

Le doute commence à s’immiscer au sein de ses propres rangs, tel un autre virus contre lequel la médecine demeure de longue date impuissante : le désamour et la perte de confiance.

Les femmes, comme toujours et une fois de plus, sont d’une si renversante beauté que l’on traverserait volontiers le Styx rien que pour avoir une chance de s’attirer leurs faveurs.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Sibeth Ndiaye n’a pas tort de renouveler ses équipes. Notre cher Laurent Gerra fait souvent de même, afin de ne pas trop lasser son public.

Philippe Poutou se sent pousser des ailes. Et nul doute que lorsque voleront les couillons l’attend un beau destin de chef d’escadrille. Pour expliquer son

En 1992, notre homme se distingue encore en étant l’un des rares parlementaires du RPR à voter en faveur du traité de Maastricht. Il sera encore de ceux qui, peu après, rallient Édouard Balladur.

Pour le reste, et à lire les extraits dévoilés dans la presse, que ressort-il de ce livre ? Rien que de très banal, finalement. De tristes histoires de famille, comme il y en a tant de par le vaste monde…

Qui d’autre que lui pour s’époumoner aux côtés d’un Dick Rivers, d’un Nino Ferrer, tout en donnant ses lettres de noblesse à ce que l’on n’appelait pas encore la « world music » ?

Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.

Pour se consoler, on se dira qu’Albert est parti rejoindre son ami René, au grand banquet divin, tout là-haut, là où même le barde Assurancetourix a, pour une fois, le droit de pousser la roucoulante.

Comble de l’humiliation pour Bruxelles : Cuba vient, à son tour, de dépêcher cinquante-deux médecins et infirmiers.

Son dernier rôle marquant ? Celui de Madame Pivert, dentiste passablement survoltée et épouse de Louis de Funès, dans Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury.
Dans le registre indéboulonnable, Benyamin Netanyahou est en train d’égaler les records du défunt et insubmersible Shimon Peres.

Chez nous, dans ma cambrousse francilienne, notre maire a bien écrit dans son bulletin municipal, après les attentats de 2015, que « la lutte contre le barbarisme » était désormais sa priorité.

Ce serait bien que quelqu’un se dévoue enfin pour lui dire qu’il est déjà mort depuis longtemps ; politiquement, s’entend.

Il faut constituer une majorité parlementaire et décider de la composition d’un gouvernement, exercice là-bas des plus complexes en raison d’un système politique reposant sur un mode de scrutin à la proportionnelle intégrale…

Plus de 44 % de nos compatriotes se sont rendus aux urnes ; ce qui est loin d’être négligeable, compte tenu de ces circonstances exceptionnelles.

Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…

Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.

Où l’on comprend que François Fillon a consciencieusement tressé la corde destinée à le pendre…

Frank Riester connaît, aujourd’hui, sa semaine de gloire.

Les gouvernants n’aiment rien tant que de surfer sur la trouille de leurs contemporains.

Des trois assassins et du justicier, qui sont les plus sauvages ? Là est toute la question.

Piotr Pavlenski affirme détenir d’autres vidéos compromettantes. Lesquelles ? Il ne le précise évidemment pas. Il a raison. Il faut toujours laisser la place à l’imagination…

Puis, le diable se cachant toujours dans les détails, cette jolie gaffe d’Anne Hidalgo, incapable de dire quelle ligne de métro elle a pu emprunter pour se rendre dans les studios de LCI.

L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.

Tout cela a accouché dans la douleur, façon césarienne.

L’époque est, paraît-il, au dialogue et à la bienveillance.

Le doute commence à s’immiscer au sein de ses propres rangs, tel un autre virus contre lequel la médecine demeure de longue date impuissante : le désamour et la perte de confiance.

Les femmes, comme toujours et une fois de plus, sont d’une si renversante beauté que l’on traverserait volontiers le Styx rien que pour avoir une chance de s’attirer leurs faveurs.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Sibeth Ndiaye n’a pas tort de renouveler ses équipes. Notre cher Laurent Gerra fait souvent de même, afin de ne pas trop lasser son public.

Philippe Poutou se sent pousser des ailes. Et nul doute que lorsque voleront les couillons l’attend un beau destin de chef d’escadrille. Pour expliquer son

En 1992, notre homme se distingue encore en étant l’un des rares parlementaires du RPR à voter en faveur du traité de Maastricht. Il sera encore de ceux qui, peu après, rallient Édouard Balladur.

Pour le reste, et à lire les extraits dévoilés dans la presse, que ressort-il de ce livre ? Rien que de très banal, finalement. De tristes histoires de famille, comme il y en a tant de par le vaste monde…

Qui d’autre que lui pour s’époumoner aux côtés d’un Dick Rivers, d’un Nino Ferrer, tout en donnant ses lettres de noblesse à ce que l’on n’appelait pas encore la « world music » ?

Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.

Pour se consoler, on se dira qu’Albert est parti rejoindre son ami René, au grand banquet divin, tout là-haut, là où même le barde Assurancetourix a, pour une fois, le droit de pousser la roucoulante.

Comble de l’humiliation pour Bruxelles : Cuba vient, à son tour, de dépêcher cinquante-deux médecins et infirmiers.

Son dernier rôle marquant ? Celui de Madame Pivert, dentiste passablement survoltée et épouse de Louis de Funès, dans Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury.
Dans le registre indéboulonnable, Benyamin Netanyahou est en train d’égaler les records du défunt et insubmersible Shimon Peres.

Chez nous, dans ma cambrousse francilienne, notre maire a bien écrit dans son bulletin municipal, après les attentats de 2015, que « la lutte contre le barbarisme » était désormais sa priorité.

Ce serait bien que quelqu’un se dévoue enfin pour lui dire qu’il est déjà mort depuis longtemps ; politiquement, s’entend.

Il faut constituer une majorité parlementaire et décider de la composition d’un gouvernement, exercice là-bas des plus complexes en raison d’un système politique reposant sur un mode de scrutin à la proportionnelle intégrale…

Plus de 44 % de nos compatriotes se sont rendus aux urnes ; ce qui est loin d’être négligeable, compte tenu de ces circonstances exceptionnelles.

Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…

Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.

Où l’on comprend que François Fillon a consciencieusement tressé la corde destinée à le pendre…

Frank Riester connaît, aujourd’hui, sa semaine de gloire.

Les gouvernants n’aiment rien tant que de surfer sur la trouille de leurs contemporains.

Des trois assassins et du justicier, qui sont les plus sauvages ? Là est toute la question.

Piotr Pavlenski affirme détenir d’autres vidéos compromettantes. Lesquelles ? Il ne le précise évidemment pas. Il a raison. Il faut toujours laisser la place à l’imagination…

Puis, le diable se cachant toujours dans les détails, cette jolie gaffe d’Anne Hidalgo, incapable de dire quelle ligne de métro elle a pu emprunter pour se rendre dans les studios de LCI.

L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.

Tout cela a accouché dans la douleur, façon césarienne.

L’époque est, paraît-il, au dialogue et à la bienveillance.
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