Histoire

Un livre d’histoire clair et passionnant, aussi peu nostalgique que riche d’enseignements…

Avant 1685, en matière d’esclavage, tout était permis puisque rien n’était interdit. Alors, Colbert rédigea le Code noir que Louis XIV signa.

Les infatigables déboulonneurs de statues vont certainement s’intéresser aux descendants de Colbert, de Napoléon, de Ferry. Et de Faidherbe, qu’ils ont sorti de l’oubli où il dormait confortablement.

Alors, laissons en paix ce pauvre Jacques Cœur dont le parcours n’a strictement rien à voir avec ce que l’auteur du tag voudrait supposer et suggérons à ce dernier de prendre le temps de lire et de comprendre l’Histoire.

À 18 h 50, le général Keitel appose sa signature au bas de la convention… Le général Charles Huntziger signe à son tour. Hitler peut jubiler.

Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !

Honneur à ceux qui ont donné leur sang pour que soient respectés les ordres reçus, à l’amiral pour avoir donné l’exemple et s’être imposé à l’ennemi avant d’être fait prisonnier de guerre.

La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?

De courageux révolutionnaires ont « bâché » de noir, le jeudi 18 juin, la statue du maréchal Gallieni (1849-1916) qui se dresse place Vauban, dans le VIIe arrondissement de Paris.

Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.

C’est l’anniversaire de Waterloo qui met un terme définitif au Premier Empire et c’est ce jour, précisément, que notre Président remet la Légion d’honneur à la ville de Londres…

Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.

C’est cet esprit nourri de ce « riche legs de souvenirs », comme l’écrivait Renan, qui doit nous animer.

Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.

Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.

Dijon, finalement, évoquera tout au plus, pour beaucoup, le pot de moutarde qui traîne au fond du frigo entre une bouteille de Coca et un lot de merguez.

Déboulonner des statues ou en ériger de nouvelles… Le mouvement racialiste souhaite la disparition des représentations de Colbert, accusé d’esclavagisme, ou de Churchill pour racisme.

L’article s’attribue la légitimité d’une enquête pour expliquer qu’une contre-histoire, inventée par des idéologues et véhiculée par des organismes comme le Puy du Fou, est en marche.

Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.

Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…

La vieille société doit mourir… Une autre naîtra, on ignore de quoi elle aura l’air, mais surtout, qu’elle ne ressemble pas à celle qu’on détruit !

En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.



Sentant les Allemands fondre sur la capitale, les Parisiens prennent le chemin de l’exode. Les trois quarts d’entre eux décident de s’éloigner au plus vite.

Français, c’est un état d’esprit, c’est avoir la certitude que chaque individu, chaque peuple peut s’émanciper, c’est défendre une Histoire, c’est défendre un art de vivre, c’est tout simplement aimer la France.

Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…

Cette solution audacieuse impliquait que, simultanément, l’islam se modernise, acceptant la séparation de la vie publique et de la vie privée…

Un livre d’histoire clair et passionnant, aussi peu nostalgique que riche d’enseignements…

Avant 1685, en matière d’esclavage, tout était permis puisque rien n’était interdit. Alors, Colbert rédigea le Code noir que Louis XIV signa.

Les infatigables déboulonneurs de statues vont certainement s’intéresser aux descendants de Colbert, de Napoléon, de Ferry. Et de Faidherbe, qu’ils ont sorti de l’oubli où il dormait confortablement.

Alors, laissons en paix ce pauvre Jacques Cœur dont le parcours n’a strictement rien à voir avec ce que l’auteur du tag voudrait supposer et suggérons à ce dernier de prendre le temps de lire et de comprendre l’Histoire.

À 18 h 50, le général Keitel appose sa signature au bas de la convention… Le général Charles Huntziger signe à son tour. Hitler peut jubiler.

Allons, les faits sont brutaux. Brisons là ! À chacun son Histoire, avec ses lumières et ses obscurités. Qu’on nous laisse la nôtre : nous n’avons pas plus que les autres à en rougir !

Honneur à ceux qui ont donné leur sang pour que soient respectés les ordres reçus, à l’amiral pour avoir donné l’exemple et s’être imposé à l’ennemi avant d’être fait prisonnier de guerre.

La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?

De courageux révolutionnaires ont « bâché » de noir, le jeudi 18 juin, la statue du maréchal Gallieni (1849-1916) qui se dresse place Vauban, dans le VIIe arrondissement de Paris.

Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.

C’est l’anniversaire de Waterloo qui met un terme définitif au Premier Empire et c’est ce jour, précisément, que notre Président remet la Légion d’honneur à la ville de Londres…

Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.

C’est cet esprit nourri de ce « riche legs de souvenirs », comme l’écrivait Renan, qui doit nous animer.

Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.

Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.

Dijon, finalement, évoquera tout au plus, pour beaucoup, le pot de moutarde qui traîne au fond du frigo entre une bouteille de Coca et un lot de merguez.

Déboulonner des statues ou en ériger de nouvelles… Le mouvement racialiste souhaite la disparition des représentations de Colbert, accusé d’esclavagisme, ou de Churchill pour racisme.

L’article s’attribue la légitimité d’une enquête pour expliquer qu’une contre-histoire, inventée par des idéologues et véhiculée par des organismes comme le Puy du Fou, est en marche.

Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.

Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…

La vieille société doit mourir… Une autre naîtra, on ignore de quoi elle aura l’air, mais surtout, qu’elle ne ressemble pas à celle qu’on détruit !

En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.



Sentant les Allemands fondre sur la capitale, les Parisiens prennent le chemin de l’exode. Les trois quarts d’entre eux décident de s’éloigner au plus vite.

Français, c’est un état d’esprit, c’est avoir la certitude que chaque individu, chaque peuple peut s’émanciper, c’est défendre une Histoire, c’est défendre un art de vivre, c’est tout simplement aimer la France.

Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…

Cette solution audacieuse impliquait que, simultanément, l’islam se modernise, acceptant la séparation de la vie publique et de la vie privée…
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