Meurtre de Louise : Owen L., un individu « violent, nerveux, agressif »
Ce n’est pas la première fois qu’Owen L. cherchait à s’en prendre à une jeune fille.
Après l’arrestation d’Owen L., homme de 23 ans suspecté du meurtre de la petite Louise, 11 ans, dont le corps a été retrouvé dans le bois de Longjumeau (Essonne), lardé de coups de couteau, le procureur d’Évry a pris la parole, dans la soirée du mercredi 12 février. Face à la presse, Grégoire Dulin a tout d’abord tenu « à avoir une pensée émue pour Louise » avant de revenir sur l’ensemble des faits. « À l’issue de l’autopsie, les médecins légistes excluaient la commission de violences sexuelles », précise le procureur, tout en ajoutant que le corps médical a relevé « sur le corps de la victime la présence de très nombreuses plaies commises avec un objet tranchant dans plusieurs zones vitales ». Des coups de couteau qui traduisent « l’extrême violence des coups portés » dont a été victime la collégienne qui s’est débattue. « Ils constataient enfin des lésions de défense sur les mains de Louise montrant qu’elle s’était opposée à son agresseur », détaille Grégoire Dulin.
Les enquêtes et témoignages du voisinage « ont été déterminants »
Si, dans un premier temps, plusieurs personnes ont été interpellées et vite relâchées, l’enquête a pris une tout autre tournure après les enquêtes de voisinage et les témoignages qui « se sont avérés déterminants pour la suite de l’investigation », commente le procureur d’Évry. Rapidement interpellé, Owen L., 23 ans, qui présentait des plaies au niveau des mains, a d’abord nié les faits. Mais confondu à cause de son ADN et de la vidéosurveillance, l’homme avoue aux enquêteurs avoir agi après une partie de Fortnite (jeu vidéo compétitif en ligne).
C’est l’audition de la petite amie du suspect qui a permis de mieux connaître le déroulé des faits. Aux enquêteurs, celle-ci a raconté que « le vendredi 7 février, alors qu’il jouait à Fortnite, il avait eu une altercation en ligne avec un autre joueur qui l’insultait », a-t-elle raconté aux enquêteurs. « Très énervé, il s’est arrêté de jouer et est sorti de chez lui pour se calmer », rapporte le procureur. Revenu chez lui « 10 minutes plus tard », sa petite amie l’a retrouvé blessé aux mains. Entre-temps, il avait lardé de coups de couteau la jeune Louise. Avouant son crime à sa petite amie, « il retirait ses vêtements qu’il aspergeait d’eau de Javel avec le couteau en jetant le tout dans une poubelle », décrit le magistrat.
Owen L., un individu « violent, nerveux, agressif »
Dans un communiqué daté du mercredi 12 février au matin, le procureur de la République d’Évry indiquait « que le principal suspect a reconnu les faits qui lui étaient reprochés lors de sa garde à vue ». Décrit comme « violent, nerveux, agressif et jouant de manière intensive » aux jeux vidéo par sa sœur de 19 ans, Owen semblait être un individu habitué aux coups de colère ultra-violents. Lors de sa prise de parole, Grégoire Dulin rapporte qu’« elle [sa sœur] ne lui parlait plus depuis qu’elle avait subi des violences de sa part en avril 2023 ». Et d’indiquer que ces mêmes « violences avaient fait l’objet d’un dépôt de main courante ».
Pire, encore, ce n’est pas la première fois qu’Owen L. cherchait à s’en prendre à une jeune fille. « L’enquête a permis de déterminer que le mis en cause avait abordé une collégienne, le 4 février dernier, prétextant avoir perdu son téléphone dans la forêt et avoir des problèmes de vue [de la même manière qu’il avait abordé Louise] », a révélé le procureur d’Évry, avant d’ajouter : « Elle avait refusé de le suivre et échappait ainsi à son agresseur. » Si les parents du suspect ont été relâchés après leurs auditions, sa petite amie est, quant à elle, placée sous contrôle judiciaire avec obligation de pointage. Owen L., lui, est placé en détention provisoire. Le couple doit être présenté devant un juge d’instruction dans la soirée en vue de leur mise en examen respective.
Julien Tellier
Journaliste
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Il faut faire des confettis avec le cordon sanitaire
81 commentaires
Ce qui est le plus consternant, comme le dit Alice Cordier sur X, c’est tous ces gauchistes qui se réjouissent ou soient soulagés que le mis en cause soit une personne de type européen. On est chez les fous. De même que certains représentants gauchistes ou médias du même courant, accordent davantage d’importance au fait que ce crime serait un camouflet pour l’extrême droite et qu’il ne ferait pas fonctionner un prétendu fond de commerce, plutôt qu’au fait qu’une vie a été enlevé gratuitement ! Ça ça s’appelle vraiment de la récupération au profit d’un jeu politique ! C’est consternant !
Nouvelle « révélation » pas longtemps après ce énième massacre au sujet du massacre du jeune Elias …
Un « détail » au sujet de l’arme utilisée : une machette ! …
Les « médias » font leurs « travail » en omettant systématiquement des « détails » qui caractérisent les massacres qui se déroulent quotidiennement sur TOUT le territoire français ! …
Vous verrez que « Owen L. » nous sera présenté comme un schizophrène, donc il bénéficiera de toutes les excuses psychiatriques possibles et imaginables…
Nous pouvons compter sur les psychiatres et les juges pour trouver à Owen L. des circonstances atténuantes.
La France est devenue un hôpital psychiatrique à ciel ouvert.
Que Louise repose en paix !
Le rétablissement de la peine devrait être réhabilitée pour ce genre de criminel. La société n’a pas à nourrir en prison de tel monstre .
Non mais que ces personnes ne puissent jamais resortir
Si l’explication donnée (jeux vidéos) est exacte, la jurisprudence édictée lors du meurtre de Sarah Halimi aurait pu être appliquée si la loi n’avait été modifiée. Mais ce changement ne concerne que les substance psychoactives. Les jeux vidéos sont, tout comme la drogue, parfois des addictions. Alors peut on craindre, dans ce cas, une décision d’irresponsabilité?
Stop vous les auteurs de crimes odieux, Prison a perpétuité soit en France 20 ans 18 ans incompressible moins quelque permissions, non ! le bagne a vie avec un minimum de sons, la famille pour elle c’est dorénavant la vrais perpétuité incompréhensible.
Et les parents ne savaient pas que leur fils était violent car pour que sa soeur dépose une main courante pour violence?
Je me demande quand la gauche va oser la récupération.
Je suis bouleversé, mais le problème c’est que maintenant, c’est devenu habituel, courant, pauvres parents, j’imagine leur chute, Qu’est-ce qu’on va encore devoir lire dans les médias ?
Démission des parents, de l’école, de l’église. Voila le resultat (un des trop nombreux resultats devrais-je dire) : un adulescent incapable de maitriser une frustration née d’un jeu vidéo abrutissant et ne trouvant comme solution à juguler cette frustration que le vol, le racket et le meutre. Les parents restent pour moi les « influenceurs » principaux.
Des laxistes comme 40% de la génération des quarantenaires !! mal éduqués eux mêmes !!
La « pulsion », bien entendu irrépressible et dommageable, va-t-elle faire passer cet individu d’un statut de monstre à celui de victime ? Pleurons, compassionnels de tous les pays…
Cet individu a quand même trouvé une « petite amie » …………….
Si ce type avait été au travail, la malheureuse ne serait pas morte. Un sujet d’élite, il faut le souligner, qui passe ses journées dans l’oisiveté et agresse des fillettes pour les voler. Courageux en plus !
En BTS en alternance à 23 ans ? et en plus il séchait ses cours !! A mon avis un psychiatre seait nécesaire !!surtout après qu’il ait maltraité sa soeur !! rien pas de mesure ?
Pas d’hôpital psychiatrique…de la prison ..ou plus efficace encore ..pas de pitié pour cet assassin …
Quand l’état et les responsables médicaux ne se pencherons pas sur les violences diffusé au cinéma et sur les plates formes de jeu. Cela restera récurrent pour les spectateurs adultes et les jeunes qui voient au 1er degrés ces images.
On a donc un adulte de 23 ans qui passe son temps à jouer à des jeux en ligne stupides et qui, quand il perd et en a gros sur la patate, décide d’aller massacrer une malheureuse enfant au hasard, juste pour détendre entre deux parties. Ensuite, il rentre chez lui tranquillement pour faire disparaitre les preuves de son crime. On imagine que la justice ira lui trouver des circonstances atténuantes, le trouvera « déséquilibré » (il doit bien l’être un peu pour larder de coups de couteaux une gamine de 11 ans), s’il a fumé un peu de cannabis auparavant (il est probablement consommateur de diverses substances illicites) la gauche poussera sa diatribe habituelle sur la nécessité de dépénaliser, mais pas un mot sur la nécessité de durcir la loi. La routine, quoi. Espérons simplement qu’il ira très longtemps en prison où il pourra continuer à jouer avec ses compagnons de détention. Mais là-bas, une seule règle est de rigueur, celle du plus fort. Pas sûr qu’il gagne à chaque fois, d’autant plus qu’il trouvera en prison des adversaires plus coriaces qu’une petite de 11 ans.