

Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…

Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.

« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »

Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
À l’ami musulman, on ne souhaitera donc que ces quelques mots : bon courage et hardi les gars, et à chacun sa croix !

Francis Lai participait donc de cette glorieuse filiation grâce à laquelle des musiciens d’exception ont fait rayonner une indubitable forme de génie français.

Pour tenter de sauver un système manifestement en dépôt en bilan, on ne sait décidément plus quoi inventer.

Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?
Si Yann Moix n’était pas là, notre existence serait bien morne.

Imprégné de pensée maurrassienne, Aristide Leucate en a manifestement retenu le sens de la nuance, traditionnel apanage du génie français.

L’acquisition de ces films, à la fois hors du commun, vraiment pas chers et qui donnent à penser, ne pourra faire que le bonheur des cinéphiles éclairés…

L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».

Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.

Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.


Deux cent mille fonctionnaires du ministère de la Sécurité d’État sont ainsi chargés d’infiltrer nos entreprises et d’en piller les brevets.

Ainsi les dingueries y sont-elles devenues si banales que même leurs parodies y passent pour officielles.

En 2018, un pareil film ferait presque figure d’anomalie. Une comédie pétillante et intelligente, sans vulgarité ni pathos.

Prochaine étape, encore plus respectueuse de l’environnement et du vivre ensemble, la voiture à pédales ?

Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.

Plus sérieusement, il est devenu la bête noire de tous les populistes européens, président hongrois Viktor Orbán en tête. Éminent paradoxe, sachant que le même Orbán est un pur produit d’Open Society.

Bref, on pouvait ou non goûter le personnage ; quoique, fondamentalement, il ne dérangeait personne.

Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.

Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter.

Si l’homme était italien, c’est dans un film éminemment français, Les Tontons flingueurs, qu’il aura à jamais marqué les mémoires.

On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.

…c’est donc un candidat « populiste », Jair Bolsonaro, qui, au Brésil, a manqué de peu le sacre « populiste ».

Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…

Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.

« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »

Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
À l’ami musulman, on ne souhaitera donc que ces quelques mots : bon courage et hardi les gars, et à chacun sa croix !

Francis Lai participait donc de cette glorieuse filiation grâce à laquelle des musiciens d’exception ont fait rayonner une indubitable forme de génie français.

Pour tenter de sauver un système manifestement en dépôt en bilan, on ne sait décidément plus quoi inventer.

Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?
Si Yann Moix n’était pas là, notre existence serait bien morne.

Imprégné de pensée maurrassienne, Aristide Leucate en a manifestement retenu le sens de la nuance, traditionnel apanage du génie français.

L’acquisition de ces films, à la fois hors du commun, vraiment pas chers et qui donnent à penser, ne pourra faire que le bonheur des cinéphiles éclairés…

L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».

Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.

Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.


Deux cent mille fonctionnaires du ministère de la Sécurité d’État sont ainsi chargés d’infiltrer nos entreprises et d’en piller les brevets.

Ainsi les dingueries y sont-elles devenues si banales que même leurs parodies y passent pour officielles.

En 2018, un pareil film ferait presque figure d’anomalie. Une comédie pétillante et intelligente, sans vulgarité ni pathos.

Prochaine étape, encore plus respectueuse de l’environnement et du vivre ensemble, la voiture à pédales ?

Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.

Plus sérieusement, il est devenu la bête noire de tous les populistes européens, président hongrois Viktor Orbán en tête. Éminent paradoxe, sachant que le même Orbán est un pur produit d’Open Society.

Bref, on pouvait ou non goûter le personnage ; quoique, fondamentalement, il ne dérangeait personne.

Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.

Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter.

Si l’homme était italien, c’est dans un film éminemment français, Les Tontons flingueurs, qu’il aura à jamais marqué les mémoires.

On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.

…c’est donc un candidat « populiste », Jair Bolsonaro, qui, au Brésil, a manqué de peu le sacre « populiste ».
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