessez-le-feu à « la 11e heure du 11e jour du 11e mois ».

Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».

La France ne doit pas se noyer dans des commémorations incessantes. Elle doit, moins encore, s’enliser dans des polémiques superflues à propos du passé.

À 21 heures, tout est prêt pour signer l’armistice ! Mais les représentants allemands tardent à le parapher. Foch laisse paraître quelques signes d’agacement : « S’ils ne se décident pas, je lance l’attaque en Lorraine ! »

Pourquoi ouvrir la polémique ? Jupiter seul le sait.

Les généraux allemands ainsi que les gouvernements alliés estiment que le Kaiser Guillaume est un obstacle à l’armistice.

En Alsace, sur les monuments aux morts de 1914-1918, ne figure nulle inscription « Morts pour la patrie » mais, de façon plus laconique, « À nos morts » ou « À nos enfants »…

Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…

En ce 7 novembre 1918, c’est le 171e régiment d’infanterie qui a l’honneur d’accompagner l’arrivée des plénipotentiaires allemands en vue d’un prochain armistice.

Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?

Les célébrants, derrière les masques de circonstance, n’auront qu’une hâte : oublier cette guerre mondiale qui sort aujourd’hui de leur entendement.

…et lui remémorer ses promesses de campagne.
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