« Il n’y a plus de Français de souche » : la joie mauvaise de Mathieu Kassovitz
En direct sur France 5, l'acteur a accablé la France et s'est réjoui de la disparition de son peuple historique.
Le cinéma français dans toute sa laideur. Alors que le Festival de Cannes bat son plein, certains acteurs en profitent pour se mettre en avant et afficher leur vertu. Nous avons ainsi eu droit au discours de l’inévitable Juliette Binoche, recouverte d’un linceul blanc en hommage à une Palestinienne morte à Gaza, ainsi qu’à un triste monologue de Laurent Lafitte en soutien aux migrants et aux « LGBTQIA+ ». Il ne manquait plus qu’un laïus sur les péchés de la France et son devoir impérieux de repentance. C’est désormais chose faite, grâce à Mathieu Kassovitz.
La culpabilisation de la France d'avant
Lundi 19 mai, le comédien du Bureau des légendes était sur le plateau cannois de l’émission C à vous, décidément propice à tous les dérapages. « Le problème, en France, c’est un problème que l’on trimbale depuis très longtemps, un problème de racisme, de difficulté à intégrer, a-t-il lancé devant un public amorphe. C’est un combat qui pour moi est complètement perdu d’avance. »
"Le problème qu’on a en France, c’est le racisme (…) J’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus"
Matthieu Kassovitz sur le service public pic.twitter.com/T3RKeRwbzO— Destination Ciné (@destinationcine) May 19, 2025
De quel « racisme » était-il question, dans l’esprit du quinquagénaire ? De celui qui a causé la mort de centaines de « Blancs », de « gwers » et autres « kouffars », ces dernières années, en France, à travers attentats et agressions ? Sans doute pas. Il devait plutôt s’agir de ce racisme dit « systémique », sans victime connue, mais dont les sociologues et les médias d’extrême gauche nous rebattent les oreilles à grand renfort d’études biaisées sur les « discriminations » à l’embauche ou au logement.
La haine du Blanc
L’acteur a ensuite poursuivi sa diatribe confuse sur un versant plus identitaire. « Nous devons être fiers d’être un des pays les plus intégrés au monde, c’est une de nos forces et c’est ce qui fait que nous sommes français, a-t-il ajouté. Maintenant, il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus et j’espère qu’on va continuer à se mélanger, pas seulement en France mais aussi dans le reste du monde. » Tiens donc ! Après nous avoir expliqué que les Français de souche n’existaient pas, la gauche se réjouit de leur disparition. Cherchez l’erreur.
Bien entendu, ces propos incendiaires ont immédiatement mis le feu aux réseaux sociaux. « Si, il y a des millions de Français de souche ! Ne vous en déplaise, ils ont autant le droit d’être fiers de leurs racines, de leurs traditions, de leurs cultures que les autres ! », s’est par exemple insurgé Fred, sur X. « Quand Kassovitz dit qu’il n’y a plus de Français de souche, il ne constate pas : il milite. Il nie des siècles de civilisation, d’enracinement, de continuité nationale. Ce n’est pas un appel au vivre ensemble, c’est un appel à la dilution », a analysé un autre internaute.
Souhaiter la disparition d'un peuple, ce n'est pas considéré comme raciste.
Et pourtant, c’en est l’expression la plus absolue.https://t.co/qbZe5wzRC6— Pierre Sautarel (@FrDesouche) May 19, 2025
Comment expliquer cette haine viscérale de Mathieu Kassovitz envers ses concitoyens ? Le père de l’acteur en détient sans doute la clef. En 2017, Peter Kassovitz avait confié au Monde : « L’histoire de mon fils, c’est celle d’un type qui aurait voulu être un grand Noir alors qu’il est un petit juif blanc. » Ceci explique sans doute cela…
Mais au-delà de l’acteur, ceux qui siégeaient à ses côtés, lundi soir, buvant ses paroles sans broncher, sont tout autant critiquables. Que ce serait-il passé si un invité avait appelé à la disparition, non pas du peuple français, mais d’un peuple africain ? Tous auraient poussé des hauts cris, des plaintes en racisme auraient été déposées et le contrevenant aurait vu sa carrière s’arrêter net. Certains n’auraient pas hésité à dénoncer un appel au « génocide » et, pour une fois, le terme aurait été bien choisi.
Mais rien de tout cela quand on s’en prend aux Français de souche, aux natifs, aux « Gaulois », comme on dit parfois sur le ton de l’insulte dans certaines cités mal famées. Dans un esprit gangréné par la pensée d’extrême gauche, un Blanc ne saurait être victime de racisme. Il ne peut en être que l’auteur. C’est un dominant, un privilégié, un suprémaciste, qu’il est toujours légitime d’accabler. Voilà pourquoi on peut même appeler à sa disparition en direct à la télé, dans la plus totale impunité.
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société
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103 commentaires
Je ne préfère pas dire ce que je pense de ce « type » mais le cœur y est et pour sa gouverne, les FDS il y en a encore et j’en fais partie et j’en suis fière !
Français de souche, ça ne veut rien dire… quels seraient les critères ?
La mère de Louis 14 était espagnole ;sa grand-mère italienne… il ne serait donc pas français de souche, pas plus que
Napoléon, ni De Gaulle qui a des lointaines origines irlandaise.
Ce qui est important, c’est de faire souche en adhérant a notre histoire, notre culture, notre société, notre mode de vie…
L’immigration européenne du 20s a fait souche en s’assimilant en moins d’une génération.
On ne peut pas faire souche quand on déteste le pays d’accueil… comme Kasovitz.
Les propos de Kassovitz puent la haine anti France. Je plains ce monsieur de ne pas savoir qui il est, où sont ses racines, n’être rien et de nulle part doit faire mal.
Il est vrai que c’est la norme dans ce milieu de cracher sur le pays qui les nourrit à grand renfort d’argent public.
Cet homme est partout : sur les documentaires de la 2è guerre mondiale, sur la shoah, sur la guerre d’Algérie, etc, etc…. Il est décourageant de mauvaise foi.
Mr Kast : le grand Noir (avec majuscule) et le petit blanc (minuscule), c’est voulu ou c’est la retranscription littérale d’une citation du père de Kassovitz qui signifierait qu’il pense comme son fils ?
que ce monsieurcontinue, que je sacje ce n’est pas les français qui s’en prennent aux gens de son peuple !
Je suis moi-même issu d’un mélange de races: Gaulois ambiens, Belges (de tous les peuples de la Gaule les plus braves, comme chacun sait), Romains (légionnaires), Francs saliens, Bataves, Espagnols et sans doute quelques autres apports (Germains par exemple).
J’ai même une petite fille qui a trois passeports : francais, allemand et mexicain. Question métissage, Mr Kassovitz ne peut rien m’apprendre!
Ce serait trop d’honneur de faire un commentaire sur ce monsieur ,donc je l’ignore
Est-ce bien pour entendre ce genre de discours politisés et complètement débiles, incompréhensibles, nauséabonds que le contribuable français doit financer le cinéma à coup de millions, voire de milliards ? Dans quel autre pays d’Europe le cinéma est-il donc subventionné à ce point ? Grassement surpayés par le contribuable, nos « pseudo artistes » n’ont absolument pas besoin de produire des oeuvres de qualité, des oeuvres attirant du public puisque, de toute façon, ils seront grassement, et indécemment, financés par le contribuable, non pas pour briller dans l’art mais pour se fourvoyer dans des prises de position politicardes, embrouillées et, bien sûr, toujours orientées à l’extrême gauche. Il est clair que ce sont encore des soutien de La France Indécente. Autant confier directement les subventions destinées au cinéma à la France Imbuvable puisque cette argent sert à renforcer la propagande de cet extrême gauche et cet argent n’est pas du tout au service de la culture.
Je viens d’écrire le livre de Mes Ancêtres : douze générations côté paternel et soixante neuf générations côté maternel ! Je me sens Français de souche, n’en déplaise à ce monsieur.
Si ce petit monsieur prétentieux et beau-parleur n’est pas content en France, qu’il s’en retourne dans son pays d’origine familiale la Hongrie mais je ne suis pas sûr que cher et brillant monsieur Orban l’accueille à bras ouverts. Quand aux « Français de souche », le plus vieil acte de baptême des ancêtres de mon épouse, dont nous détenons la copie, remonte au 20 janvier 1467 en Loire atlantique et concernant les miens, certes un peu moins vieux, il est tout de même du 14 janvier 1560 dans la Sarthe. Alors de quoi parle-t-on, monsieur, de migrants macronistes avant l’heure ? Vous feriez bien de relire en détail l’histoire de France et des Français, les vrais, je suis certain que vous y apprendriez des tas de choses; à bon entendeur, salut.
Matthieu Kassowitz regrette peut-être de ne pas être un vrai Français.
N’en déplaise à M. Kassovitz, nous sommes encore quelques uns…et pas encore tout à fait morts !
Je ne sais pas à quelle époque sa famille est arrivée en France, sans doute moins d’un siècle, eh bien si des français de souche et fiers de l’être il y en a encore, j’ai remonté mon arbre généalogique jusqu’au 1500 environ parce que c’est assez facile à faire et j’ai beau regarder, m’écarquiller les yeux je ne vois partout dans mon arbre que des français avec des prénoms bien de chez nous (comme aurait dit Jean Nohain) souvent d’ailleurs les mêmes puisque le fils prenait celui du père et les mariages se faisaient dans un rayon de 50km, à l’époque déjà les voiture étaient interdites en ville, et heureusement nous sommes encore nombreux et ce monsieur alors est-il oui ou non pour des juifs qui ne seraient pas de souche ? Comme disait Roger Hanin : »si tout le monde faisait comme moi…. » La dérision c’est facile. par contre on a découvert dans l’arbre de ma femme que son arrière grand père était allemand arrivé juste avant la guerre de 70, le grand père lui, il le savait mais n’en a jamais parlé, puis tout le monde l’a ignoré puisque son nom n’est pas franchement marqué donc ça passait bien et personne s’est posé la question.
Il n’en sait rien ,il n’en fait pas partie !
Exact !