

La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.

Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.

L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Depuis le début des années 80, une pression sociale, lourde de sous-entendus, a rendu la présence des hommes en salle de naissance presque obligatoire et en a culpabilisé plus d’un.

Les gauchistes sont devenus droitiers, et la droite n’a eu de cesse de piocher ses idées dans le camp d’en face.

Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.

Sont donc montrés du doigt ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint »
Les casernes ont été fermées, l’armée n’a pas un sou, la dette est abyssale et les jeunes en question ont moins d’amour pour la nation que pour Beyoncé ou Kanye West.
Ce sont simplement des ados formatées par le porno et la course à l’argent facile.
Et là je m’insurge : c’est quoi, ce racolage ? Je ne me sens pas migrante du tout (même si l’envie me taraude parfois de quitter le dernier pays vraiment communiste de la planète).

Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !

Dans ce domaine comme en tant d’autres, on se trouve ici dans une guerre qui voit s’affronter le pragmatisme et l’utopie.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Vouloir interdire toute critique d’Israël, c’est justement faire le terreau de l’antisémitisme.
La gauche du cœur est généreuse dès lors que le malheur vient d’au-delà des frontières. Les pauvres d’ici peuvent attendre.
Dix mères d’élèves se sont plaintes au CCIF de ne pouvoir accompagner leur enfant en sortie scolaire « en raison du port de signes religieux »
En dernier recours, madame Nicole Klein, préfet de Loire-Atlantique, a organisé, mercredi, une réunion avec Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique. Un bide. Fin de non-recevoir des barbes à poux.
Qu’ils soient coiffeurs, charpentiers, soudeurs ou pâtissiers, ces gens-là ont bossé dur et investi pour préparer un concours.
C’est beau, c’est grand, c’est généreux. C’est surtout l’assurance d’ouvrir les vannes et les écluses pour un véritable tsunami humain contre lequel, nous, occidentaux, n’aurons aucun refuge.
Pendant ce temps, on poursuit le citoyen pour un cabanon de jardin monté sans permis…
Anne-Sophie Lapix lui demande s’il aurait pu battre Macron, il répond : « J’aurais pu le battre mais je ne l’ai pas voulu. »
Ils se rassemblent ainsi chaque 9 du mois en l’église de la Madeleine, à Paris, pour une messe à la mémoire du chanteur.
Ce n’est pas leur jour de chance, aux vieux tourtereaux Royal et Hollande.
Quand on lit le dossier de l’UNEF, on comprend que ces malheureux-là demandent à obtenir leurs examens d’office…
Le bonhomme est en garde à vue, arrêté à 2 heures du matin à la sortie d’une boîte dans le Quartier Latin. Sérieusement éméché.
Je propose, dans le cas présent, une définition, inattaquable à mon avis : c’est « papa femelle ».

La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.

Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.

L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Depuis le début des années 80, une pression sociale, lourde de sous-entendus, a rendu la présence des hommes en salle de naissance presque obligatoire et en a culpabilisé plus d’un.

Les gauchistes sont devenus droitiers, et la droite n’a eu de cesse de piocher ses idées dans le camp d’en face.

Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.

Sont donc montrés du doigt ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint »
Les casernes ont été fermées, l’armée n’a pas un sou, la dette est abyssale et les jeunes en question ont moins d’amour pour la nation que pour Beyoncé ou Kanye West.
Ce sont simplement des ados formatées par le porno et la course à l’argent facile.
Et là je m’insurge : c’est quoi, ce racolage ? Je ne me sens pas migrante du tout (même si l’envie me taraude parfois de quitter le dernier pays vraiment communiste de la planète).

Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !

Dans ce domaine comme en tant d’autres, on se trouve ici dans une guerre qui voit s’affronter le pragmatisme et l’utopie.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Vouloir interdire toute critique d’Israël, c’est justement faire le terreau de l’antisémitisme.
La gauche du cœur est généreuse dès lors que le malheur vient d’au-delà des frontières. Les pauvres d’ici peuvent attendre.
Dix mères d’élèves se sont plaintes au CCIF de ne pouvoir accompagner leur enfant en sortie scolaire « en raison du port de signes religieux »
En dernier recours, madame Nicole Klein, préfet de Loire-Atlantique, a organisé, mercredi, une réunion avec Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique. Un bide. Fin de non-recevoir des barbes à poux.
Qu’ils soient coiffeurs, charpentiers, soudeurs ou pâtissiers, ces gens-là ont bossé dur et investi pour préparer un concours.
C’est beau, c’est grand, c’est généreux. C’est surtout l’assurance d’ouvrir les vannes et les écluses pour un véritable tsunami humain contre lequel, nous, occidentaux, n’aurons aucun refuge.
Pendant ce temps, on poursuit le citoyen pour un cabanon de jardin monté sans permis…
Anne-Sophie Lapix lui demande s’il aurait pu battre Macron, il répond : « J’aurais pu le battre mais je ne l’ai pas voulu. »
Ils se rassemblent ainsi chaque 9 du mois en l’église de la Madeleine, à Paris, pour une messe à la mémoire du chanteur.
Ce n’est pas leur jour de chance, aux vieux tourtereaux Royal et Hollande.
Quand on lit le dossier de l’UNEF, on comprend que ces malheureux-là demandent à obtenir leurs examens d’office…
Le bonhomme est en garde à vue, arrêté à 2 heures du matin à la sortie d’une boîte dans le Quartier Latin. Sérieusement éméché.
Je propose, dans le cas présent, une définition, inattaquable à mon avis : c’est « papa femelle ».
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