Armées

Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.

Le terrorisme islamique, d’origine immigrée ou pas, a encore de beaux jours devant lui.

Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.

C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.

La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.

L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.

Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.

Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.

Je veux évoquer aujourd’hui des Français, nés sur la terre déchirée de Lorraine.
Le baromètre mensuel Ifop-JDD est formel : ce n’est plus un tassement ou une chute, c’est un effondrement.

« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.

La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ».
Le Colonel J. Hogard pense que l’opération Sentinelle doit être revue car elle est inefficace, coûteuse et démoralisante pour les troupes.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
Objectif : 25 % de femmes dans les armées. La méthode : fermer le recrutement aux hommes et baisser les barèmes de sélection.
Des milliers de migrants prennent d’assaut la métropole québécoise et le stade olympique a dû être réquisitionné.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.

Lui, le chef des armées, a mis 12 heures 40 minutes pour réagir.
La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.

La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.

Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre

Jean-Marie Beuzelin nous donne en deux articles, que nous publierons sur deux jours, les sept clefs pour comprendre la situation au Venezuela.
Le général Desportes analyse les répercussions de la crise politico-militaire de la démission du général de Villiers.

Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.

Le terrorisme islamique, d’origine immigrée ou pas, a encore de beaux jours devant lui.

Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.

C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.

La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.

L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.

Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.

Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.

Je veux évoquer aujourd’hui des Français, nés sur la terre déchirée de Lorraine.
Le baromètre mensuel Ifop-JDD est formel : ce n’est plus un tassement ou une chute, c’est un effondrement.

« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.

La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ».
Le Colonel J. Hogard pense que l’opération Sentinelle doit être revue car elle est inefficace, coûteuse et démoralisante pour les troupes.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
Objectif : 25 % de femmes dans les armées. La méthode : fermer le recrutement aux hommes et baisser les barèmes de sélection.
Des milliers de migrants prennent d’assaut la métropole québécoise et le stade olympique a dû être réquisitionné.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.

Lui, le chef des armées, a mis 12 heures 40 minutes pour réagir.
La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.

La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.

Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre

Jean-Marie Beuzelin nous donne en deux articles, que nous publierons sur deux jours, les sept clefs pour comprendre la situation au Venezuela.
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