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Gilles Le Gendre aurait dû profiter du changement des moquettes du « Château » pour y dénicher, bien dissimulés dessous par les locataires successifs, des rapports soustraits aux regards profanes et oreilles chastes.

Cela devient décidément une constante dans ce gouvernement : on signe des textes, on écrit des lois, mais cela ne change rien.
Partout en France, des lycées se sont mis en grève en parallèle du mouvement social des gilets jaunes. L’image des lycéens interpellés à Mantes-la-Jolie, et

Dans l’intérêt du mouvement des gilets jaunes, sachons faire le tri entre vrais manifestants et voyous opportunistes, sans nous laisser influencer par l’effet dramatique de certaines images.

Participer à des échauffourées, incendier les poubelles et les véhicules, dégrader les bâtiments ou monter des barricades n’est pas une aimable promenade au jardin d’enfants.

Plusieurs dizaines d’élèves à genoux ou assis, mains entravées ou sur la nuque, sous la surveillance de policiers : la vidéo surprend.
Pour le conservateur, la famille est LA priorité.

La Charte des langues régionales ne sera jamais ratifiée car elle contient des clauses contraires à la Constitution.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.

Les déclarations d’apaisement de Jean-Michel Blanquer ne suffiront pas à calmer les inquiétudes.

La pauvre Debora aurait été bien malheureuse dans cette immense salle de Rome qui acclamait Salvini !

Le seul problème de ce système bien huilé semble qu’il n’est, finalement, pas majoritaire dans la population.

Je n’ose pas suggérer la levée des couleurs : je me ferais traiter de « lépreux nationaliste ».

Cette affaire est « surmédiatisée », s’est plainte la mère sur RMC, dénonçant un événement « monté en épingle ».

Un bavardage valait une punition, un geste obscène était inimaginable, un acte de violence vis-à-vis d’un enseignant, et direction la maison de redressement !

Ce lundi 5 novembre, jour de rentrée au terme des congés de la Toussaint, la mesure votée par les Provinois est entrée en vigueur.

Cette nomination, à peine connue, a suscité l’indignation d’une partie des professeurs, qui ont déposé un préavis de grève…

N’en déplaise à Mme Belloubet, il faut créer, partout où c’est nécessaire, des « maisons de redressement » !

…pouvoir enfin dénoncer l’épouvantable et criminelle hypocrisie qui entoure ce sujet de « la violence à l’école ».

Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.

Non, les forces de l’ordre ne doivent pas avoir vocation à faire les bouche-trous.

Certes, on pourra trouver des excuses à ces chefs d’établissement : ils ne sont que le bras armé de toute une administration et une idéologie pasdevaguiste.

Le monolithe pourrait se fissurer, et, dans la brèche, s’engouffrer le vrai débat. Sur le fond.

Tout endurer plutôt que d’être désigné comme islamophobe.
Nous voici rassurés : est encore déjoué un complot de l’extrême droite. Votre fille redeviendra muette, et tout ira de nouveau très bien, Madame la Marquise.

« Le premier problème, c’est l’islam radical, notamment pour les professeurs femmes. »
Une des idées de génie : un module de « formation aux codes culturels » du quartier !
À chaque nouveau fait divers, les mêmes solutions cosmétiques nous sont proposées et les mêmes excuses surréalistes nous sont assenées.
Gilles Le Gendre aurait dû profiter du changement des moquettes du « Château » pour y dénicher, bien dissimulés dessous par les locataires successifs, des rapports soustraits aux regards profanes et oreilles chastes.

Cela devient décidément une constante dans ce gouvernement : on signe des textes, on écrit des lois, mais cela ne change rien.
Partout en France, des lycées se sont mis en grève en parallèle du mouvement social des gilets jaunes. L’image des lycéens interpellés à Mantes-la-Jolie, et

Dans l’intérêt du mouvement des gilets jaunes, sachons faire le tri entre vrais manifestants et voyous opportunistes, sans nous laisser influencer par l’effet dramatique de certaines images.

Participer à des échauffourées, incendier les poubelles et les véhicules, dégrader les bâtiments ou monter des barricades n’est pas une aimable promenade au jardin d’enfants.

Plusieurs dizaines d’élèves à genoux ou assis, mains entravées ou sur la nuque, sous la surveillance de policiers : la vidéo surprend.
Pour le conservateur, la famille est LA priorité.

La Charte des langues régionales ne sera jamais ratifiée car elle contient des clauses contraires à la Constitution.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.

Les déclarations d’apaisement de Jean-Michel Blanquer ne suffiront pas à calmer les inquiétudes.

La pauvre Debora aurait été bien malheureuse dans cette immense salle de Rome qui acclamait Salvini !

Le seul problème de ce système bien huilé semble qu’il n’est, finalement, pas majoritaire dans la population.

Je n’ose pas suggérer la levée des couleurs : je me ferais traiter de « lépreux nationaliste ».

Cette affaire est « surmédiatisée », s’est plainte la mère sur RMC, dénonçant un événement « monté en épingle ».

Un bavardage valait une punition, un geste obscène était inimaginable, un acte de violence vis-à-vis d’un enseignant, et direction la maison de redressement !

Ce lundi 5 novembre, jour de rentrée au terme des congés de la Toussaint, la mesure votée par les Provinois est entrée en vigueur.

Cette nomination, à peine connue, a suscité l’indignation d’une partie des professeurs, qui ont déposé un préavis de grève…

N’en déplaise à Mme Belloubet, il faut créer, partout où c’est nécessaire, des « maisons de redressement » !

…pouvoir enfin dénoncer l’épouvantable et criminelle hypocrisie qui entoure ce sujet de « la violence à l’école ».

Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.

Non, les forces de l’ordre ne doivent pas avoir vocation à faire les bouche-trous.

Certes, on pourra trouver des excuses à ces chefs d’établissement : ils ne sont que le bras armé de toute une administration et une idéologie pasdevaguiste.

Le monolithe pourrait se fissurer, et, dans la brèche, s’engouffrer le vrai débat. Sur le fond.

Tout endurer plutôt que d’être désigné comme islamophobe.
Nous voici rassurés : est encore déjoué un complot de l’extrême droite. Votre fille redeviendra muette, et tout ira de nouveau très bien, Madame la Marquise.

« Le premier problème, c’est l’islam radical, notamment pour les professeurs femmes. »
Une des idées de génie : un module de « formation aux codes culturels » du quartier !
À chaque nouveau fait divers, les mêmes solutions cosmétiques nous sont proposées et les mêmes excuses surréalistes nous sont assenées.
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