Armées

« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. » C’est une foule recueillie qui

https://www.youtube.com/watch?v=X_jqs4cMULQ&feature=youtu.be Boulevard Voltaire était présent, ce matin, avec plusieurs centaines de Français sur le pont Alexandre-III à Paris pour rendre hommage aux deux officiers mariniers

Le succès de ces opérations découle d’une seule problématique : l’effet de surprise.

On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.

Pour chaque otage enlevé, plusieurs centaines d’hommes travaillent dans des bureaux ou sur le terrain pour récolter du renseignement, le recouper et monter des opérations.

Nouveau jour de deuil pour l’armée française ; donc pour la France…

Il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay

Cela nous dépasse, nous, d’envoyer au casse-pipe deux brillants officiers mariniers du prestigieux commando Hubert, et cela, pour récupérer deux touristes en mal d’aventure…

Deux militaires des forces spéciales ont sacrifié leur vie durant la nuit de jeudi à vendredi dans l’opération visant à libérer les deux otages français enlevés au Bénin.

Un ami et contributeur de Boulevard Voltaire dont la présence faisait honneur à notre site vient de partir. Le 8 mai, au Chesnay (78), s’est

Notre reporter a rencontré le major Pierre Flamen, parachuté à Ðiện Biên Phủ en mars 1954. Le témoignage poignant d’un vétéran qui fut fait prisonnier,

Pourquoi commémorer le 8 mai 1945 ? Faut-il, comme l’avait envisagé Valéry Giscard d’Estaing, suprimer cet anniversaire pour le remplacer par une célébration de l’Europe

Aujourd’hui 7 mai, c’est l’anniversaire de la bataille de Ðiện Biên Phủ, en Indochine. Il y a 65 ans, après 56 jours et 55 nuits

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».


La presse a relaté un incident maritime franco-chinois impliquant une frégate de la Marine nationale, Le Vendémiaire, dans le détroit de Taïwan. Pour Boulevard Voltaire,
Les gendarmes mobiles, grâce à leur déontologie et leur savoir-faire, ont une attitude qui minore notablement dans les manifs les risques de bavures.

Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.

Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.

C’est l’éternelle parabole de la paille et de la poutre…
Si c’est Castaner qui trinque au Noto, ce sont les familles qui en bavent, touchées de plein fouet par ces absences répétées.

Après tout, on sait bien faire appel à l’armée pour ramasser les poubelles…

Le dernier militaire de carrière à avoir été ministre, ce fut le général Marcel Bigeard.

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Que risquent de retenir les Français dans cette décision ? Au pire, que ce gouvernement est prêt à faire tirer l’armée sur les plus extrêmes des gilets jaunes.

« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. » C’est une foule recueillie qui

https://www.youtube.com/watch?v=X_jqs4cMULQ&feature=youtu.be Boulevard Voltaire était présent, ce matin, avec plusieurs centaines de Français sur le pont Alexandre-III à Paris pour rendre hommage aux deux officiers mariniers

Le succès de ces opérations découle d’une seule problématique : l’effet de surprise.

On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.

Pour chaque otage enlevé, plusieurs centaines d’hommes travaillent dans des bureaux ou sur le terrain pour récolter du renseignement, le recouper et monter des opérations.

Nouveau jour de deuil pour l’armée française ; donc pour la France…

Il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay

Cela nous dépasse, nous, d’envoyer au casse-pipe deux brillants officiers mariniers du prestigieux commando Hubert, et cela, pour récupérer deux touristes en mal d’aventure…

Deux militaires des forces spéciales ont sacrifié leur vie durant la nuit de jeudi à vendredi dans l’opération visant à libérer les deux otages français enlevés au Bénin.

Un ami et contributeur de Boulevard Voltaire dont la présence faisait honneur à notre site vient de partir. Le 8 mai, au Chesnay (78), s’est

Notre reporter a rencontré le major Pierre Flamen, parachuté à Ðiện Biên Phủ en mars 1954. Le témoignage poignant d’un vétéran qui fut fait prisonnier,

Pourquoi commémorer le 8 mai 1945 ? Faut-il, comme l’avait envisagé Valéry Giscard d’Estaing, suprimer cet anniversaire pour le remplacer par une célébration de l’Europe

Aujourd’hui 7 mai, c’est l’anniversaire de la bataille de Ðiện Biên Phủ, en Indochine. Il y a 65 ans, après 56 jours et 55 nuits

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».


La presse a relaté un incident maritime franco-chinois impliquant une frégate de la Marine nationale, Le Vendémiaire, dans le détroit de Taïwan. Pour Boulevard Voltaire,
Les gendarmes mobiles, grâce à leur déontologie et leur savoir-faire, ont une attitude qui minore notablement dans les manifs les risques de bavures.

Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.

Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.

C’est l’éternelle parabole de la paille et de la poutre…
Si c’est Castaner qui trinque au Noto, ce sont les familles qui en bavent, touchées de plein fouet par ces absences répétées.

Après tout, on sait bien faire appel à l’armée pour ramasser les poubelles…

Le dernier militaire de carrière à avoir été ministre, ce fut le général Marcel Bigeard.

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Que risquent de retenir les Français dans cette décision ? Au pire, que ce gouvernement est prêt à faire tirer l’armée sur les plus extrêmes des gilets jaunes.
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