

L’antilepénisme commence décidément à connaître un sérieux coup de mou. À la place d’Emmanuel Macron, on commencerait à se faire du souci…

Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.

Fabien, si jamais tu nous lis, sache que la patrie te sera à jamais reconnaissante de ce geste salutaire, fût-il involontaire.

Cette gauche naguère donnée pour être de « gouvernement » est hors jeu.

« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».

Eh oui, cet homme nous fait du bien, disant parfois très fort ce que d’autres disent plus bas, tel Jean-Marie Le Pen en son temps et Éric Zemmour aujourd’hui.

Ce geste d’abnégation d’une femme plus très bien portante envers une autre de ses consœurs, qui ne se sent pas non plus au mieux de sa forme, pourrait faire rougir de honte d’autres militant.e.s autrement moins investi.e.s pour défendre le fanion de leur champion.n.e

La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.

Les artistes et autres intellectuels engagés ? On croyait que la mode était désormais révolue…

Si le chef des Insoumis bat celui des Marcheurs au second tour de la prochaine élection présidentielle, les Français ne travailleront plus le 9 décembre.

Il est vrai que les sondages, tous plus déprimants les uns que les autres pour la candidate LR, n’ont rien qui puisse pousser Nicolas Sarkozy à voler au secours d’une défaite annoncée.

Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».

La question qui tue sur Internet : Will Smith était-il « protecteur » ou « patriarcal ? D’un côté, « il a défendu sa femme face à une blague de mauvais goût » ; de l’autre, une démonstration de « masculinité toxique »
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.

Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.

Toute part de malheur cèle ses petits moments de joie : le soutien de François Hollande, par exemple, venu, ce mardi 22 mars, la soutenir lors d’un meeting à Limoges devant quatre cents électeurs socialistes

Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?

De telles nuances Fabien Roussel n’a manifestement que faire quand, affirmant au passage : « J’appellerai à faire barrage à l’extrême droite. »
Certes, les visées de Rachida Dati ne sont pas à prendre à la légère et elle n’est pas la moins capée de son parti pour leur donner corps. Mais entre celles d’Éric Zemmour et de Jordan Bardella, la route est droite et la pente est forte.

Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.

Pauvres confrères qui, après avoir chanté les louanges du nationalisme ukrainien, découvrent aujourd’hui que le nationalisme russe n’est pas que peau de balle et balai de crin et qu’il est possible de critiquer la politique étrangère de sa propre patrie tout en y demeurant indéfectiblement attaché.

En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.

Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.

Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.

Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.

Nous en sommes là. Au lieu de résoudre les problèmes, l’État en est réduit à gérer la crise, les plans quinquennaux de jadis laissant la place à la politique de l’urgence au doigt mouillé.

Un patriotisme gastronomique qui oblige les forces de l’ordre à protéger deux autres restaurants parisiens aux noms pouvant prêter à confusion.

Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.

L’antilepénisme commence décidément à connaître un sérieux coup de mou. À la place d’Emmanuel Macron, on commencerait à se faire du souci…

Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.

Fabien, si jamais tu nous lis, sache que la patrie te sera à jamais reconnaissante de ce geste salutaire, fût-il involontaire.

Cette gauche naguère donnée pour être de « gouvernement » est hors jeu.

« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».

Eh oui, cet homme nous fait du bien, disant parfois très fort ce que d’autres disent plus bas, tel Jean-Marie Le Pen en son temps et Éric Zemmour aujourd’hui.

Ce geste d’abnégation d’une femme plus très bien portante envers une autre de ses consœurs, qui ne se sent pas non plus au mieux de sa forme, pourrait faire rougir de honte d’autres militant.e.s autrement moins investi.e.s pour défendre le fanion de leur champion.n.e

La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.

Les artistes et autres intellectuels engagés ? On croyait que la mode était désormais révolue…

Si le chef des Insoumis bat celui des Marcheurs au second tour de la prochaine élection présidentielle, les Français ne travailleront plus le 9 décembre.

Il est vrai que les sondages, tous plus déprimants les uns que les autres pour la candidate LR, n’ont rien qui puisse pousser Nicolas Sarkozy à voler au secours d’une défaite annoncée.

Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».

La question qui tue sur Internet : Will Smith était-il « protecteur » ou « patriarcal ? D’un côté, « il a défendu sa femme face à une blague de mauvais goût » ; de l’autre, une démonstration de « masculinité toxique »
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.

Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.

Toute part de malheur cèle ses petits moments de joie : le soutien de François Hollande, par exemple, venu, ce mardi 22 mars, la soutenir lors d’un meeting à Limoges devant quatre cents électeurs socialistes

Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?

De telles nuances Fabien Roussel n’a manifestement que faire quand, affirmant au passage : « J’appellerai à faire barrage à l’extrême droite. »
Certes, les visées de Rachida Dati ne sont pas à prendre à la légère et elle n’est pas la moins capée de son parti pour leur donner corps. Mais entre celles d’Éric Zemmour et de Jordan Bardella, la route est droite et la pente est forte.

Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.

Pauvres confrères qui, après avoir chanté les louanges du nationalisme ukrainien, découvrent aujourd’hui que le nationalisme russe n’est pas que peau de balle et balai de crin et qu’il est possible de critiquer la politique étrangère de sa propre patrie tout en y demeurant indéfectiblement attaché.

En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.

Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.

Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.

Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.

Nous en sommes là. Au lieu de résoudre les problèmes, l’État en est réduit à gérer la crise, les plans quinquennaux de jadis laissant la place à la politique de l’urgence au doigt mouillé.

Un patriotisme gastronomique qui oblige les forces de l’ordre à protéger deux autres restaurants parisiens aux noms pouvant prêter à confusion.

Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.
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