Education

Emmanuel Macron l’a décidé : il faut donc obtempérer.

Robert de Sorbon, réveille-toi, elles sont devenues folles !

Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?

Ennuyeux, la télévision ? Non. Il faudrait même la décréter grande farce nationale…

Élargir l’enseignement de l’arabe, dans la conjoncture actuelle, apparaîtrait, à juste titre, comme un encouragement donné au communautarisme musulman.

On peut bien, après cela, dédoubler puis redédoubler les classes, c’est comme vider la mer à la petite cuillère…

Le « grand oral », malgré sa dénomination pompeuse, risque fort de ne pas être à la hauteur de ses ambitions et de tourner, sauf exception, à la récitation, plus ou moins habile, de lieux communs.

Refuser la sélection, c’est sanctionner les étudiants d’origine modeste qui n’ont que leur talent à faire valoir.

Libération préfère inculquer aux enfants une image négative de la France et de notre civilisation.

Notre curiosité attisée, nous sommes allés jeter un œil sur le contenu des programmes et, avouons-le, nous n’avons pas été déçus !

Cela fait quarante ans – bien avant la naissance des candidats – que la propagande répète qu’il y a des pépites dans les banlieues et qu’il faut les aider à émerger.

Entretien avec Xavier Nicolas, fondateur du média Campus Vox, qui se donne pour mission d’apporter un autre regard que celui des AG : Étudiants pris

La laïcité ne s’accommode pas de l’expression publique du religieux. Elle ne s’accommode pas, non plus, du carcan de la bien-pensance.

Déjà, en octobre, la Cocarde étudiante avait fait face à l’hostilité des syndicats étudiants de gauche.

Cette affaire est un modèle du genre.

Une conférence à Sciences Po Lille devait réunir l’avocat Charles Consigny et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction à Valeurs actuelles. La conférence a finalement

Jean-Michel Blanquer doit se « démacroniser ».

Gilles Ardinat, professeur en lycée, explique le sens des E3C, ces nouvelles épreuves du « bac Blanquer » qui commencent en ce moment et les

Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…

Oui, nos enfants et nos étudiants ont de très bonnes raisons de ne pas embrasser la carrière d’enseignant !

Ce refus de l’effort, caractéristique de notre société, est inculqué dès le plus jeune âge aux enfants par l’Éducation nationale et son nivellement par le bas, puis lors de leurs études.

Les écrans sont des nounous commodes et finalement peu chères, mais aux conséquences délétères sur le cerveau des gamins.

C’est ce que Jean-Claude Michéa appelle, dans L’Enseignement de l’ignorance, « le complexe de Lacenaire » : « la fascination exercée sur les intellectuels bourgeois par la figure du mauvais garçon ».

Celle-ci semble tétanisée. En plus de laisser la situation se dégrader, ne faisant preuve d’aucune forme de fermeté à l’égard des bloqueurs, rien n’est fait pour informer les étudiants.

Dans plusieurs universités, une poignée d’étudiants organisent des blocages en soutien aux grévistes contre la réforme des retraites. Déjà, en décembre, des partiels ont été

C’est dans le sillage de Mai 68 que Bourdieu postula l’idée que, loin de favoriser l’égalité des chances, l’école méritocratique participait à la reproduction des inégalités sociales. C’était faux.

Les syndicats, à leur habitude, prennent en otages les étudiants en martelant qu’ils luttent pour leurs droits.

Actuellement, les enseignants ont aussi à faire face à une autre réforme qui pèche par les mêmes défauts : cette réforme du bac qui avait poussé, en juin, certains enseignants à faire grève le jour des examens.

Emmanuel Macron l’a décidé : il faut donc obtempérer.

Robert de Sorbon, réveille-toi, elles sont devenues folles !

Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?

Ennuyeux, la télévision ? Non. Il faudrait même la décréter grande farce nationale…

Élargir l’enseignement de l’arabe, dans la conjoncture actuelle, apparaîtrait, à juste titre, comme un encouragement donné au communautarisme musulman.

On peut bien, après cela, dédoubler puis redédoubler les classes, c’est comme vider la mer à la petite cuillère…

Le « grand oral », malgré sa dénomination pompeuse, risque fort de ne pas être à la hauteur de ses ambitions et de tourner, sauf exception, à la récitation, plus ou moins habile, de lieux communs.

Refuser la sélection, c’est sanctionner les étudiants d’origine modeste qui n’ont que leur talent à faire valoir.

Libération préfère inculquer aux enfants une image négative de la France et de notre civilisation.

Notre curiosité attisée, nous sommes allés jeter un œil sur le contenu des programmes et, avouons-le, nous n’avons pas été déçus !

Cela fait quarante ans – bien avant la naissance des candidats – que la propagande répète qu’il y a des pépites dans les banlieues et qu’il faut les aider à émerger.

Entretien avec Xavier Nicolas, fondateur du média Campus Vox, qui se donne pour mission d’apporter un autre regard que celui des AG : Étudiants pris

La laïcité ne s’accommode pas de l’expression publique du religieux. Elle ne s’accommode pas, non plus, du carcan de la bien-pensance.

Déjà, en octobre, la Cocarde étudiante avait fait face à l’hostilité des syndicats étudiants de gauche.

Cette affaire est un modèle du genre.

Une conférence à Sciences Po Lille devait réunir l’avocat Charles Consigny et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction à Valeurs actuelles. La conférence a finalement

Jean-Michel Blanquer doit se « démacroniser ».

Gilles Ardinat, professeur en lycée, explique le sens des E3C, ces nouvelles épreuves du « bac Blanquer » qui commencent en ce moment et les

Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…

Oui, nos enfants et nos étudiants ont de très bonnes raisons de ne pas embrasser la carrière d’enseignant !

Ce refus de l’effort, caractéristique de notre société, est inculqué dès le plus jeune âge aux enfants par l’Éducation nationale et son nivellement par le bas, puis lors de leurs études.

Les écrans sont des nounous commodes et finalement peu chères, mais aux conséquences délétères sur le cerveau des gamins.

C’est ce que Jean-Claude Michéa appelle, dans L’Enseignement de l’ignorance, « le complexe de Lacenaire » : « la fascination exercée sur les intellectuels bourgeois par la figure du mauvais garçon ».

Celle-ci semble tétanisée. En plus de laisser la situation se dégrader, ne faisant preuve d’aucune forme de fermeté à l’égard des bloqueurs, rien n’est fait pour informer les étudiants.

Dans plusieurs universités, une poignée d’étudiants organisent des blocages en soutien aux grévistes contre la réforme des retraites. Déjà, en décembre, des partiels ont été

C’est dans le sillage de Mai 68 que Bourdieu postula l’idée que, loin de favoriser l’égalité des chances, l’école méritocratique participait à la reproduction des inégalités sociales. C’était faux.

Les syndicats, à leur habitude, prennent en otages les étudiants en martelant qu’ils luttent pour leurs droits.

Actuellement, les enseignants ont aussi à faire face à une autre réforme qui pèche par les mêmes défauts : cette réforme du bac qui avait poussé, en juin, certains enseignants à faire grève le jour des examens.
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