Agriculture

Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?

Le paysan français est la nouvelle cible des écologistes

Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

Dans la Drôme, Joris Miachon, un arboriculteur, a alerté les réseaux sociaux de cette situation ubuesque : le Super U de Saint-Sorlin-en-Valloire propose des poires d’Argentine à seulement deux kilomètres de son exploitation !

Comme pour l’importation de cerises étrangères traitées au diméthoate, interdit aux producteurs français, ne soyons pas une fois de plus les dindons de la farce !

La riposte de nos élites ? Le déni, le dénigrement, le relativisme ou, au mieux, une indignation feinte, mais qui ne vise personne.

Pour que les Français puissent continuer à manger de la viande, il faudra bientôt l’importer des antipodes


L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.

Ce monde qui raisonne à courte échéance, avec le dumping social pour seul horizon, l’économie pour unique raison d’être, obnubilé par le profit immédiat, se trouve ainsi abandonné à ses propres contradictions.

Remettre en cause les 35 heures et le chômage et les traités internationaux, et appeler au patriotisme alimentaire ! Tout ça publiquement en vingt minutes d’interview…

Le moment est venu de faire le tri entre les caractères et les rien qu’intelligents, entre ceux qui ont du coffre et ceux qui n’ont que des diplômes.

Le député LREM du Lot-et-Garonne Olivier Damaisin a été chargé par le Premier ministre d’une mission sur le suicide des agriculteurs. Il s’explique en exclusivité

Comme chaque année, Boulevard Voltaire s’est rendu au Salon de l’agriculture à Paris. Dans les allées de « la plus grande ferme de France »,

Le Salon de l’agriculture reste l’un des symboles d’une France qui se bat pour exister.

Un petit milliard, c’est une broutille que l’on pourrait facilement compenser sur les gaspillages, un contrôle plus strict des allocataires, une lutte plus résolue contre la fraude.

Ils n’ont pas attendu les écolos pour protéger la terre, leur terre, souvent héritée depuis plusieurs générations.

Comme il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs.

Le travail gouvernait son existence et les saisons rythmaient sa vie.

Force est de constater que la France des campagnes n’est pas tout à fait morte.

Ces arrachages de vergers entiers sont une nouvelle manifestation du déclin français…

L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !

La France prend comme toujours les devants, imposant à ses agriculteurs des réglementations contraignantes que n’ont pas leurs voisins.

Manifestation, dans Paris, des agriculteurs, grève du 5 décembre : pour Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, ces mouvements sont légitimes, chacun devant pouvoir

Écoutez bien les explications de cet agriculteur de Seine-et-Marne… https://www.youtube.com/watch?v=15vTHQXNwms&feature=youtu.be

« Agri-bashing », agressions, mépris, culpabilisation… pour les agriculteurs, la coupe est pleine. Ils s’étaient donné rendez-vous à Paris, aujourd’hui, pour dénoncer le manque de

Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?

Le paysan français est la nouvelle cible des écologistes

Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

Dans la Drôme, Joris Miachon, un arboriculteur, a alerté les réseaux sociaux de cette situation ubuesque : le Super U de Saint-Sorlin-en-Valloire propose des poires d’Argentine à seulement deux kilomètres de son exploitation !

Comme pour l’importation de cerises étrangères traitées au diméthoate, interdit aux producteurs français, ne soyons pas une fois de plus les dindons de la farce !

La riposte de nos élites ? Le déni, le dénigrement, le relativisme ou, au mieux, une indignation feinte, mais qui ne vise personne.

Pour que les Français puissent continuer à manger de la viande, il faudra bientôt l’importer des antipodes


L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.

Ce monde qui raisonne à courte échéance, avec le dumping social pour seul horizon, l’économie pour unique raison d’être, obnubilé par le profit immédiat, se trouve ainsi abandonné à ses propres contradictions.

Remettre en cause les 35 heures et le chômage et les traités internationaux, et appeler au patriotisme alimentaire ! Tout ça publiquement en vingt minutes d’interview…

Le moment est venu de faire le tri entre les caractères et les rien qu’intelligents, entre ceux qui ont du coffre et ceux qui n’ont que des diplômes.

Le député LREM du Lot-et-Garonne Olivier Damaisin a été chargé par le Premier ministre d’une mission sur le suicide des agriculteurs. Il s’explique en exclusivité

Comme chaque année, Boulevard Voltaire s’est rendu au Salon de l’agriculture à Paris. Dans les allées de « la plus grande ferme de France »,

Le Salon de l’agriculture reste l’un des symboles d’une France qui se bat pour exister.

Un petit milliard, c’est une broutille que l’on pourrait facilement compenser sur les gaspillages, un contrôle plus strict des allocataires, une lutte plus résolue contre la fraude.

Ils n’ont pas attendu les écolos pour protéger la terre, leur terre, souvent héritée depuis plusieurs générations.

Comme il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs.

Le travail gouvernait son existence et les saisons rythmaient sa vie.

Force est de constater que la France des campagnes n’est pas tout à fait morte.

Ces arrachages de vergers entiers sont une nouvelle manifestation du déclin français…

L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !

La France prend comme toujours les devants, imposant à ses agriculteurs des réglementations contraignantes que n’ont pas leurs voisins.

Manifestation, dans Paris, des agriculteurs, grève du 5 décembre : pour Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, ces mouvements sont légitimes, chacun devant pouvoir

Écoutez bien les explications de cet agriculteur de Seine-et-Marne… https://www.youtube.com/watch?v=15vTHQXNwms&feature=youtu.be

« Agri-bashing », agressions, mépris, culpabilisation… pour les agriculteurs, la coupe est pleine. Ils s’étaient donné rendez-vous à Paris, aujourd’hui, pour dénoncer le manque de
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