Musique

Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982, est tout à fait enchanté de la façon dont le Président a traité l’affaire.


Des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît »…« Danse, enc… de ta mère, danse »…
Le Président Emmanuel Macron a dénoncé, jeudi, lors d’un discours à Quimper, « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît ». Le sénateur RN
Au lendemain de la fête de la Musique qui a vu la cour de l’Élysée se transformer en boîte de nuit, Emmanuelle Ménard est interrogée

Après la salle de sport sous Sarkozy, la boîte de nuit sous Macron. Il nous manquera quoi, après ?

Le Président prend le risque qu’un jour, de très nombreux Français lui disent, chacun à sa façon, et plus ou moins élégamment : « Cela suffit, Monsieur le Président » ou « Casse-toi Manu ! »
Et quand nos Trissotin sont à bout d’idée, ils font l’option « pipi-caca », « scatorococo », « naturisme-scénique ». Le théâtre, aussi, a ses vagins de la reine et ses plugs anaux.
Laurent Wauquiez vient de limoger Virginie Calmels de ses fonctions de vice-présidente des LR. Réaction au micro de Boulevard Voltaire d’Érik Tegnér. Quelques semaines après


Laure, 23 ans, jeune fille issue de la bourgeoisie parisienne bien-pensante et « Charlie », décide du jour au lendemain de rejoindre la Marine nationale.

Le 28 mars 2017, le rappeur franco-algérien Médine Zaouiche était l’invité de la prestigieuse ENS. Déjà, en 2014, l’ESSEC de Cergy s’enorgueillissait de le compter parmi sa kyrielle d’invités.

Cette grande dame a choisi de tirer sa révérence quelques jours avant le départ de sa chère Grande Boucle. Elle aura décidément été professionnelle jusqu’à la fin.
Polémique au Bataclan : la salle de concert, théâtre du carnage commis par des terroristes islamistes en novembre 2015, devrait accueillir au mois d’octobre prochain

Mais, pour certains délicats problèmes de société, c’est devenu une habitude de cacher la poussière sous le tapis…
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette, une enfance heureuse, et en réparation d’un terrible génocide.

En 1991, Michel Houellebecq publiait aux éditions de la Différence un court essai intitulé Rester vivant, sorte de manuel de survie à l’usage des solitaires, introvertis et dépressifs en tous genres, victimes collatérales de la postmodernité, comme des rapports humains en règle générale.

Il est grand temps que MM. Macron et Philippe rappellent certaines lignes rouges à ne pas franchir.

Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.

Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.
Cela faisait longtemps que le French doctor n’avait pas montré sa bobine à la télé.
Et aujourd’hui, Macron-Trump. Évidemment, les irrévérencieux diront, là, que ce n’est pas Tintin mais Milou en Amérique.
Des laïcards chipoteurs ont vu dans ses prêches des « actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence ».
Nos jeunes fumeurs de joints dépavèrent la capitale et dépravèrent le monde !
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Si vous pensez qu’il s’agit des horreurs du salafisme, vous n’y êtes pas du tout : ce qui angoisse le chroniqueur du journal « de référence », c’est le retour des cathos en politique !
Après avoir écouté le morceau de bravoure, plein de contre-vérités, des champions, je n’ose imaginer ce qu’était le reste.
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,

Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982, est tout à fait enchanté de la façon dont le Président a traité l’affaire.


Des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît »…« Danse, enc… de ta mère, danse »…
Le Président Emmanuel Macron a dénoncé, jeudi, lors d’un discours à Quimper, « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît ». Le sénateur RN
Au lendemain de la fête de la Musique qui a vu la cour de l’Élysée se transformer en boîte de nuit, Emmanuelle Ménard est interrogée

Après la salle de sport sous Sarkozy, la boîte de nuit sous Macron. Il nous manquera quoi, après ?

Le Président prend le risque qu’un jour, de très nombreux Français lui disent, chacun à sa façon, et plus ou moins élégamment : « Cela suffit, Monsieur le Président » ou « Casse-toi Manu ! »
Et quand nos Trissotin sont à bout d’idée, ils font l’option « pipi-caca », « scatorococo », « naturisme-scénique ». Le théâtre, aussi, a ses vagins de la reine et ses plugs anaux.
Laurent Wauquiez vient de limoger Virginie Calmels de ses fonctions de vice-présidente des LR. Réaction au micro de Boulevard Voltaire d’Érik Tegnér. Quelques semaines après


Laure, 23 ans, jeune fille issue de la bourgeoisie parisienne bien-pensante et « Charlie », décide du jour au lendemain de rejoindre la Marine nationale.

Le 28 mars 2017, le rappeur franco-algérien Médine Zaouiche était l’invité de la prestigieuse ENS. Déjà, en 2014, l’ESSEC de Cergy s’enorgueillissait de le compter parmi sa kyrielle d’invités.

Cette grande dame a choisi de tirer sa révérence quelques jours avant le départ de sa chère Grande Boucle. Elle aura décidément été professionnelle jusqu’à la fin.
Polémique au Bataclan : la salle de concert, théâtre du carnage commis par des terroristes islamistes en novembre 2015, devrait accueillir au mois d’octobre prochain

Mais, pour certains délicats problèmes de société, c’est devenu une habitude de cacher la poussière sous le tapis…
Philippe de Villiers, très jeune déjà, voulait faire un hymne à la Vendée en reconnaissance d’une dette, une enfance heureuse, et en réparation d’un terrible génocide.

En 1991, Michel Houellebecq publiait aux éditions de la Différence un court essai intitulé Rester vivant, sorte de manuel de survie à l’usage des solitaires, introvertis et dépressifs en tous genres, victimes collatérales de la postmodernité, comme des rapports humains en règle générale.

Il est grand temps que MM. Macron et Philippe rappellent certaines lignes rouges à ne pas franchir.

Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.

Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.
Cela faisait longtemps que le French doctor n’avait pas montré sa bobine à la télé.
Et aujourd’hui, Macron-Trump. Évidemment, les irrévérencieux diront, là, que ce n’est pas Tintin mais Milou en Amérique.
Des laïcards chipoteurs ont vu dans ses prêches des « actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence ».
Nos jeunes fumeurs de joints dépavèrent la capitale et dépravèrent le monde !
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Si vous pensez qu’il s’agit des horreurs du salafisme, vous n’y êtes pas du tout : ce qui angoisse le chroniqueur du journal « de référence », c’est le retour des cathos en politique !
Après avoir écouté le morceau de bravoure, plein de contre-vérités, des champions, je n’ose imaginer ce qu’était le reste.
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,
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