

L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.

Comme les grandes religions, séculières ou non, se trouvent dans l’état qu’on sait, l’écologisme peut tout à fait servir de messianisme de substitution.

Quoi de mieux… qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ?

Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.

Comme toujours, les coups bas viennent de son propre camp, vingt et un députés conservateurs ayant, justement, changé de camp.

Pour lui, être Français consistait avant tout à aimer la France…

Alors, à en croire ce Schtroumpf râleur pas tout à fait en adéquation avec son siècle, était-ce forcément mieux avant ? Vaste question.

Mais alors, comment conjurer le sort et ressusciter les défunts ?

Mais pourquoi renverser la table, à quelques semaines de la rentrée politique ?

La vision de ce film des plus sympathiques a tout d’une sorte de petit plaisir coupable.

Comme aurait chanté Eddy Mitchell, vu dans Ville à vendre et À mort l’arbitre !, deux des films les plus réjouissants du défunt, cette vieille canaille nous manquera.

Plus fort que la médaille chiraculeuse qui fit croire à des générations d’électeurs de droite que le Grand Jacques allait terrasser l’hydre socialo-communiste, il y a aujourd’hui le Petit Nicolas…

Il y a décidément un style Matteo Salvini ; pas tout à fait corseté, dirons-nous.

Il y a tellement de bonnes raisons de critiquer Donald Trump qu’il n’est pas nécessaire d’en inventer de mauvaises…

Décapant. Surtout venant d’un homme qui prônait, naguère, cette même alliance pour, aujourd’hui, l’enterrer, mort-née ; tel un père fondateur changé en fossoyeur.
Gageons qu’avec le doigté qui est le sien, notre inspecteur Clouseau saura gérer l’affaire avec cette délicatesse devenue chez lui, mieux qu’une marque de fabrique, une sorte de seconde nature.

La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.

…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.

À l’instar de l’Orient complexe, les USA peuvent, eux aussi, être des plus compliqués.

…c’est le même Pierre Péan qui révélera officiellement le passé maurrasso-pétainiste d’un certain François Mitterrand.
Depuis quand les féministes s’encombrent-elles de l’avis des femmes ?

Après le couple Reagan-Thatcher, celui que pourraient former Donald Trump et Boris Johnson ?

Ainsi, selon l’IFOP, 51 % des Parisiens auraient une bonne opinion de Cédric Villani, contre seulement 41 % pour Anne Hidalgo et 38 % pour ledit Benjamin Griveaux.

Tout ça pour ça ? Aurait-il trop tôt démissionné ?


Le retour de Ringo n’est jamais que celui d’Ulysse. Adapter Homère en western, il fallait l’oser et ce fut fait ; de la plus belle manière qui soit.

À la place du gandin, on se méfierait. Parce que des gommeux de son acabit, emplis de « morgue », d’autres morgues en sont emplis, de ces ex-futurs espoirs de la politique française…

Johnny Clegg, musicien sud-africain, vient de nous quitter ce 16 juillet, à seulement 66 ans.

L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.

Comme les grandes religions, séculières ou non, se trouvent dans l’état qu’on sait, l’écologisme peut tout à fait servir de messianisme de substitution.

Quoi de mieux… qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ?

Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.

Comme toujours, les coups bas viennent de son propre camp, vingt et un députés conservateurs ayant, justement, changé de camp.

Pour lui, être Français consistait avant tout à aimer la France…

Alors, à en croire ce Schtroumpf râleur pas tout à fait en adéquation avec son siècle, était-ce forcément mieux avant ? Vaste question.

Mais alors, comment conjurer le sort et ressusciter les défunts ?

Mais pourquoi renverser la table, à quelques semaines de la rentrée politique ?

La vision de ce film des plus sympathiques a tout d’une sorte de petit plaisir coupable.

Comme aurait chanté Eddy Mitchell, vu dans Ville à vendre et À mort l’arbitre !, deux des films les plus réjouissants du défunt, cette vieille canaille nous manquera.

Plus fort que la médaille chiraculeuse qui fit croire à des générations d’électeurs de droite que le Grand Jacques allait terrasser l’hydre socialo-communiste, il y a aujourd’hui le Petit Nicolas…

Il y a décidément un style Matteo Salvini ; pas tout à fait corseté, dirons-nous.

Il y a tellement de bonnes raisons de critiquer Donald Trump qu’il n’est pas nécessaire d’en inventer de mauvaises…

Décapant. Surtout venant d’un homme qui prônait, naguère, cette même alliance pour, aujourd’hui, l’enterrer, mort-née ; tel un père fondateur changé en fossoyeur.
Gageons qu’avec le doigté qui est le sien, notre inspecteur Clouseau saura gérer l’affaire avec cette délicatesse devenue chez lui, mieux qu’une marque de fabrique, une sorte de seconde nature.

La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.

…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.

À l’instar de l’Orient complexe, les USA peuvent, eux aussi, être des plus compliqués.

…c’est le même Pierre Péan qui révélera officiellement le passé maurrasso-pétainiste d’un certain François Mitterrand.
Depuis quand les féministes s’encombrent-elles de l’avis des femmes ?

Après le couple Reagan-Thatcher, celui que pourraient former Donald Trump et Boris Johnson ?

Ainsi, selon l’IFOP, 51 % des Parisiens auraient une bonne opinion de Cédric Villani, contre seulement 41 % pour Anne Hidalgo et 38 % pour ledit Benjamin Griveaux.

Tout ça pour ça ? Aurait-il trop tôt démissionné ?


Le retour de Ringo n’est jamais que celui d’Ulysse. Adapter Homère en western, il fallait l’oser et ce fut fait ; de la plus belle manière qui soit.

À la place du gandin, on se méfierait. Parce que des gommeux de son acabit, emplis de « morgue », d’autres morgues en sont emplis, de ces ex-futurs espoirs de la politique française…

Johnny Clegg, musicien sud-africain, vient de nous quitter ce 16 juillet, à seulement 66 ans.
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