Armées

Il ne faut pas rêver : quand l’art n’exalte plus l’héroïsme ou la grandeur d’âme, la nation se meurt.

Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.

Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les régions méconnues de notre pays…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La lettre au président de la République sur les conséquences de la coupe de plus de 370 millions d’euros sur la sécurité, est restée à ce jour sans réponse.
Les people sont moins encombrants que les syndicalistes…

L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.

Le président a décidé d’employer un « tueur »…

Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.

Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Notre jeune Président essaie, à l’évidence, de se servir des institutions alors que sa tâche serait de les servir.

65 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers en France. Mais M. Macron est bien décidé à en accueillir davantage.

Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.

Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.

En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.

Il mettra du temps à reconquérir la confiance de l’armée, mais il ne perd pas de temps à perdre celle des Français, qui n’ont guère envie de l’applaudir.

Le Président s’est rendu sur la base aérienne d’Istres, plate-forme la plus importante et concentration stratégique de l’Armée de l’air.
Avec le tiers payant généralisé (TPG), le nouveau ministre de la Santé Agnès Buzyn a trouvé sur son bureau un de ces œufs d’alien prêts à éclore…

Pierre de Villiers achève sa carrière par un coup médiatique lui assurant l’éternelle reconnaissance d’un peuple de droite toujours aussi amnésique.

La droite nationale doit se trouver un vrai chef capable de regrouper toutes ses tendances.
Dans ce que je lis dans la presse, je ne vois pas où ni quand le général de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a critiqué ou contesté le PR.
Pour le général Dary, le Président aurait très bien pu calmer le jeu, mais il a au contraire amplifié le mouvement.

Le CEMA ne peut se résoudre à un rôle figuratif aux côtés du président de la République, fût-il chef constitutionnel des armées.
C’est donc par une asphyxie financière sans précédent que seront réglés les grands problèmes de la France.
Cheval de bataille du Président et de son gouvernement : réaliser des économies. L’objectif est louable mais le plan laisse à désirer.
Il faudra un à deux ans pour voir si au-delà des fanfaronnades et du style qui sont déplaisants, M. Macron fait mieux que M.M. Hollande et Sarkozy.

Il ne faut pas rêver : quand l’art n’exalte plus l’héroïsme ou la grandeur d’âme, la nation se meurt.

Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.

Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les régions méconnues de notre pays…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La lettre au président de la République sur les conséquences de la coupe de plus de 370 millions d’euros sur la sécurité, est restée à ce jour sans réponse.
Les people sont moins encombrants que les syndicalistes…

L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.

Le président a décidé d’employer un « tueur »…

Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.

Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Notre jeune Président essaie, à l’évidence, de se servir des institutions alors que sa tâche serait de les servir.

65 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers en France. Mais M. Macron est bien décidé à en accueillir davantage.

Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.

Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.

En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.

Il mettra du temps à reconquérir la confiance de l’armée, mais il ne perd pas de temps à perdre celle des Français, qui n’ont guère envie de l’applaudir.

Le Président s’est rendu sur la base aérienne d’Istres, plate-forme la plus importante et concentration stratégique de l’Armée de l’air.
Avec le tiers payant généralisé (TPG), le nouveau ministre de la Santé Agnès Buzyn a trouvé sur son bureau un de ces œufs d’alien prêts à éclore…

Pierre de Villiers achève sa carrière par un coup médiatique lui assurant l’éternelle reconnaissance d’un peuple de droite toujours aussi amnésique.

La droite nationale doit se trouver un vrai chef capable de regrouper toutes ses tendances.
Dans ce que je lis dans la presse, je ne vois pas où ni quand le général de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a critiqué ou contesté le PR.
Pour le général Dary, le Président aurait très bien pu calmer le jeu, mais il a au contraire amplifié le mouvement.

Le CEMA ne peut se résoudre à un rôle figuratif aux côtés du président de la République, fût-il chef constitutionnel des armées.
C’est donc par une asphyxie financière sans précédent que seront réglés les grands problèmes de la France.
Cheval de bataille du Président et de son gouvernement : réaliser des économies. L’objectif est louable mais le plan laisse à désirer.
Il faudra un à deux ans pour voir si au-delà des fanfaronnades et du style qui sont déplaisants, M. Macron fait mieux que M.M. Hollande et Sarkozy.
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