

Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
Va pour le « fonctionnement démocratique », mais c’est le « Français de souche » qui fait tache, façon gros rouge, surtout quand l’information est relayée par le site Fdesouche.

Pour Jean-Luc Mélenchon, l’émancipation vaut assignation à origines ethnique, religieuse et sociale. Pas très républicain, tout ça…

Comment se fait-il que ce gouvernement si longtemps attendu – ses possibles membres ayant été, paraît-il, passés au crible de leur passé – ait pu, justement, laisser passer cela ?

De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais ; comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.

Le boulevard périphérique permettant à des centaines de milliers de gueux d’aller salir cette ville inclusive et bienveillante de leurs chaussures crottées et de leurs voitures fonctionnant encore au diesel devrait être soumis à un régime des plus sévères.

La nomination d’Élisabeth Borne à Matignon est l’événement de la semaine. Mais celle d’Aurélien Rousseau, son tout nouveau directeur de cabinet, pourrait bien le devenir aussi.

Recep Erdoğan jauge les rapports de force en présence tout en prenant soin de ne pas participer à l’irréparable, soit une guerre globale dans laquelle toutes les nations en présence auraient gros à perdre.

Rarement l’incohérence de ce système finissant n’aura été aussi criante : les Français élisent un Président, fatalement tenté de se comporter en roi, mais qui se tient à peine mieux qu’un boutiquier.

En ligne de mire, encore et toujours, cette grande distribution qui étrangle la paysannerie.

Pour continuer de filer cette métaphore, filmique tant que philosophique, on constatera que dans l’actuelle France, nous n’en sommes plus très loin. Il y a la réalité des médias et celle de la rue.

C’est également à cette aune qu’il faut aussi juger ce défilé militaire russe. Propagande contre propagande, en quelque sorte ; l’une bénie par les médias occidentaux et l’autre pas.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?

Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Aymeric Caron y va plus à la sulfateuse qu’à la cuillère à café, assurant que s’il existe des permis de conduire, on pourrait tout à fait en faire de même des permis de voter.

Après son mirifique résultat à la dernière élection présidentielle Anne Hidalgo se trouve-t-elle désormais tenue d’effectuer un historique rétropédalage relatif à l’abattage d’arbres centenaires, aux alentours du Trocadéro et de la tour Eiffel.

Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?

Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.

La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.

Vingt ans après, la réduction ad hitlerum est plus délicate à mettre en scène.

La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.

Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.

Le nouvel humanisme prôné par les autorités européennes n’est jamais qu’un esclavagisme de substitution, repeint aux couleurs de la diversité bienveillante.

Dans un monde idéal, les défenseurs de la souveraineté française auraient vocation à s’entendre. Nous en sommes loin.

Si projet de rupture il y a, il vise seulement à en finir avec les trahisons survenues depuis le dernier septennat de François Mitterrand qui, de Chirac en Macron, de Sarkozy en Hollande, nous obligèrent à revenir sur la traditionnelle ligne politique fixée par le général de Gaulle.

L’Église ne sait manifestement plus trop à quel saint se vouer et pour qui appeler à voter.

Voilà que le Président sortant nous ressort les ancestrales recettes du front républicain, fondées sur l’antilepénisme le plus primaire.

Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.

Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
Va pour le « fonctionnement démocratique », mais c’est le « Français de souche » qui fait tache, façon gros rouge, surtout quand l’information est relayée par le site Fdesouche.

Pour Jean-Luc Mélenchon, l’émancipation vaut assignation à origines ethnique, religieuse et sociale. Pas très républicain, tout ça…

Comment se fait-il que ce gouvernement si longtemps attendu – ses possibles membres ayant été, paraît-il, passés au crible de leur passé – ait pu, justement, laisser passer cela ?

De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais ; comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.

Le boulevard périphérique permettant à des centaines de milliers de gueux d’aller salir cette ville inclusive et bienveillante de leurs chaussures crottées et de leurs voitures fonctionnant encore au diesel devrait être soumis à un régime des plus sévères.

La nomination d’Élisabeth Borne à Matignon est l’événement de la semaine. Mais celle d’Aurélien Rousseau, son tout nouveau directeur de cabinet, pourrait bien le devenir aussi.

Recep Erdoğan jauge les rapports de force en présence tout en prenant soin de ne pas participer à l’irréparable, soit une guerre globale dans laquelle toutes les nations en présence auraient gros à perdre.

Rarement l’incohérence de ce système finissant n’aura été aussi criante : les Français élisent un Président, fatalement tenté de se comporter en roi, mais qui se tient à peine mieux qu’un boutiquier.

En ligne de mire, encore et toujours, cette grande distribution qui étrangle la paysannerie.

Pour continuer de filer cette métaphore, filmique tant que philosophique, on constatera que dans l’actuelle France, nous n’en sommes plus très loin. Il y a la réalité des médias et celle de la rue.

C’est également à cette aune qu’il faut aussi juger ce défilé militaire russe. Propagande contre propagande, en quelque sorte ; l’une bénie par les médias occidentaux et l’autre pas.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?

Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Aymeric Caron y va plus à la sulfateuse qu’à la cuillère à café, assurant que s’il existe des permis de conduire, on pourrait tout à fait en faire de même des permis de voter.

Après son mirifique résultat à la dernière élection présidentielle Anne Hidalgo se trouve-t-elle désormais tenue d’effectuer un historique rétropédalage relatif à l’abattage d’arbres centenaires, aux alentours du Trocadéro et de la tour Eiffel.

Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?

Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.

La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.

Vingt ans après, la réduction ad hitlerum est plus délicate à mettre en scène.

La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.

Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.

Le nouvel humanisme prôné par les autorités européennes n’est jamais qu’un esclavagisme de substitution, repeint aux couleurs de la diversité bienveillante.

Dans un monde idéal, les défenseurs de la souveraineté française auraient vocation à s’entendre. Nous en sommes loin.

Si projet de rupture il y a, il vise seulement à en finir avec les trahisons survenues depuis le dernier septennat de François Mitterrand qui, de Chirac en Macron, de Sarkozy en Hollande, nous obligèrent à revenir sur la traditionnelle ligne politique fixée par le général de Gaulle.

L’Église ne sait manifestement plus trop à quel saint se vouer et pour qui appeler à voter.

Voilà que le Président sortant nous ressort les ancestrales recettes du front républicain, fondées sur l’antilepénisme le plus primaire.

Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.
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