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Il est des faits divers qui en disent long sur l’état de notre société.

La droite est de retour ! Pardon, mais j’ai ri, c’était trop bon : la droite de Jacques Barrot, Lolo, veux-tu vraiment nous faire gober ça ?

Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

Ce sujet pourrait prêter seulement à sourire si ce n’était l’importance relative qu’il a pris dans le débat de société.
Sur son blog, le Père Laurent Stalla-Bourdillon caricature les objections faites au message du pape pour mieux les écarter. Déception.

Chaque litre d’essence consommé finance une pétromonarchie généreuse avec des officines terroristes qui ensanglantent le monde.

Le comte Richard de Coudenhove-Kalergi a tenté de définir le futur en fonction de facteurs héréditaires et raciaux.

Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.

Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?
Dimanche dernier, s’est tenue à Hayange (Moselle) la quatrième édition de la Fête du cochon.
Comme il se doit, FO affronte la CGT et le 12 septembre, la CGT affrontera la loi en défilant dans la rue.

Boris Vallaud partage avec son épouse une incommensurable suffisance. Le verbe haut, le contentement de soi en étendard.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Aux Pays Bas comme en France, il existe une droite connivente, ploutocratique et antidémocratique qui est hostile au référendum.

Le pari initial d’Emmanuel Macron d’occuper tout le centre politique est gagné, avec une symétrie quasi parfaite.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
Chaque nouvelle journée apporte son lot d’agressions sexuelles et de viols commis par des migrants sur les Allemandes.
La crise de la presse écrite précipite, en France, la concentration du secteur privé de l’information dans les mains d’une dizaine de groupes financiers.

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.
L’impôt vous prenant votre argent contre votre volonté, il s’agit donc d’un vol. Légal sans doute, mais un vol quand même.
La nature est puissante, indomptable, porteuse à parts égales de vie et de mort.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
Nos dirigeants sont à leur vraie place : près du poêle au fond de la classe, là où les cancres s’épanouissent.

Un créneau bien comme il faut, où l’on ne risque pas de se prendre une prune par les aubergines de la pensée unique.

La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.

Il est des faits divers qui en disent long sur l’état de notre société.

La droite est de retour ! Pardon, mais j’ai ri, c’était trop bon : la droite de Jacques Barrot, Lolo, veux-tu vraiment nous faire gober ça ?

Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

Ce sujet pourrait prêter seulement à sourire si ce n’était l’importance relative qu’il a pris dans le débat de société.
Sur son blog, le Père Laurent Stalla-Bourdillon caricature les objections faites au message du pape pour mieux les écarter. Déception.

Chaque litre d’essence consommé finance une pétromonarchie généreuse avec des officines terroristes qui ensanglantent le monde.

Le comte Richard de Coudenhove-Kalergi a tenté de définir le futur en fonction de facteurs héréditaires et raciaux.

Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.

Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?
Dimanche dernier, s’est tenue à Hayange (Moselle) la quatrième édition de la Fête du cochon.
Comme il se doit, FO affronte la CGT et le 12 septembre, la CGT affrontera la loi en défilant dans la rue.

Boris Vallaud partage avec son épouse une incommensurable suffisance. Le verbe haut, le contentement de soi en étendard.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Aux Pays Bas comme en France, il existe une droite connivente, ploutocratique et antidémocratique qui est hostile au référendum.

Le pari initial d’Emmanuel Macron d’occuper tout le centre politique est gagné, avec une symétrie quasi parfaite.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
Chaque nouvelle journée apporte son lot d’agressions sexuelles et de viols commis par des migrants sur les Allemandes.
La crise de la presse écrite précipite, en France, la concentration du secteur privé de l’information dans les mains d’une dizaine de groupes financiers.

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.
L’impôt vous prenant votre argent contre votre volonté, il s’agit donc d’un vol. Légal sans doute, mais un vol quand même.
La nature est puissante, indomptable, porteuse à parts égales de vie et de mort.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
Nos dirigeants sont à leur vraie place : près du poêle au fond de la classe, là où les cancres s’épanouissent.

Un créneau bien comme il faut, où l’on ne risque pas de se prendre une prune par les aubergines de la pensée unique.

La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.
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