

…c’est une page de la politique américaine qui se tourne.

Les emballages des corn flakes Kellogg’s, comme les boîtes de soupe à la tomate de chez Campbell’s.

Son temps est passé et, à force de recycler le seul rôle l’ayant rendu célèbre, celui du comte Dracula, il ne tourne plus que des films mineurs…

Avec le pianiste Liberace, sorte de Richard Clayderman américain avant l’heure, le mauvais goût devient un art à part entière.

Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Les Grands Excentriques, de Nicolas Gauthier. En 1930,

Alors, Jean-Edern Hallier arrivait comme un diable, sa bouteille de vodka à la main…

Ce Dalí n’est décidément pas fréquentable…

…ils ont apporté une « pincée de vie » dans un monde qui en manque singulièrement.
À gauche, Gian Maria Volonté, professeur humaniste tout imprégné de culture progressiste. À droite, Tomás Milián, petit voyou de grand chemin.
Cette œuvre hors du commun, longtemps ignorée ou méprisée, a commencé à être remise à l’honneur il y a plus de dix ans.

Au-delà de ces considérations d’ordre sociétal et artistique, la politique, toujours campée en embuscade, n’est jamais loin du karaoké.

Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.

Une histoire française ? Oui. Donc pas très sérieuse. Et qui ne remonte pas à hier.

À condition, toutefois, que Georges Brassens, qui guida les premiers pas de notre Johnny national, l’y précède.

Avec Donald Trump, tout passe, mais rien ne se ressemble.

Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».

Après tout, personne n’est obligé de se faire niker.

L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».

À voir sans modération aucune, donc, sachant que ceux qui se moquent le mieux de la France sont généralement ceux qui la détestent le moins.

Dans la foulée de la tournée triomphale de François Hollande serait bientôt annoncée celle de Peter et Sloane.
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.

À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.

Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
On conclura donc en risquant ce diagnostic : ce n’est pas pour rien que Yann Moix se passionne autant pour le sujet des migrants, sachant que lui-même n’en finit plus de migrer à l’intérieur de sa cervelle en surchauffe perpétuelle.

Toute une époque, aujourd’hui révolue. Celle où être Français signifiait d’abord être libre de sa parole. Claude Lanzmann était très libre.

…c’est une page de la politique américaine qui se tourne.

Les emballages des corn flakes Kellogg’s, comme les boîtes de soupe à la tomate de chez Campbell’s.

Son temps est passé et, à force de recycler le seul rôle l’ayant rendu célèbre, celui du comte Dracula, il ne tourne plus que des films mineurs…

Avec le pianiste Liberace, sorte de Richard Clayderman américain avant l’heure, le mauvais goût devient un art à part entière.

Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Les Grands Excentriques, de Nicolas Gauthier. En 1930,

Alors, Jean-Edern Hallier arrivait comme un diable, sa bouteille de vodka à la main…

Ce Dalí n’est décidément pas fréquentable…

…ils ont apporté une « pincée de vie » dans un monde qui en manque singulièrement.
À gauche, Gian Maria Volonté, professeur humaniste tout imprégné de culture progressiste. À droite, Tomás Milián, petit voyou de grand chemin.
Cette œuvre hors du commun, longtemps ignorée ou méprisée, a commencé à être remise à l’honneur il y a plus de dix ans.

Au-delà de ces considérations d’ordre sociétal et artistique, la politique, toujours campée en embuscade, n’est jamais loin du karaoké.

Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.

Une histoire française ? Oui. Donc pas très sérieuse. Et qui ne remonte pas à hier.

À condition, toutefois, que Georges Brassens, qui guida les premiers pas de notre Johnny national, l’y précède.

Avec Donald Trump, tout passe, mais rien ne se ressemble.

Motif de la discorde ? Il ne supporterait plus « le racisme et le manque de respect à son égard ».

Après tout, personne n’est obligé de se faire niker.

L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».

À voir sans modération aucune, donc, sachant que ceux qui se moquent le mieux de la France sont généralement ceux qui la détestent le moins.

Dans la foulée de la tournée triomphale de François Hollande serait bientôt annoncée celle de Peter et Sloane.
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.

À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.

Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
On conclura donc en risquant ce diagnostic : ce n’est pas pour rien que Yann Moix se passionne autant pour le sujet des migrants, sachant que lui-même n’en finit plus de migrer à l’intérieur de sa cervelle en surchauffe perpétuelle.

Toute une époque, aujourd’hui révolue. Celle où être Français signifiait d’abord être libre de sa parole. Claude Lanzmann était très libre.
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