
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, L’Affaire Vinča Curie, de Dragan

Le film se concentre sur ces intellectuels qui faisaient la pluie et le beau temps dans la presse française.

Le film porte une leçon qui surprendra, à l’heure de l’individualisme : la résilience passe par le prochain.

Un film à suspense de bonne facture, si on fait abstraction de sa dimension idéologique.

Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu

Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.

Inspiré d’une histoire vraie du début des années 2000, « Le Tableau volé » explore les coulisses du marché de l’art.

Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.

Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.

Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.

Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.

Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.

Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.

Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam

Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité

Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.

Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.

Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages


Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.

Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.

Il serait dommage de passer à côté de ce film.

Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.

Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…

Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.

Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz

Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.

Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, L’Affaire Vinča Curie, de Dragan

Le film se concentre sur ces intellectuels qui faisaient la pluie et le beau temps dans la presse française.

Le film porte une leçon qui surprendra, à l’heure de l’individualisme : la résilience passe par le prochain.

Un film à suspense de bonne facture, si on fait abstraction de sa dimension idéologique.

Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu

Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.

Inspiré d’une histoire vraie du début des années 2000, « Le Tableau volé » explore les coulisses du marché de l’art.

Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.

Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.

Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.

Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.

Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.

Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.

Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam

Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité

Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.

Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.

Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages


Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.

Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.

Il serait dommage de passer à côté de ce film.

Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.

Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…

Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.

Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz

Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.

Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.
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