
Car les immigrations ne sont pas toutes semblables. A-t-on vu les Asiatiques saccager nos villes ?


L’écologie n’est qu’un prétexte à des actions révolutionnaires violentes et la promotion d’une société décliniste

Il est de bon ton dans la gaucho sphère, chez les bobos gavés, ou les laïcards fanatiques de railler les cathos.

Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.

À jouer au pyromane, il y a des incendies qu’on ne peut plus éteindre.

L’agression de Jean-Baptiste Trogneux est inqualifiable. Elle traduit une atmosphère de haine révolutionnaire.

Il s’agit symboliquement de signifier que notre loyauté n’est plus uniquement due à la France mais aussi à l’UE.

Ce gouvernement est celui du mépris, de la mauvaise éducation et du manque de respect…

Nos douaniers illustrent le mythe de Sisyphe dans une lutte sans cesse recommencée contre les trafiquants de drogue.

Faut-il rappeler que notre industrie de l’électricité est mise en difficulté au nom du marché européen…

Ce que nous propose M. Macron est, en fait, l’impérialisme du néant.

Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.

Tout est bon pour l’effacement progressif de la France.

Il est une règle d’or en politique : il ne faut jamais humilier l’adversaire. Or, tout dans l’attitude de M. Macron semblait fait pour humilier ceux qui avaient combattu la réforme des retraites.

Ce n’est pas d’une révolution, que nous avons besoin, mais d’une réaction profonde contre un système de pensée et de gouvernement qui nous conduit au naufrage.

Dans cette France éclatée, divisée, où l’oligarchie gouvernante ne sait plus se tenir et ignore jusqu’au sens de la notion de bien commun face aux revendications des minorités ou des individus, la République glisse-t-elle vers la révolution ?

Le communiqué du Planning familial de Gironde relève à la fois du militantisme primaire et de l’indécence.

En bonne doctrine, la seule violence légitime est celle de l’État afin de maintenir la sécurité et l’ordre publics. Mais ce qui est certain, c’est que la violence de groupuscules idéologiques ne saurait être considérée comme justifiée.

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Vociférations, cris et hurlements semblent être devenus la règle à l’Assemblée nationale.

La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.

L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.

Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.

Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.

Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.

Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…

Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.

Car les immigrations ne sont pas toutes semblables. A-t-on vu les Asiatiques saccager nos villes ?


L’écologie n’est qu’un prétexte à des actions révolutionnaires violentes et la promotion d’une société décliniste

Il est de bon ton dans la gaucho sphère, chez les bobos gavés, ou les laïcards fanatiques de railler les cathos.

Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.

À jouer au pyromane, il y a des incendies qu’on ne peut plus éteindre.

L’agression de Jean-Baptiste Trogneux est inqualifiable. Elle traduit une atmosphère de haine révolutionnaire.

Il s’agit symboliquement de signifier que notre loyauté n’est plus uniquement due à la France mais aussi à l’UE.

Ce gouvernement est celui du mépris, de la mauvaise éducation et du manque de respect…

Nos douaniers illustrent le mythe de Sisyphe dans une lutte sans cesse recommencée contre les trafiquants de drogue.

Faut-il rappeler que notre industrie de l’électricité est mise en difficulté au nom du marché européen…

Ce que nous propose M. Macron est, en fait, l’impérialisme du néant.

Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.

Tout est bon pour l’effacement progressif de la France.

Il est une règle d’or en politique : il ne faut jamais humilier l’adversaire. Or, tout dans l’attitude de M. Macron semblait fait pour humilier ceux qui avaient combattu la réforme des retraites.

Ce n’est pas d’une révolution, que nous avons besoin, mais d’une réaction profonde contre un système de pensée et de gouvernement qui nous conduit au naufrage.

Dans cette France éclatée, divisée, où l’oligarchie gouvernante ne sait plus se tenir et ignore jusqu’au sens de la notion de bien commun face aux revendications des minorités ou des individus, la République glisse-t-elle vers la révolution ?

Le communiqué du Planning familial de Gironde relève à la fois du militantisme primaire et de l’indécence.

En bonne doctrine, la seule violence légitime est celle de l’État afin de maintenir la sécurité et l’ordre publics. Mais ce qui est certain, c’est que la violence de groupuscules idéologiques ne saurait être considérée comme justifiée.

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Vociférations, cris et hurlements semblent être devenus la règle à l’Assemblée nationale.

La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.

L’hyper réglementation est caractéristique de la politique dite « climatique » dont les effets retombent jusqu’aux communautés de communes.

Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.

Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.

Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.

Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…

Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.
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