Musique
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Parler vrai est la meilleure preuve de la considération due aux citoyens, et l’humilité reste la marque des plus grands.
L’orchestre symphonique de Boston vient d’être invité à diversifier sa programmation.
À nous de reprendre le flambeau si nous ne voulons pas être une génération « à blanc », qui n’aura rien à dire aux siècles futurs.
Je pense que le conservateur est aujourd’hui le seul vrai révolutionnaire !
Le 25 décembre, nous célébrerons le 124e anniversaire de sa mort.
S’il y a bien une frontière difficile à tracer, c’est celle qui sépare l’artisanat de l’art.
Dans le discours présidentiel en hommage à Johnny Hallyday, un oubli m’a frappé.
L’aide humanitaire est une tâche ingrate qui s’accorde mal avec la publicité personnelle.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Johnny Halliday était – sans doute avec Alain Delon – l’un des derniers vrais mâles français admis dans le paysage médiatique.
Des milliers de « fans », une énorme escorte de « bikers », des « standards » à 150 décibels…
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Encore un extrait de l’album Gang de 1986, Je Te Promets est sorti en single en 1987
Avec la voix de Nathalie Baye sur l’intro…
Requiem pour un fou narre l’histoire d’un homme, rendu fou par amour, qui, ne supportant pas de la perdre, vient de tuer celle qu’il aime.
Écrite et composée par Jean-Jacques Goldman. Elle figure sur l’album Gang, sorti en 1986.
Le texte évoque Laura Smet, la fille de Johnny, alors âgée de 3 ans.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Le président américain a fait acte de résistance chrétienne. Qu’il en soit remercié.
Bokassa Ier ne profita pas longtemps de son trône.
Les « sages » du Palais-Royal ont tranché. Les crèches sont interdites dans l’espace public.
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Parler vrai est la meilleure preuve de la considération due aux citoyens, et l’humilité reste la marque des plus grands.
L’orchestre symphonique de Boston vient d’être invité à diversifier sa programmation.
À nous de reprendre le flambeau si nous ne voulons pas être une génération « à blanc », qui n’aura rien à dire aux siècles futurs.
Je pense que le conservateur est aujourd’hui le seul vrai révolutionnaire !
Le 25 décembre, nous célébrerons le 124e anniversaire de sa mort.
S’il y a bien une frontière difficile à tracer, c’est celle qui sépare l’artisanat de l’art.
Dans le discours présidentiel en hommage à Johnny Hallyday, un oubli m’a frappé.
L’aide humanitaire est une tâche ingrate qui s’accorde mal avec la publicité personnelle.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Johnny Halliday était – sans doute avec Alain Delon – l’un des derniers vrais mâles français admis dans le paysage médiatique.
Des milliers de « fans », une énorme escorte de « bikers », des « standards » à 150 décibels…
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Encore un extrait de l’album Gang de 1986, Je Te Promets est sorti en single en 1987
Avec la voix de Nathalie Baye sur l’intro…
Requiem pour un fou narre l’histoire d’un homme, rendu fou par amour, qui, ne supportant pas de la perdre, vient de tuer celle qu’il aime.
Écrite et composée par Jean-Jacques Goldman. Elle figure sur l’album Gang, sorti en 1986.
Le texte évoque Laura Smet, la fille de Johnny, alors âgée de 3 ans.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Le président américain a fait acte de résistance chrétienne. Qu’il en soit remercié.
Bokassa Ier ne profita pas longtemps de son trône.
Les « sages » du Palais-Royal ont tranché. Les crèches sont interdites dans l’espace public.
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