Culture

Curieusement, les paroles de la chanson n’ont pas été prises en flagrant délit de complotisme… Peut-être que l’engagement à gauche de son créateur ou à sa médiatisation d’avant Covid a joué là un rôle déterminant…

Une circulaire, émanant, cette fois, du ministre Jean-Michel Blanquer, proscrit le point médian de l’apprentissage de la langue.

Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.

Jean-Marie Rouart est bien conscient de la difficulté d’imposer aux musulmans un imamat public du fait que l’islam, à travers sa communauté de l’oumma, refuse les frontières nationales et n’a pas de hiérarchie ecclésiale…

Est-ce là le symptôme d’une irréversible décadence ? Peut-être celle-ci ne commence-t-elle vraiment que lorsque les élites d’une nation ne savent plus ce qu’ils font lorsqu’ils inaugurent des pneus en or, un plug anal…

M. Macron parlant de Napoléon, c’est le peintre du dimanche commentant Delacroix.

Son roman, rédigé bien avant les polémiques actuelles, est devenu prophétique.

Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Dernière polémique en date, donc, autour de cet anniversaire, le projet d’installation d’une œuvre d’art contemporain au-dessus du tombeau de l’Empereur aux Invalides.

Ainsi, donc, « Rire contre le racisme » a droit à son temps d’antenne, mais pas une journaliste jugée trop à droite sur l’échiquier politique.

Vincent Coussedière le démontre : l’assimilation n’est pas une option politique parmi d’autres, mais elle est la condition même de la démocratie, son fondement impensé.

Étonnante puissance qui se déploie dans la petitesse d’une simple jeune fille, capable de toucher tous les cœurs, de déplacer toutes les montagnes, de faire advenir les choses les plus inattendues…

Vive les accents qui font le charme et la personnalité de notre langue française !

Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.

Shakespeare n’a pas écrit pour l’armée américaine mais son texte dépasse le temps, le lieu… et les hommes, quelle que soit la couleur de leur peau.

Cette ancienne directrice de France Culture affirme tout de go : « Alain de Benoist est le conseiller politique de Marion Maréchal. » Elle le sait, l’ayant « lu sur Internet »…

L’universitaire, parvenu au faîte de sa carrière académique, veut réinventer la tabula rasa : s’il faut détruire la supposée supériorité de la civilisation « blanche » occidentale, alors, dit-il, supprimons le grec et le latin.

Au final, un petit classique, jusque-là seulement révéré par un cénacle d’admirateurs mais qui, désormais, grâce aux magiciens d’Artus films, est à nouveau disponible pour un plus grand public.

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Ce livre a une haute concentration en humour bienveillant.

Mais à quoi bon célébrer la résurrection d’une cathédrale si ce n’est seulement comme « quelque chose qui appartient à notre culture, à notre histoire littéraire, architecturale, religieuse et laïque, à l’imaginaire de France » ?

En attaquant le franc CFA, c’est la réputation de la France qu’on cherche à détruire.

Après, après, je ne sais pas, j’ai éteint la télévision, pour cause de fou rire : je n’arrivais plus à suivre…

N’est-ce pas Napoléon, également, qui disait de ses généraux baragouinant l’alsacien : « Pourvu qu’ils sabrent français »

Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…

À la différence de la culture sinistrée, le libraire a donc tiré son épingle du jeu. Il s’en est fallu de peu !

En espérant toutefois pour lui que, là-haut, il n’y ait pas pénurie de paillettes. Mais on sait la maison bien tenue.

Curieusement, les paroles de la chanson n’ont pas été prises en flagrant délit de complotisme… Peut-être que l’engagement à gauche de son créateur ou à sa médiatisation d’avant Covid a joué là un rôle déterminant…

Une circulaire, émanant, cette fois, du ministre Jean-Michel Blanquer, proscrit le point médian de l’apprentissage de la langue.

Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.

Jean-Marie Rouart est bien conscient de la difficulté d’imposer aux musulmans un imamat public du fait que l’islam, à travers sa communauté de l’oumma, refuse les frontières nationales et n’a pas de hiérarchie ecclésiale…

Est-ce là le symptôme d’une irréversible décadence ? Peut-être celle-ci ne commence-t-elle vraiment que lorsque les élites d’une nation ne savent plus ce qu’ils font lorsqu’ils inaugurent des pneus en or, un plug anal…

M. Macron parlant de Napoléon, c’est le peintre du dimanche commentant Delacroix.

Son roman, rédigé bien avant les polémiques actuelles, est devenu prophétique.

Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Dernière polémique en date, donc, autour de cet anniversaire, le projet d’installation d’une œuvre d’art contemporain au-dessus du tombeau de l’Empereur aux Invalides.

Ainsi, donc, « Rire contre le racisme » a droit à son temps d’antenne, mais pas une journaliste jugée trop à droite sur l’échiquier politique.

Vincent Coussedière le démontre : l’assimilation n’est pas une option politique parmi d’autres, mais elle est la condition même de la démocratie, son fondement impensé.

Étonnante puissance qui se déploie dans la petitesse d’une simple jeune fille, capable de toucher tous les cœurs, de déplacer toutes les montagnes, de faire advenir les choses les plus inattendues…

Vive les accents qui font le charme et la personnalité de notre langue française !

Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.

Shakespeare n’a pas écrit pour l’armée américaine mais son texte dépasse le temps, le lieu… et les hommes, quelle que soit la couleur de leur peau.

Cette ancienne directrice de France Culture affirme tout de go : « Alain de Benoist est le conseiller politique de Marion Maréchal. » Elle le sait, l’ayant « lu sur Internet »…

L’universitaire, parvenu au faîte de sa carrière académique, veut réinventer la tabula rasa : s’il faut détruire la supposée supériorité de la civilisation « blanche » occidentale, alors, dit-il, supprimons le grec et le latin.

Au final, un petit classique, jusque-là seulement révéré par un cénacle d’admirateurs mais qui, désormais, grâce aux magiciens d’Artus films, est à nouveau disponible pour un plus grand public.

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Ce livre a une haute concentration en humour bienveillant.

Mais à quoi bon célébrer la résurrection d’une cathédrale si ce n’est seulement comme « quelque chose qui appartient à notre culture, à notre histoire littéraire, architecturale, religieuse et laïque, à l’imaginaire de France » ?

En attaquant le franc CFA, c’est la réputation de la France qu’on cherche à détruire.

Après, après, je ne sais pas, j’ai éteint la télévision, pour cause de fou rire : je n’arrivais plus à suivre…

N’est-ce pas Napoléon, également, qui disait de ses généraux baragouinant l’alsacien : « Pourvu qu’ils sabrent français »

Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…

À la différence de la culture sinistrée, le libraire a donc tiré son épingle du jeu. Il s’en est fallu de peu !

En espérant toutefois pour lui que, là-haut, il n’y ait pas pénurie de paillettes. Mais on sait la maison bien tenue.
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