[POINT DE VUE] Pour Libé, c’est clair : « Il faut mettre fin à Noël. »

La dimension religieuse de la Nativité semble passer totalement par-dessus la tête de Libé.
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L’extrême gauche haineuse ne prend pas de vacances. Dans un article publié précisément le 25 décembre, nos confrères de Libération écrivent : « Il faut mettre fin à Noël. » Au moins, c’est clair. On ne pourra pas les accuser d’avancer masqués. « Quel intérêt y a-t-il à maintenir ces traditions ? Arrêtons tout : achevons Noël ! »

https://twitter.com/libe/status/1739355707449720834

La passion de la destruction

Ce papier vomitif est écrit par une certaine Marie-Ève Lacasse, « autrice » canadienne qui, selon Wikipédia, aurait été naturalisée en 2013. Mais dix années de pleine citoyenneté plus tard, la quadra n’a toujours pas saisi ce que représente Noël pour les Français. Prisonnière du matérialisme mortifère propre à sa petite caste, la journaliste n’y voit rien de plus qu’une vulgaire « surconsommation de cadeaux et de nourriture », tout au plus une « pénible pièce de théâtre familiale ». La dimension religieuse de la Nativité semble lui passer totalement par-dessus la tête. C’est ballot.

L’aspect profondément civilisationnel de Noël - rappelé avec émotion par Philippe de Villiers dans un édito qui a fait le buzz tout le week-end -, en revanche, ne lui a pas échappé. C’est d’ailleurs ce qui motive la hargne de la jeune femme. Elle a beau prétexter les « catastrophes psychanalytiques » causées par les réunions familiales et les « désastres écologiques induits par les transports et cadeaux inutiles », ses intentions réelles se devinent aisément : il s’agit de déconstruire un héritage désespérément occidental et blanc, forcément excluant. « Mélangeons nos familles et nos amis, hybridons nos fêtes et nos traditions et faisons-le toute l’année », exhorte la journaliste.

La haine à sens unique

Étrangère à ce qui fonde l’identité française, Marie-Ève Lacasse s’est en revanche parfaitement assimilée à son petit milieu bobo parisien. Il faut lire le mépris qu’inspirent à la journaliste les Français de province. C’est tout juste si elle ne se pince pas le nez lorsqu’elle évoque « cette campagne reculée où vous êtes tombés au supermarché local sur vos amis d’enfance devenus comptables agréés et prothésistes dentaires ». Quelle horreur, en effet. « Avez-vous survécu aux 750 kilomètres de bouchons non prévus par Bison futé après avoir eu l’idée saugrenue de quitter votre domicile ? », ricane-t-elle.

Comme beaucoup de ses semblables, la journaliste ne sait pas où elle habite. Engoncés dans leurs clichés sur l’Occident meurtrier et la diversité bienheureuse, les gauchistes ne voient d’issue que dans la destruction de ce que nous sommes. Tout ce qui nous est étranger, à l’inverse, leur paraît adorable. Le ramadan aussi contient son lot de conflits de famille, de troubles intestinaux et de « désastres écologiques », mais Libération ne suggère pas d’y mettre fin. Au contraire. Au mois d’avril dernier, le quotidien s’en était pris à la Fédération française de football lorsque celle-ci avait refusé d’interrompre les matchs en soirée afin que les joueurs de confession musulmane puissent se restaurer. « Mais pourquoi empêcher les footballeurs français de rompre le jeûne ? », s’indignait alors la feuille de chou parisienne, qui dénonçait au passage « l’ire islamophobe des Zemmour, Ciotti, etc. » Dommage que l’ire cathophobe de ses propres journalistes ne lui pose aucun problème.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 10/09/2024 à 9:13.
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Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

Vos commentaires

49 commentaires

  1. Il faut avant tout mettre fin à toutes les aides publiques envers toute cette racaille constatant que ce sont avant tout tous ces assistés de la République, tous ces fainéants qui sont les plus tordus et qui demandent toujours plus d’argent « gratuit » les pires étant ces soit disant gauchos qui glandent leur vie entière aux frais de ceux qui triment. Vider aussi le pays France de tous ces salopards est un acte de Résistance pour sauver la France.

  2. S’appeler de son prénom Marie Eve ,et vouloir supprimer une fête chrétienne, fallait oser.
    Pour son nom il y aurait trop à dire . Ses copines de classe ont dû s’en charger et ça l’à rendue méchante.

  3. pour la gauche, incapable de résultats politiques dans quelque domaine que ce soit , il ne reste que la déconstruction « sociétale » pour marquer son temps . Comme disait César à Marius , » c’est pas que tu es bon à rien , c’est que tu es mauvais à tout »!

  4. Il faudrait plutôt mettre fin aux subventions que reçoit Libération… Quel intérêt de faire survivre artificiellement ce rogaton d’un vieux journal militant gauchiste que presque plus personne ne lit ? C’est de l’acharnement thérapeutique…

  5. Supprimer NOËL, personne n’y parviendra ! Visiblement, la haine ne connait pas de trêve chez ces gens là et cette Marie-Eve Lacasse si on comprend bien, a elle aussi un petit problème sous l’abat-jour. Cela dit, qu’elle aille au bout de ses convictions en remplaçant ses propres prénoms Marie-Êve….. il n’y a pas de prénoms plus chrétiens que ceux-là ! et si elle n’aime pas les ploucs français, qu’elle reparte retrouver ceux du Canada, on ne la retient pas.

  6. C’est les gens de son espèce qu’il faut supprimer , qu’ils quittent ce pays s’ils n’aiment pas nos traditions , nos coutumes et nos fêtes religieuses et de leur rappeler que nos racines sont chrétiennes .

  7. Le plus triste, c’est que ces bobos fielleux ne se rendent pas compte que ce sont eux qui ont un problème. Ils n’ont aucune racine, aucune attache, aucun récit personnel qui ne leur permet d’avoir une identité personnelle. Ces gens ne sont que des poupées creuses habitées par un vide triste et froid.

  8. Supprimer Noël et bien sûr le jour férié qu’il représente, nous allons voir si la majorité des Français même les athées partagent cet opinion…

    • Ils iront gaiement travailler le 25 décembre, et même tous les jours actuellement fériés, pour raisons religieuses ou patriotes. La patrie aussi doit disparaître, et l’Europe est entrain de régler cette question grâce à des gens que nous n’avons ni choisi, ni élu.

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