

Décidément, le jeune Bayrou sait comme on fait les meilleures soupes. Toujours dans les mêmes vieux pots.
Nathalie Kosciusko-Morizet est morte ; électoralement, s’entend.

Ce qu’on lui reproche ? Une carambouille à l’évidence légale, mais judiciairement immorale. Ainsi va le monde…
1.200 boulangeries artisanales mettent la clef sous la porte chaque année.


Roger Moore, le meilleur des James Bond ? Non, loin s’en faut. Mais le meilleur des hommes ? Oui, à n’en point douter.

Pendant que les Mancuniens souffrent dans leur chair, Donald Trump continue de faire le beau.
C’est cet « État profond » qui semble avoir aujourd’hui le dernier mot. Jusqu’à quand ?
Nos campagnes sont en voie de désertification ; désertées, non point par leurs habitants, mais par ceux qui jadis étaient chargés d’en prendre soin.
On aimait bien David Pujadas et son ineffable coiffure de Playmobil.

Ce n’est pas un gouvernement, mais un casting.
Ils sont de plus en plus nombreux à redécouvrir l’aristocratie de l’artisanat et du travail manuel.

Édouard Philippe est un jeune homme de droite moderne ; comme les médias les aiment.
Chez ces gens-là, la conscience de classe comptera manifestement toujours plus que la conscience politique.

Des Inconnus aux Trois Stooges, comique et trio ont souvent fait bon ménage.
Inutile de s’inquiéter de son éventuelle réinsertion professionnelle : on a toujours manqué de bras dans le music-hall.

La vie politique française vient d’entamer un nouveau cycle : la gauche traditionnelle et la droite classique, c’est fini.

Victor Lanoux n’a jamais fait rêver, mais tout un chacun pouvait aisément se retrouver en lui.

Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.
C’est le tournis pour Emmanuel Macron. Qui perd pied et n’en finit plus de répondre à Marine Le Pen…

Ces jours derniers, l’agenda policier serait plutôt au deuil et pas vraiment à celui du muguet…
La campagne de second tour d’Emmanuel Macron ? Après le grotesque, l’ignoble.

La vie politique française, parfois tourmentée, surtout en les temps qui nous occupent, offre parfois de délicieux moments de grâce.

Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…

La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

Même avec le jeune Macron, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.

Décidément, le jeune Bayrou sait comme on fait les meilleures soupes. Toujours dans les mêmes vieux pots.
Nathalie Kosciusko-Morizet est morte ; électoralement, s’entend.

Ce qu’on lui reproche ? Une carambouille à l’évidence légale, mais judiciairement immorale. Ainsi va le monde…
1.200 boulangeries artisanales mettent la clef sous la porte chaque année.


Roger Moore, le meilleur des James Bond ? Non, loin s’en faut. Mais le meilleur des hommes ? Oui, à n’en point douter.

Pendant que les Mancuniens souffrent dans leur chair, Donald Trump continue de faire le beau.
C’est cet « État profond » qui semble avoir aujourd’hui le dernier mot. Jusqu’à quand ?
Nos campagnes sont en voie de désertification ; désertées, non point par leurs habitants, mais par ceux qui jadis étaient chargés d’en prendre soin.
On aimait bien David Pujadas et son ineffable coiffure de Playmobil.

Ce n’est pas un gouvernement, mais un casting.
Ils sont de plus en plus nombreux à redécouvrir l’aristocratie de l’artisanat et du travail manuel.

Édouard Philippe est un jeune homme de droite moderne ; comme les médias les aiment.
Chez ces gens-là, la conscience de classe comptera manifestement toujours plus que la conscience politique.

Des Inconnus aux Trois Stooges, comique et trio ont souvent fait bon ménage.
Inutile de s’inquiéter de son éventuelle réinsertion professionnelle : on a toujours manqué de bras dans le music-hall.

La vie politique française vient d’entamer un nouveau cycle : la gauche traditionnelle et la droite classique, c’est fini.

Victor Lanoux n’a jamais fait rêver, mais tout un chacun pouvait aisément se retrouver en lui.

Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.
C’est le tournis pour Emmanuel Macron. Qui perd pied et n’en finit plus de répondre à Marine Le Pen…

Ces jours derniers, l’agenda policier serait plutôt au deuil et pas vraiment à celui du muguet…
La campagne de second tour d’Emmanuel Macron ? Après le grotesque, l’ignoble.

La vie politique française, parfois tourmentée, surtout en les temps qui nous occupent, offre parfois de délicieux moments de grâce.

Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…

La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

Même avec le jeune Macron, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
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