

Naguère, le héros était sanctifié. Vint ensuite le tour de la victime. C’est désormais à la balance qu’on dressera des statues.

Georges Brassens, dont l’œil s’égarait parfois en direction des jupons des filles et qui prenait lui aussi quelques privautés avec les pieds et les vers (toujours galants), aurait sûrement adoré.

Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.

Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…

La photo du couple présidentiel entouré de danseurs auprès desquels les Village People faisaient figure de Petits Chanteurs à la croix de bois n’en finit plus de faire les gros titres des gazettes.

Quand on y pense, il faut vraiment être un crétin obtus au cerveau prognathe pour ronchonner contre ce progrès source de tant de félicités.

Il est Soliman le magnifique. En France, on cherche encore un François Ier.

Plus « voltairien » que lui, en fait, on ne faisait pas, on ne fera sûrement plus.
Il nous parle de cette France ayant le mauvais goût de persister à vivre au-delà du périphérique et des mégapoles.

De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
En attendant, c’est la loi du genre, en télé-réalité politique : il y a toujours un maillon faible qui se fait dégager en cours de saison.

C’est, une fois encore, la France qu’on met dans le box des accusés.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.

Tout comme, dans le registre guerrier, Médine Zaouiche fait un peu figure de Schtroumpf, comparé à l’auteur de « La Carmagnole ».

Cette grande dame a choisi de tirer sa révérence quelques jours avant le départ de sa chère Grande Boucle. Elle aura décidément été professionnelle jusqu’à la fin.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
L’association Osez le féminisme ! vient de lancer une énième campagne visant à donner des noms de fille aux stations de métro…

Après la dérive du pouvoir, place aux produits dérivés.

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.

C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.

Si l’on résume, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan voudraient s’unir, mais tout en faisant chambre à part.

Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.

À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?

L’année dernière, Marine Le Pen en rêvait et c’est en Italie que l’alliance des populistes des deux rives s’est accomplie avec le gouvernement formé ce lundi par la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi di Maio.
C’est bien ; mais ça n’est encore pas assez. Il en faudrait plus et, surtout, il en aurait fallu plus, plus tôt. Jamais contentes, on vous dit.

Une hyper-classe mondialisée se réservera le plaisir de déguster tandis qu’une masse indifférenciée se contentera de s’alimenter.

Naguère, le héros était sanctifié. Vint ensuite le tour de la victime. C’est désormais à la balance qu’on dressera des statues.

Georges Brassens, dont l’œil s’égarait parfois en direction des jupons des filles et qui prenait lui aussi quelques privautés avec les pieds et les vers (toujours galants), aurait sûrement adoré.

Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.

Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…

La photo du couple présidentiel entouré de danseurs auprès desquels les Village People faisaient figure de Petits Chanteurs à la croix de bois n’en finit plus de faire les gros titres des gazettes.

Quand on y pense, il faut vraiment être un crétin obtus au cerveau prognathe pour ronchonner contre ce progrès source de tant de félicités.

Il est Soliman le magnifique. En France, on cherche encore un François Ier.

Plus « voltairien » que lui, en fait, on ne faisait pas, on ne fera sûrement plus.
Il nous parle de cette France ayant le mauvais goût de persister à vivre au-delà du périphérique et des mégapoles.

De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
En attendant, c’est la loi du genre, en télé-réalité politique : il y a toujours un maillon faible qui se fait dégager en cours de saison.

C’est, une fois encore, la France qu’on met dans le box des accusés.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.

Tout comme, dans le registre guerrier, Médine Zaouiche fait un peu figure de Schtroumpf, comparé à l’auteur de « La Carmagnole ».

Cette grande dame a choisi de tirer sa révérence quelques jours avant le départ de sa chère Grande Boucle. Elle aura décidément été professionnelle jusqu’à la fin.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
L’association Osez le féminisme ! vient de lancer une énième campagne visant à donner des noms de fille aux stations de métro…

Après la dérive du pouvoir, place aux produits dérivés.

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.

C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.

Si l’on résume, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan voudraient s’unir, mais tout en faisant chambre à part.

Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.

À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?

L’année dernière, Marine Le Pen en rêvait et c’est en Italie que l’alliance des populistes des deux rives s’est accomplie avec le gouvernement formé ce lundi par la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi di Maio.
C’est bien ; mais ça n’est encore pas assez. Il en faudrait plus et, surtout, il en aurait fallu plus, plus tôt. Jamais contentes, on vous dit.

Une hyper-classe mondialisée se réservera le plaisir de déguster tandis qu’une masse indifférenciée se contentera de s’alimenter.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
