
La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.

Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

La question de l’immigration est un des exemples flagrants de la déroute de l’idéologie face à la réalité.

Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

Les dernières controverses entre la France et l’Italie manifestent un conflit idéologique entre un gouvernement mondialiste et euro-béat et un gouvernement national et euro-réaliste mais, plus profondément, il s’agit d’un conflit entre la légitimité démocratique et un système juridique et idéologique.

Qu’un membre du gouvernement justifie le viol de la loi est pour le moins singulier. S’il n’y avait pas « quelque chose de pourri » dans la république de France, on aurait dû exiger sa démission.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

L’Allemagne, comme toute nation, n’a pas d’amis mais des intérêts. Et a pris l’habitude de prendre des décisions aux répercussions importantes pour l’Europe sans trop s’embarrasser de concertation…

En fin de compte, le président de la République apparaît plus comme une sorte de haut technocrate que comme un homme d’Etat.

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

Dans l’Union européenne, aucun État membre n’atteint le taux de renouvellement des générations. Il est vrai que l’Union européenne a trouvé la solution : l’immigration.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.

Force est de constater qu’avec le temps, la Ve république semble plutôt cumuler les inconvénients de la monarchie et de la république plutôt que d’en conjuguer les avantages !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.

La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.

Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Coincé entre les macronistes et le Rassemblement national, le parti n’est plus que l’ombre de lui-même.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

La question de l’immigration est un des exemples flagrants de la déroute de l’idéologie face à la réalité.

Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

Les dernières controverses entre la France et l’Italie manifestent un conflit idéologique entre un gouvernement mondialiste et euro-béat et un gouvernement national et euro-réaliste mais, plus profondément, il s’agit d’un conflit entre la légitimité démocratique et un système juridique et idéologique.

Qu’un membre du gouvernement justifie le viol de la loi est pour le moins singulier. S’il n’y avait pas « quelque chose de pourri » dans la république de France, on aurait dû exiger sa démission.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

L’Allemagne, comme toute nation, n’a pas d’amis mais des intérêts. Et a pris l’habitude de prendre des décisions aux répercussions importantes pour l’Europe sans trop s’embarrasser de concertation…

En fin de compte, le président de la République apparaît plus comme une sorte de haut technocrate que comme un homme d’Etat.

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

Dans l’Union européenne, aucun État membre n’atteint le taux de renouvellement des générations. Il est vrai que l’Union européenne a trouvé la solution : l’immigration.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.

Force est de constater qu’avec le temps, la Ve république semble plutôt cumuler les inconvénients de la monarchie et de la république plutôt que d’en conjuguer les avantages !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.
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