Environnement

On peut dès lors se demander si le gouvernement avait anticipé les conséquences de la fermeture de Fessenheim.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.

Pour Noël, Netflix a offert à ses abonnés, avec Don’t Look Up, une superproduction réunissant les stars du moment autour d’une parabole écolo-moralisatrice annonçant la

Léonore Moncond’huy, après avoir coupé les subventions de la ville à l’aérodrome, avait expliqué que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants aujourd’hui ».

Le manque de préparation des équipes et les divisions internes ont réduit comme peau de chagrin les projets du candidat. Ceux-ci semblent pour l’instant se résumer à la lutte contre les automobilistes.
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.

Le bonheur jaillit de la source mondialiste : des champs d’éoliennes à perte de vue, des panneaux photovoltaïques en veux-tu en voilà…

Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…

Dix arbres pour refroidir la terre. De la part d’enfants, c’est amusant. Venant d’adultes, c’est consternant.

Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.

Ces détritus divers collectés par les balayeurs dans les rues de la ville symbolisent les gâchis de la société de consommation et, au passage, la passion de l’écolo pour le déglingué.

À défaut de cibler les responsabilités politiques, la mouvance écolo en culottes courtes culpabilise le citoyen. Le média mondialiste en redemande !

La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.

Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans

Dans le JDD, Willy Schraen, président de la Fédération des chasseurs de France, souhaitait proposer aux élus ruraux un « partenariat » afin de donner

Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.

L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.

Au pied de la montagne de milliards demandée, États-Unis et Union européenne sont pris d’un vertige.

Cette affaire fera-t-elle réfléchir les partisans effrénés des éoliennes ? On peut en douter : les intérêts financiers et politiques sont trop importants.

Les Français seraient dans leur immense majorité (69 %) favorables à la proposition anti-chasse du candidat EELV à l’élection présidentielle.

Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?

Très prévoyant, le président américain avait réquisitionné 4 avions présidentiels, au cas où il s’agirait d’un sommet sur les gros porteurs.

Bien avant la Première Guerre mondiale, un étudiant lambda de seconde année ingénieur pouvait donc calculer sans difficulté les émissions de CO2 générées par la combustion des énergies fossiles alors consommées.

Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.

Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».

Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.

La marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire.

Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.

On peut dès lors se demander si le gouvernement avait anticipé les conséquences de la fermeture de Fessenheim.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.

Pour Noël, Netflix a offert à ses abonnés, avec Don’t Look Up, une superproduction réunissant les stars du moment autour d’une parabole écolo-moralisatrice annonçant la

Léonore Moncond’huy, après avoir coupé les subventions de la ville à l’aérodrome, avait expliqué que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants aujourd’hui ».

Le manque de préparation des équipes et les divisions internes ont réduit comme peau de chagrin les projets du candidat. Ceux-ci semblent pour l’instant se résumer à la lutte contre les automobilistes.
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.

Le bonheur jaillit de la source mondialiste : des champs d’éoliennes à perte de vue, des panneaux photovoltaïques en veux-tu en voilà…

Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…

Dix arbres pour refroidir la terre. De la part d’enfants, c’est amusant. Venant d’adultes, c’est consternant.

Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.

Ces détritus divers collectés par les balayeurs dans les rues de la ville symbolisent les gâchis de la société de consommation et, au passage, la passion de l’écolo pour le déglingué.

À défaut de cibler les responsabilités politiques, la mouvance écolo en culottes courtes culpabilise le citoyen. Le média mondialiste en redemande !

La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.

Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans

Dans le JDD, Willy Schraen, président de la Fédération des chasseurs de France, souhaitait proposer aux élus ruraux un « partenariat » afin de donner

Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.

L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.

Au pied de la montagne de milliards demandée, États-Unis et Union européenne sont pris d’un vertige.

Cette affaire fera-t-elle réfléchir les partisans effrénés des éoliennes ? On peut en douter : les intérêts financiers et politiques sont trop importants.

Les Français seraient dans leur immense majorité (69 %) favorables à la proposition anti-chasse du candidat EELV à l’élection présidentielle.

Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?

Très prévoyant, le président américain avait réquisitionné 4 avions présidentiels, au cas où il s’agirait d’un sommet sur les gros porteurs.

Bien avant la Première Guerre mondiale, un étudiant lambda de seconde année ingénieur pouvait donc calculer sans difficulté les émissions de CO2 générées par la combustion des énergies fossiles alors consommées.

Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.

Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».

Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.

La marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire.

Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.
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