

Du coup, on comprend mieux l’agitation fébrile de Renaud Muselier…
L’URSS savait berner ses idiots utiles ; les USA aussi.


On remarquera encore que ces deux listes, l’une à peu près LR et UDI et l’autre vaguement LREM, utilisent à quelques mots près le verbiage des Verts ; ce qui en dit long sur l’étiolement de la parole politique.

Le rappeur Youssoupha n’en finit plus de faire scandale. Aujourd’hui, c’est au tour de Noël Le Graët, président de la Fédération française de football, de

Jour après jour, petit bout par petit bout, à la façon du voleur chinois ou de l’étrangleur ottoman, l’étau se resserre sur cette droite naguère donnée pour être « de gouvernement ».

Chez la femme battue, il y a certes la honte de porter plainte ; mais chez l’homme battu, cette dernière est encore plus forte.

Il est vrai qu’en la circonstance, Gérald Darmanin se démultiplie. Ministre de l’Intérieur, il marche avec ses administrés de tutelle pour manifester contre un gouvernement dont il fait partie.

Seulement voilà, s’agit-il seulement de « durer », ou tout simplement de survivre ? C’est toute la question.

Étrange spectacle que celui-ci : un ministre de l’Intérieur battant le pavé avec ses subordonnés devant une Assemblée nationale suspecte de ne pas voter les lois censées protéger ces derniers alors qu’il est partie prenante du gouvernement.

L’art de vivre à la française consiste encore aux plaisirs de la table et de la discussion. Mais l’époque où un solide repas se soldait par un cigare et quelques digestifs est bien révolue.

« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »

Le passe sanitaire a du mal à passer, à l’Assemblée. D’où cette pièce de boulevard, avec le MoDem en guise d’amant délaissé, sortant un jour en caleçon à fleurs de son placard pour mieux y retourner le lendemain.

Autant dire que le soir du scrutin, c’est la fête au village.

Après la mort de Jacques Chirac et de Valéry Giscard d’Estaing, Jean-Marie Le Pen est le dernier animal politique encore en vie. Sa parole mérite d’être écoutée, surtout quand elle est d’or.

Les jeux sont donc ouverts, comme on dit, et il n’est pas sûr que l’arrivée en fanfare de Darmanin et Dupond-Moretti, façon Laurel et Hardy, vienne troubler la donne.

On notera qu’à l’exception de Corinne Masiero, le show-biz manque cette fois-ci à l’appel.

Le 1er mai dernier, trouille et gnons semblent avoir changé de camp.

Il aura donc fallu quatre ans à Emmanuel Macron pour réussir le casse du siècle. Après avoir vidé le coffre-fort électoral de la gauche, en 2017, c’est celui de la droite qui se trouve aujourd’hui pillé.

Certes, il ne s’agit pas là d’intentions de vote, mais d’une sorte de baromètre de popularité…

En attendant, pas un mot sur l’insécurité, l’immigration, la montée du terrorisme ; sujets n’intéressant personne, comme chacun sait…

Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
La France n’est certes pas au bord de l’insurrection. Mais cela pourrait nous annoncer une prochaine élection présidentielle plus qu’inattendue.

On ne devrait jamais laisser aux enfants le loisir de jouer avec les allumettes ; surtout près du feu médiatique.

Cette ancienne directrice de France Culture affirme tout de go : « Alain de Benoist est le conseiller politique de Marion Maréchal. » Elle le sait, l’ayant « lu sur Internet »…

À la fin de King Kong, on entend cette réplique : « C’est la belle qui a tué la bête. » Dès la réouverture des salles de cinéma, on ne saurait que trop conseiller à Éric Dupond-Moretti d’aller voir ce film.

Au lieu d’écouter Assa Traoré et autres illuminés gaucho-islamistes, il serait peut-être plus sage de prêter une oreille attentive à ce Mansour Kamardine qui nous parle d’or.

Force est de constater qu’elle ignore tout de la dimension tragique de l’Histoire.

Du coup, on comprend mieux l’agitation fébrile de Renaud Muselier…
L’URSS savait berner ses idiots utiles ; les USA aussi.


On remarquera encore que ces deux listes, l’une à peu près LR et UDI et l’autre vaguement LREM, utilisent à quelques mots près le verbiage des Verts ; ce qui en dit long sur l’étiolement de la parole politique.

Le rappeur Youssoupha n’en finit plus de faire scandale. Aujourd’hui, c’est au tour de Noël Le Graët, président de la Fédération française de football, de

Jour après jour, petit bout par petit bout, à la façon du voleur chinois ou de l’étrangleur ottoman, l’étau se resserre sur cette droite naguère donnée pour être « de gouvernement ».

Chez la femme battue, il y a certes la honte de porter plainte ; mais chez l’homme battu, cette dernière est encore plus forte.

Il est vrai qu’en la circonstance, Gérald Darmanin se démultiplie. Ministre de l’Intérieur, il marche avec ses administrés de tutelle pour manifester contre un gouvernement dont il fait partie.

Seulement voilà, s’agit-il seulement de « durer », ou tout simplement de survivre ? C’est toute la question.

Étrange spectacle que celui-ci : un ministre de l’Intérieur battant le pavé avec ses subordonnés devant une Assemblée nationale suspecte de ne pas voter les lois censées protéger ces derniers alors qu’il est partie prenante du gouvernement.

L’art de vivre à la française consiste encore aux plaisirs de la table et de la discussion. Mais l’époque où un solide repas se soldait par un cigare et quelques digestifs est bien révolue.

« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »

Le passe sanitaire a du mal à passer, à l’Assemblée. D’où cette pièce de boulevard, avec le MoDem en guise d’amant délaissé, sortant un jour en caleçon à fleurs de son placard pour mieux y retourner le lendemain.

Autant dire que le soir du scrutin, c’est la fête au village.

Après la mort de Jacques Chirac et de Valéry Giscard d’Estaing, Jean-Marie Le Pen est le dernier animal politique encore en vie. Sa parole mérite d’être écoutée, surtout quand elle est d’or.

Les jeux sont donc ouverts, comme on dit, et il n’est pas sûr que l’arrivée en fanfare de Darmanin et Dupond-Moretti, façon Laurel et Hardy, vienne troubler la donne.

On notera qu’à l’exception de Corinne Masiero, le show-biz manque cette fois-ci à l’appel.

Le 1er mai dernier, trouille et gnons semblent avoir changé de camp.

Il aura donc fallu quatre ans à Emmanuel Macron pour réussir le casse du siècle. Après avoir vidé le coffre-fort électoral de la gauche, en 2017, c’est celui de la droite qui se trouve aujourd’hui pillé.

Certes, il ne s’agit pas là d’intentions de vote, mais d’une sorte de baromètre de popularité…

En attendant, pas un mot sur l’insécurité, l’immigration, la montée du terrorisme ; sujets n’intéressant personne, comme chacun sait…

Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
La France n’est certes pas au bord de l’insurrection. Mais cela pourrait nous annoncer une prochaine élection présidentielle plus qu’inattendue.

On ne devrait jamais laisser aux enfants le loisir de jouer avec les allumettes ; surtout près du feu médiatique.

Cette ancienne directrice de France Culture affirme tout de go : « Alain de Benoist est le conseiller politique de Marion Maréchal. » Elle le sait, l’ayant « lu sur Internet »…

À la fin de King Kong, on entend cette réplique : « C’est la belle qui a tué la bête. » Dès la réouverture des salles de cinéma, on ne saurait que trop conseiller à Éric Dupond-Moretti d’aller voir ce film.

Au lieu d’écouter Assa Traoré et autres illuminés gaucho-islamistes, il serait peut-être plus sage de prêter une oreille attentive à ce Mansour Kamardine qui nous parle d’or.

Force est de constater qu’elle ignore tout de la dimension tragique de l’Histoire.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
