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L’Action française constitue bel et bien un danger pour la République et le système politico-médiatique qui cherche à la préserver.

Emmanuel Macron qui traite François Hollande de « zigoto », voilà qui n’a rien de très jupitérien.
Christine Boutin, ancienne députée, ancienne ministre, quitte la vie politique après 40 années d’engagement.

On nage en plein délire. On balance à tout va, chacune y va de sa petite histoire et de son gros porc.

Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.

Il faut se réjouir d’une plus grande rigueur dans les comportements liés à la sexualité. C’est un indice de civilisation.

En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
Le libéralisme libertaire, pour une fois, se prend les pieds dans le tapis.
Europe 1 a présenté l’Action française comme un « groupuscule d’extrême droite qui fomentait un attentat ».
« Selon moi, le combat de demain, c’est la liberté religieuse. »

Les causes de la révolution russe du 7 novembre 1917 (25 octobre dans le calendrier julien) sont connues et elles font toujours l’objet de débats passionnés entre historiens.

Il ne faut pas se laisser mener en bateau.
Les mêmes partis politiques continuent à se succéder au pouvoir ; le même laxisme judiciaire prédomine ; les victimes sont toujours laissées pour compte.

La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.

Il y a quelque inconvenance à cracher dans la soupe où l’on a longtemps plongé sa cuillère.
Le FMI identifie quatre facteurs de vulnérabilité alarmants.

Il y a une règle relativement bien établie dans les affaires : c’est celui qui distribue qui gagne à la fin.

Dans une petite commune du Languedoc, des années 60 aux années 80, sévissait un instituteur pédophile et violent…

On doit s’interroger des motifs de la vague #BalanceTonPorc.
À l’heure où nous parlons, la situation dans les universités est proche du désastre.

La Tchéquie vient de prendre, elle aussi, à la faveur des élections législatives de vendredi et samedi, une orientation souverainiste et sociale.
La volonté du ministre de réformer le bac n’est pas sans légitimité ; encore faut-il en trouver des modalités qui ne le dévalorisent pas davantage.

Pour que cesse l’engrenage de la repentance, il faut rappeler que l’Histoire est violente et que chaque peuple a son passé trouble.

Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.

J’ouvre la presse. « MeToo! MeToo! » On se bouscule, on veut son viol…

Jusqu’au dernier instant, le Tsar Nicolas II a été fidèle à l’alliance avec la France. Alors que la France lui fut infidèle, sans la moindre honte.

Oublier cette question, comme si la monnaie d’une nation n’était qu’un détail, c’est occuper le temps médiatique pour ne jamais parler des vrais problèmes.

L’Action française constitue bel et bien un danger pour la République et le système politico-médiatique qui cherche à la préserver.

Emmanuel Macron qui traite François Hollande de « zigoto », voilà qui n’a rien de très jupitérien.
Christine Boutin, ancienne députée, ancienne ministre, quitte la vie politique après 40 années d’engagement.

On nage en plein délire. On balance à tout va, chacune y va de sa petite histoire et de son gros porc.

Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.

Il faut se réjouir d’une plus grande rigueur dans les comportements liés à la sexualité. C’est un indice de civilisation.

En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
Le libéralisme libertaire, pour une fois, se prend les pieds dans le tapis.
Europe 1 a présenté l’Action française comme un « groupuscule d’extrême droite qui fomentait un attentat ».
« Selon moi, le combat de demain, c’est la liberté religieuse. »

Les causes de la révolution russe du 7 novembre 1917 (25 octobre dans le calendrier julien) sont connues et elles font toujours l’objet de débats passionnés entre historiens.

Il ne faut pas se laisser mener en bateau.
Les mêmes partis politiques continuent à se succéder au pouvoir ; le même laxisme judiciaire prédomine ; les victimes sont toujours laissées pour compte.

La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.

Il y a quelque inconvenance à cracher dans la soupe où l’on a longtemps plongé sa cuillère.
Le FMI identifie quatre facteurs de vulnérabilité alarmants.

Il y a une règle relativement bien établie dans les affaires : c’est celui qui distribue qui gagne à la fin.

Dans une petite commune du Languedoc, des années 60 aux années 80, sévissait un instituteur pédophile et violent…

On doit s’interroger des motifs de la vague #BalanceTonPorc.
À l’heure où nous parlons, la situation dans les universités est proche du désastre.

La Tchéquie vient de prendre, elle aussi, à la faveur des élections législatives de vendredi et samedi, une orientation souverainiste et sociale.
La volonté du ministre de réformer le bac n’est pas sans légitimité ; encore faut-il en trouver des modalités qui ne le dévalorisent pas davantage.

Pour que cesse l’engrenage de la repentance, il faut rappeler que l’Histoire est violente et que chaque peuple a son passé trouble.

Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.

J’ouvre la presse. « MeToo! MeToo! » On se bouscule, on veut son viol…

Jusqu’au dernier instant, le Tsar Nicolas II a été fidèle à l’alliance avec la France. Alors que la France lui fut infidèle, sans la moindre honte.

Oublier cette question, comme si la monnaie d’une nation n’était qu’un détail, c’est occuper le temps médiatique pour ne jamais parler des vrais problèmes.
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