Halal : 12 millions de consommateurs en France… dont vous ?

Une preuve de plus de l’islamisation de la France. Année après année, nos grandes surfaces proposent toujours plus de produits halal dans leurs rayons. Feuilles de brick, lait fermenté, saucisson de dinde, gélatine de bœuf… ces articles qui, hier encore, n’envahissaient les étals qu’au moment du ramadan sont aujourd’hui vendus tout au long de l’année, accaparant un espace croissant.
Il faut dire que la demande est là. Selon les estimations, entre 10 et 12 millions de personnes achèteraient sciemment du halal, aujourd’hui, en France. Un marché estimé à 7 milliards d’euros. Reflet de la radicalisation des pratiques musulmanes mais aussi des bouleversements démographiques, la croissance du secteur semble exponentielle : +15 % chaque année.
Grande distribution et halal : "jusqu’à 12 millions de personnes achètent du halal en France", "certains magasins [de chaînes nationales] ne veulent plus du tout entendre parler de charcuterie de porc"
https://t.co/3nERTDNphe pic.twitter.com/26rvJTWM9x— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) May 7, 2025
Cette « halalisation » des grandes surfaces françaises ne fait pas que des heureux. À commencer par la clientèle non musulmane. « Le halal est en train de prendre le dessus, s’inquiète, dans le JDD, Virginie, cliente d’un supermarché Auchan aux Mureaux, envahi par ces gammes dites pudiquement « ethniques ». Ce n’est plus du tout ce que c’était. »
En pleine accélération, le mouvement cherche cependant à rester sous les radars. Le sujet est encore sensible auprès d’une grande part de la clientèle et les enseignes craignent d’être taxées de communautarisme. Une stratégie de l’ombre qui avait été notée jusque dans les colonnes progressistes du Monde : en mars dernier, le quotidien a évoqué ce marché « porteur mais tabou » au sujet duquel les enseignes de la grande distribution « rechignent » à s’exprimer.
Le halal pour tous
Jusqu’où montera cette lame de fond ? Les produits halal sont-ils destinés à apparaître constamment en tête de gondole ? Une chose est sûre : ceux jugés « haram » n’ont pas le vent en poupe. « Certains magasins ne veulent plus du tout entendre parler de charcuterie de porc, a ainsi confié un cadre de Fleury Michon, à nos confrères du JDD. Ils ne veulent plus que du halal. »
En réalité, il semble probable que nous mangions déjà tous du halal sans le savoir. En 2012, on avait appris de la bouche de François Hallepée, directeur de la Maison de l'élevage d'Île-de-France, que les abattoirs de la région parisienne abattaient tous « selon le rite musulman » et, donc, que « 100 % de l'abattage » y était bel et bien halal. Le gouvernement d’alors avait crié à la « fake news », mais Frédéric Freund, directeur de l'OABA (Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoir), avait légitimé nos inquiétudes : « Le problème, c'est que ces viandes halal ne se retrouvent pas toutes dans les circuits de distribution halal. Du coup, le consommateur mange à son insu des viandes issues de l'abattage », avait-il lâché. Un rapport du Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), publié la même année, dévoilait également des ordres de grandeur affolants : le volume d’abattage rituel atteignait déjà 40 % des abattages totaux pour les bovins et près de 60 % pour les ovins, en 2012. Les experts du ministère de l’Agriculture ajoutaient que l’abattage rituel « pourrait devenir la norme »…
« Les restaurateurs qui passent au halal font un carton (…) le marché du halal c’est 3x celui du bio (…) Est ce qu’il y a un poulet qui n’est pas halal ? Non, tout est halal. (…) Pleins de gens mangent halal sans le savoir. Il ne faut pas le dire, il ne faut pas l’écrire car… pic.twitter.com/Vpdoj9Kp9Q
— Damien Rieu (@DamienRieu) April 24, 2025
Treize ans plus tard, la situation n’a fait qu’empirer, bien évidemment. Les volumes ont explosé et les produits halal qui ne trouvent pas preneur sur leurs marchés « confessionnels » continuent d’être redirigés vers les magasins alimentaires classiques, sans aucune mention informative. Autrement dit, une certaine minorité impose toujours plus son mode de vie à la majorité des Français, plongés dans l’ignorance et contraints de financer malgré eux le culte musulman.

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118 commentaires
Ce qui prouve bien le grand remplacement puisque les grandes surfaces veulent faire du chiffre donc : ils sont bientôt plus nombreux que nous !
Perso, je ne prends de la viande que chez mon boucher et je comprend pourquoi je ne trouve plus de rognons chez Leclerc…donc je n’y vais plus. France, réveille toi !
Le halal s’adresse aux musulmans qui reçoivent l’argent du social . Cet argent rentre dans une économie musulmane pour ne pas en sortir .
Les défenseurs du droit animal bien silencieux là . Dans beaucoup de cantines , sans consulter les parents , on impose de la viande hallal à nos enfants , ce qui est intolérable . En tant que clients nous exigeons d’être informé et devons avoir le choix . Ces minorités sont de plus en plus exigeantes et nos élus se plient à leur volonté , donc il nous faut changer nos élus pour des élus dignes et capables de résister à la pression de ces minorités qui veulent nous imposer leurs lois et leurs coutumes .
Je vous suis tout à fait
Je ne mange que du porc depuis des années . Je n’ai jamais été friande de viande rouge mais j’ai renoncé à manger du veau , du mouton , de l’agneau parce que je pense que ces bêtes sont tuées selon le rite musulman et je ne veux pas de ça dans mon assiette . Mais je vois venir le jour où même dans les grandes surfaces , la viande de porc va se raréfier sous la pression des musulmans . La plupart des petites boucheries traditionnelles sont déjà rachetées par eux . Que nous restera t’il ?
Une mort horrible pour l’animal qui doit libérer des toxines dans sa chair. Pas très sain tout cela.
« L’abattage rituel pourrait devenir la norme » … sauf que la norme, c’est la législation, prévoit l’étourdissement pour minimiser les souffrances animales. Cela signifie en clair qu’on impose des souffrances inutiles et des méthodes héritées d’un autre âge (et d’autres cultures) pour satisfaire les exigences obscurantistes d’une minorité. Nous sommes dans une République laïque, c’est à dire que d’une part c’est la majorité qui décide et qui impose la règle et que les lois votées par les représentants du peuple son supérieures aux lois religieuses. Cela fait tout de même quelques coups de canifs dans le contrat républicain. On aimerait entendre les défenseurs de la cause animale sur le sujet, ainsi que les laïcards si prompts à faire démonter les statues de Saint-Michel ou celles de Louis IX qui leur causent des insomnies aussi tenaces qu’inexplicables.
En effet, silence assourdissant des défenseurs d’animaux, des associations qui dénoncent leur maltraitance
A l’heure actuelle, nous mangeons tous de la viande hallal car seules les parties nobles (aériennes) de l’animal abattu suivant ce mode barbare sont estampillées comme telles. Les autres parties, souvent souillées car l’animal égorgé libére ses sphincters dans l’agonie, sont réinsérées dans le circuit traditionnel. Les mots choquent mais c’est une vérité que censure souvent la bien pensance; une étude d’un magazine de la consommation avait été menée il y a plus d’une dizaine d’années, à l’époque où le sujet n’était pas aussi tabou. Bon appétit Messieurs-Dames.
Comme pour tout les produits, on impose le suivis des composants, donc sur la devanture du stand de la boucherie, il devrait être indiqué, » abatage hallal , ou conventionnel » . Cependant pour manger de la viande non hallal, il suffit de consommer du porc. Comme en Bretagne ..
Il y a quelques années l’abattage rituel était une exception avec dérogation. Je refuse que ce type d’abattage devienne la norme et surtout soit pratiqué à notre insu. Il faut exiger un étiquetage clair. J’attends aussi les défenseurs des animaux…
Interdire l’abattage hallal comme en Flandre belge.
Manger du porc.
L’information concernant le mode d’abattage doit être obligatoire et ce pour deux raisons :
– choisir sa viande en connaissant le mode d’abattage : abattage traditionnel il y a étourdissement, abattage rituel (halal) l’animal est égorgé donc conscient,
– en choisissant de la viande halal, l’acheteur verse de l’argent aux autorités religieuses musulmanes car il “faut” rémunérer les certificateurs.
Ainsi acheter de la viande halal, c’est contrevenir à la réglementation normale d’abattage (le mode halal a droit à une dérogation) et de plus l’acheteur abonde les revenus des autorités musulmanes.
Oui. Ce devrait être un étiquettage totalement prioritaire.
Si je mange de la viande halal, c’est involontairement. D’ailleurs l’abattage halal est interdit en UE, sauf en Frankistan.
Je lisais ce matin qu’une certaine enseigne de distribution ne voulait plus vendre de porc et l’affiche pour la fête des mères d’un grand magasin parisien qui se plaignait d’être en difficulté m’étonne , je crois que je ne pousserai plus leur porte effectivement.
Moi? Je mange beaucoup de cochon du poulet acheté à la ferme..plus de viande rouge..donc non pas de halal c’est haram chez moi.
Soumission.