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Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.

Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».

Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.

Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Damien Rieu, lanceur d’alerte qui a mobilisé l’opinion au moment de l’affaire Médine, revient sur cette vidéo d’un soldat de l’armée de terre affirmant, le

Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.

En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !

La (condamnable) main aux fesses au bureau, horreur ! Mais les violeurs apatrides, silence…

Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…

Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.

Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.

La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.

Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.

Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.

« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.
Aujourd’hui, on commémore, en France, les trois ans de l’attentat terroriste du Bataclan qui a fait cent trente morts et de nombreuses victimes. Triste coïncidence,
Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours

Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.

À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien

Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…

Les mots d’ordre sont : abolition du traité des Pyrénées et libération des prisonniers politiques indépendantistes en Espagne.

La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.

Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».

Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.

Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Damien Rieu, lanceur d’alerte qui a mobilisé l’opinion au moment de l’affaire Médine, revient sur cette vidéo d’un soldat de l’armée de terre affirmant, le

Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.

En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !

La (condamnable) main aux fesses au bureau, horreur ! Mais les violeurs apatrides, silence…

Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…

Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.

Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.

La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.

Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.

Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.

« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.
Aujourd’hui, on commémore, en France, les trois ans de l’attentat terroriste du Bataclan qui a fait cent trente morts et de nombreuses victimes. Triste coïncidence,
Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours

Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.

À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien

Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…

Les mots d’ordre sont : abolition du traité des Pyrénées et libération des prisonniers politiques indépendantistes en Espagne.

La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
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