Escroquerie, mauvaise gestion : Trump claque la porte de l’OMS
Le président américain économise, d'un coup, 662 millions de dollars pour le seul cycle budgétaire de 2024-2025 !
Il n’aura pas fallu longtemps à Donald Trump pour affoler la sphère bien-pensante. Le soir même de son investiture, le nouveau locataire de la Maison-Blanche a signé pas moins de 42 décrets, parmi lesquels le retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (IOMS). Cette résolution fait trembler les mondialistes et les défenseurs de l’institution onusienne qui pourrait bien se retrouver en difficulté, face à la perte de son principal contributeur.
« Chose promise, chose due »
En juillet 2020, alors que son premier mandat touchait à sa fin, Donald Trump avait amorcé la suspension de la contribution américaine à l’OMS, préparant le terrain pour une rupture totale avec l’agence spécialisée des Nations unies. Le retrait effectif du pays nécessitant de respecter le terme d’une année complète, l’arrivée de Joe Biden à la présidence des États-Unis, en janvier 2021, avait enrayé le processus. Biden avait rapidement annulé la procédure, réintégrant les États-Unis au sein de l’organisation. La signature du décret par Trump, dès son retour au pouvoir, était donc largement anticipée. Le républicain accuse l’OMS d’avoir « escroqué » son pays, dénonçant sa « mauvaise gestion » et sa supposée complicité dans la « dissimulation de la propagande liée au coronavirus ».
| ÚLTIMA HORA: Este es el momento exacto en el que el presidente Donald Trump firma desde la Casa Blanca la salida de Estados Unidos de la OMS (Organización Mafiosa de la Salud) dependiente del nido de zurdos de la ONU. ¡Qué bello momento para estar vivos y ser de derecha! pic.twitter.com/Pii9U8VhOq
— Eduardo Menoni (@eduardomenoni) January 21, 2025
Avec une participation de 662 millions de dollars pour le cycle budgétaire de 2024-2025, soit 19 % d’un budget total fixé à 6,83 milliards de dollars, les États-Unis sont les plus grands contributeurs de l’OMS, devant la Chine, qui compte pourtant une population de 1,4 milliard de personnes. C’est donc environ un demi-milliard de dollars que va épargner, chaque année, à ses contribuables, le nouveau président de la première puissance mondiale, qui a instauré, dès ce 20 janvier, le département de l’Efficacité gouvernementale pour supprimer les dépenses inutiles et simplifier l’administration fédérale.
Une fracture dans le consensus onusien
Du côté des souverainistes, la décision a été applaudie comme un modèle de fermeté et d’émancipation vis-à-vis de cet organisme. L'ONU, qui vise une couverture de santé universelle dans le monde et entend orienter les décisions politiques en matière de santé, est souvent décrié.
Trump fustige l’« incapacité de l’OMS à adopter les réformes urgentes nécessaires » dans sa gestion de la crise du Covid-19 et s’attaque à ce qu’il qualifie de « manque d’indépendance » de l’organisation. Selon lui, celle-ci serait trop exposée à « l’influence politique inappropriée des États membres ». Sans détour, il cible particulièrement la Chine, qu’il accusait déjà, en 2020, de « contrôler » l’institution et d’en orienter les décisions.
Vers une alternative à l'organisme ?
L’OMS, à travers un communiqué de son président, l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreysus, assure « regretter » cette décision qui laisse un trou béant dans son budget. « Répercussions cataclysmiques », « recul des progrès » : l’inquiétude est grande, pour les défenseurs de l’organisation qui assure que l’ensemble de ses actions pourraient pâtir de la décision de Trump. Le départ des États-Unis affecterait la santé et la sécurité de la population mondiale et américaine.
WHO comments on United States announcement of intent to withdraw
Geneva – The World Health Organization regrets the announcement that the United States of America intends to withdraw from the Organization.
WHO plays a crucial role in protecting the health and security of the… pic.twitter.com/rk9xtIRC4x
— Tedros Adhanom Ghebreyesus (@DrTedros) January 21, 2025
De son côté, le nouveau président veut promouvoir une alternative ambitieuse en matière de santé. Il a exhorté les agences fédérales à « identifier des partenaires américains et internationaux crédibles » pour prendre en charge ces questions cruciales, avec un objectif qu’on devine aisément : donner la priorité aux intérêts du peuple américain. Cette initiative trouvera-t-elle un écho en Europe, ou l’Union européenne préférera-t-elle rester dans le giron de l'institution onusienne fragilisée ? Réponse dans quelques semaines ou mois.
Alienor de Pompignan
Journaliste
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Il faut faire des confettis avec le cordon sanitaire
70 commentaires
Cet argent va manquer à certains états terroristes.
Avant de quitter sa fonction, Biden a accordé des « grâces préventives » (dans la loi américaine) dont celle pour Fauci, Mr COCID Voyez de quoi il s’agit, c’est édifiant!
l’OMS , un truc qui ne sert à rien, sinon de lancer des lapalissades . On l’a vu avec le ou la Covid …et à nouveau la grippe !
Sans même parler de quitter des organisations internationales dont les buts étaient initialement vertueux, on est infoutu en France, de supprimer des quantités de » machins »( comités de ceci, agences de cela etc etc dont l’arcom qui est un pur scandale partisan) aussi coûteux qu’inutiles…Qui, chez nous, nettoiera les écuries d’Augias? Surement pas la gauche ni l’extrême centre…
La gauche, extrême gauche et leurs satellites, dans les écuries d’Augias, constituent l’essence même de ce qu’il convient d’évacuer, donc, ils ne peuvent être du coté du manche du balai, et être en même temps (ce qu’un certain président acrobate pourrait peut-être réaliser) au bout de la brosse.
Comme quoi l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Merci Mr Trump. Il est temps de faire du ménage à l’OMS, financé par les US, Bill Gates, Big Pharma et compagnie. Avec le retrait des US, l’OMS panique. Le « pass vaccinal mondial » a du plomb dans l’aile… Bon vent…
Réponse : Non nous ne quitterons pas l’OMS, la France se veut la Sécurité Sociale du monde ! Et Von der Laïène va intensifier la participation de l’europe, comme pour l’Ukraine. Si les « Rats » quittent le navire, les imbéciles continuent d’écoper à fond perdu. Le rat est un animal très intelligent largement utilisé dans la recherche cognitive en laboratoire, réputé proche de l’Homme.
Allez! Chiche, on quitte tous les organismes corrompus, à la gestion opaque ou défaillante, et on met en taule tous ceux qui ont mis la main à la caisse. Faudra construire des prisons. Le peuple est impatient de voir tomber les têtes! (au figuré bien sur..)
Le courage et la clairvision de D. Trump devraient servir de modèle aux dirigeants englués dans ces Otganisations supranationales qui wampirisent les pays dans la plus grande hypocrisie !!!!
Vu le comportement dictatorial de cet organisme pendant le covid en voulant soutenir BigPharma et ses complices, j’applaudis des 2 mains.
La direction actuelle de l’OMS accuse des lacunes évidentes. Mais démolissons-nous un hôpital parce que son équipe de direction est déficiente?
Le retrait de l’OMS pourrait mettre fin à l’accès rapide des Américains à des informations scientifiques essentielles. Le vaste système de laboratoires collaborateurs de l’OMS surveille activement les nouveaux agents pathogènes et partage les données de surveillance, ce qui est essentiel pour détecter et comprendre les mutations virales dangereuses. La couverture vaccinale étant insuffisante aux États-Unis, elle exposera également les enfants américains à des maladies qu’ils avaient autrefois reléguées dans l’histoire.
Contrairement à ce qu’imagine Trump, les États-Unis ont toujours eu une influence bien plus grande sur l’OMS que la Chine. Les USA, en se retirant, permettra à la Chin e de jouer un plus grand rôle. Lorsque le prochain directeur général de l’OMS sera élu en 2027, c’est la Chine qui fera alors le choix. En se retirant de l’OMS, Trump fera de la Chine la puissance dominante en matière de santé mondiale.
Sauf si la France se retire aussi de cette « papauté médicale ».
Si seulement la France, pouvait suivre les USA, sur le seul point important à mes yeux parmi les traités signés par Donald T. Les deux autres = sortir de l’UE (ne concerne pas l’Amérique) et sortir de l’OTAN.
La France serait avisée de quitter également ce machin tiers-mondiste !!
Bien d ‘accord avec vous !!
Il ne tient qu’aux Français de choisir ces voies de bon sens, mais attention les shootés au « progressisme » ne vont pas se laisser déposséder de leurs prébendes facilement, ils sont tellement hargneux que la bagarre risque de faire des dégâts.
Les shootés au progressisme sont souvent shootés tout court. Oui ils vont chercher à rependre le pouvoir, ce qui sera d’autant plus difficile que leur soutien US/CIA/OMS etc..auront viré capoté. Leur idéologie visait seulement à prendre le pouvoir et asservir les peuples, ils changeront leur fusil d’épaule et trouveront une autre voie: une bonne petite guerre contre la Russie par exemple!
Bravo. A quand la même initiative de macron pour les ARS ?
à Vimal : Macron en est bien incapable et surtout il n’en a pas la volonté. Affaibli politiquement comme il l’est aujourd’hui, son poids dans la vie des Français c’est peanuts.
OMS , ONU , Cours de Justice , et autres « machin » internationaux , il serait intéressant de connaitre le nombre de pays adhérents non démocratiques au sens occidental du terme , en particulier les pays musulmans .
Non seulement il faut quitter l’ OMS mais il faut à minima réformer l’ ONU. La quitter ne devrait pas avoir d’énormes conséquences. Quant à l’ OTAN, je comprends parfaitement que TRUMP exige des européens un financement crédible. Il est déroutant que des pays soient encore largement sous les 2% du PIB. Je pense la même chose des Tribunaux Pénaux Internationaux et de l’accord d’ Ottawa sur les mines antipersonnel. Il faut s’ éloigner de tout cela.
Oui, il faut réformer l’ONU.
Pour l’OTAN, si je comprends que D T. trouve anormal que nous cotisions moins que les USA, je ne vois pas pourquoi on reste dans un « machin » qui soit disant est fait pour nous sécuriser mais en fait est fait pour faire des guerres à tous ceux qui ne pensent pas comme les déglingués qui sont à sa tête et qui servent à enrichir les pays qui vendent des armes.
Mais oui, quittons l’Otan et allons nous réfugier dans le giron du grand humaniste de moscou… pour moi, c’est non, mille fois non! jamais je ne bénirai assez les américains d’avoir débarqué en Normandie et de nous avoir aninsi épargné 45 ans d’horreur communiste comme ont malheureusement eu à le subir les peuples de l’est de l’Europe. En Amérique, les élections permettent l’alternance, chez le satrape mongole, les opposants sont empêchés de se présenter à coup d’internements psy ou de balles dans la tête. Dieu nous préserve de jamais tomber sous la coupe du successeur de staline le boucher!
Quitter l’OTAN veut dire concevoir notre propre armée. Le général de Gaulle l’avait quitté et la Russie ce n’est plus l’URSS et Staline
En un mot se libérer de toutes les chaînes qui nous ont été imposées et qui nous emprisonnent : ne serions nous pas assez intelligents pour prendre notre destin en main et faire table rase de tous ces geôliers, nationaux et internationaux, qui nous pourrissent la vie ?
L’OMS n’est a priori pas une mauvaise idée, mais combien, très bien payés, roupillent confortablement dans de beaux bureaux à Genève?
Comme dans tous ces « machins » à prérogatives mondiales, à leur création l’efficacité est bonne, puis les rats idéologiques et financiers prennent le pouvoir au détriments des peuples.