Environnement

Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !

Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.

Récupérer puis stocker les eaux de pluies afin d’être en mesure d’irriguer les récoltes ; une mesure concrète, pragmatique et réaliste afin de garantir la souveraineté alimentaire du pays.

C’est un changement total de paradigme. Certes, la réouverture de centrales à charbon est appuyée sur une crise énergétique, mais quelques années auparavant, le charbon était considéré comme le mal absolu.

Tandis qu’on bat l’air avec son éventail, on est un peu surpris d’apprendre que la maison Yves Saint Laurent a organisé son dernier défilé dans le désert marocain d’Agafay.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.

Ministre de l’Écologie punitive (officiellement de la Transition énergétique), Agnès Pannier-Runacher vient de dévoiler au JDD les premières mesures de son plan de sobriété pour

La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.

Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.

Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.

Quitte à employer le mot martyre, on aurait aimé surtout que Jean-Luc Mélenchon s’indigne du vrai martyre, cette fois, à l’encontre de l’Église catholique au Nigeria.

Comme l’a rappelé le Premier ministre Élisabeth Borne, 80 % des incendies sont pourtant dus à une main humaine, qu’elle soit accidentelle ou criminelle.

Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.

Depuis la première COP à Berlin en 1995, la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) est au programme de tous les

Blocage de routes, d’aéroports, de centre de distribution alimentaire. Aux Pays-Bas, le monde agricole se mobilise contre le projet de loi radical du gouvernement visant à réduire les rejets d’azote.
Selon le quotidien Ouest-France du 7 avril 2022, le cimetière de 11.600 m² devrait être couvert par 8.600 m² de panneaux solaires, soit 5.375 panneaux.

Le bilan carbone des familles nombreuses serait quasiment un crime contre la nature. Il conviendrait, pour y remédier, de réduire drastiquement les naissances. Rien n’est plus faux dans ce « principe » qui a pourtant suffisamment la vie dure pour conduire certains écologistes à ne pas vouloir d’enfants.

En laissant se démanteler sa souveraineté énergétique, la France paye bien plus qu’une simple addition environnementale.

J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.

Dans la campagne normande, le petit village d’Échauffour, dans l’Orne, est aux prises avec un géant de l’énergie renouvelable, Voltalia.

C’est donc dans l’illégalité complète que ce groupe défend le climat.

Si l’on regarde les archives de l’année 1921, la situation est encore pire avec le mois de janvier le plus doux à Paris depuis 1851…
Concrètement, le nucléaire français en fonctionnement émet moins de deux fois moins de gaz carbonique par kilowattheure que l’éolien.

Qu’elle semble loin, l’époque où le monde entier lorgnait sur la France et son gigantesque parc nucléaire. Une énergie décarbonée, efficace et à bas prix, qui ravissait et rendait fiers tous les Français.

Plus que d’un simple choix énergétique, il s’agit avant tout d’un choix de société. Entre celle de la contrainte et de la punition, et celle de ce libre choix consistant à être maître de sa propre vie.
C’est une première en France : en Haute-Loire, le fonctionnement d’une antenne 4G va être arrêté, elle est soupçonnée d’avoir une influence néfaste sur un

Organisée par le Cérémé, « Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique », une organisation qui ne cache pas son hostilité envers l’énergie éolienne, ce rassemblement avait pour but de montrer en quoi un mix faisant la part belle au nucléaire était la seule option viable pour l’avenir énergétique français

Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !

Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.

Récupérer puis stocker les eaux de pluies afin d’être en mesure d’irriguer les récoltes ; une mesure concrète, pragmatique et réaliste afin de garantir la souveraineté alimentaire du pays.

C’est un changement total de paradigme. Certes, la réouverture de centrales à charbon est appuyée sur une crise énergétique, mais quelques années auparavant, le charbon était considéré comme le mal absolu.

Tandis qu’on bat l’air avec son éventail, on est un peu surpris d’apprendre que la maison Yves Saint Laurent a organisé son dernier défilé dans le désert marocain d’Agafay.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.

Ministre de l’Écologie punitive (officiellement de la Transition énergétique), Agnès Pannier-Runacher vient de dévoiler au JDD les premières mesures de son plan de sobriété pour

La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.

Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.

Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.

Quitte à employer le mot martyre, on aurait aimé surtout que Jean-Luc Mélenchon s’indigne du vrai martyre, cette fois, à l’encontre de l’Église catholique au Nigeria.

Comme l’a rappelé le Premier ministre Élisabeth Borne, 80 % des incendies sont pourtant dus à une main humaine, qu’elle soit accidentelle ou criminelle.

Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.

Depuis la première COP à Berlin en 1995, la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) est au programme de tous les

Blocage de routes, d’aéroports, de centre de distribution alimentaire. Aux Pays-Bas, le monde agricole se mobilise contre le projet de loi radical du gouvernement visant à réduire les rejets d’azote.
Selon le quotidien Ouest-France du 7 avril 2022, le cimetière de 11.600 m² devrait être couvert par 8.600 m² de panneaux solaires, soit 5.375 panneaux.

Le bilan carbone des familles nombreuses serait quasiment un crime contre la nature. Il conviendrait, pour y remédier, de réduire drastiquement les naissances. Rien n’est plus faux dans ce « principe » qui a pourtant suffisamment la vie dure pour conduire certains écologistes à ne pas vouloir d’enfants.

En laissant se démanteler sa souveraineté énergétique, la France paye bien plus qu’une simple addition environnementale.

J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.

Dans la campagne normande, le petit village d’Échauffour, dans l’Orne, est aux prises avec un géant de l’énergie renouvelable, Voltalia.

C’est donc dans l’illégalité complète que ce groupe défend le climat.

Si l’on regarde les archives de l’année 1921, la situation est encore pire avec le mois de janvier le plus doux à Paris depuis 1851…
Concrètement, le nucléaire français en fonctionnement émet moins de deux fois moins de gaz carbonique par kilowattheure que l’éolien.

Qu’elle semble loin, l’époque où le monde entier lorgnait sur la France et son gigantesque parc nucléaire. Une énergie décarbonée, efficace et à bas prix, qui ravissait et rendait fiers tous les Français.

Plus que d’un simple choix énergétique, il s’agit avant tout d’un choix de société. Entre celle de la contrainte et de la punition, et celle de ce libre choix consistant à être maître de sa propre vie.
C’est une première en France : en Haute-Loire, le fonctionnement d’une antenne 4G va être arrêté, elle est soupçonnée d’avoir une influence néfaste sur un

Organisée par le Cérémé, « Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique », une organisation qui ne cache pas son hostilité envers l’énergie éolienne, ce rassemblement avait pour but de montrer en quoi un mix faisant la part belle au nucléaire était la seule option viable pour l’avenir énergétique français
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