

Participer à des échauffourées, incendier les poubelles et les véhicules, dégrader les bâtiments ou monter des barricades n’est pas une aimable promenade au jardin d’enfants.
Johnny Hallyday n’est plus mais il est toujours là, occupant le devant de la scène avec sa veuve, ses enfants, son pognon et ses chansons.
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.

On peut ignorer le montant du SMIC… à quelques dizaines d’euros près, peut-être…

Monsieur Macron ne pense que macro. Les Français, dans leur grande majorité, pensent à ce qu’ils vont mettre dans leur assiette à midi et dans leur voiture le soir.
C’est là où l’on retombe dans l’insupportable tropisme des régimes totalitaires qui entendent toujours nous imposer leur idée du bien par la loi, puis par la force…

Le souci de la prise en charge de leurs dernières années de vie est un grand sujet d’angoisse pour une majorité de Français.

Peut-être même qu’il passait le balai et la serpillière.

Le petit fiancé de la France a pris de l’âge mais il a toujours le réflexe de la mise en scène.

La Réunion est comme la Guyane : un déversoir. Prenons garde à ce que cela ne devienne pas un laboratoire, dramatique préfiguration de ce qui nous attend.

Le positionnement est politique, manichéen : l’Occident a pillé l’Afrique, il doit rendre gorge. Point.

Macron cristallise la rancœur parce qu’il est trop jeune, trop diplômé, trop belle gueule, trop sûr d’être dans le vrai.

Et dire qu’il y en a qui se battent pour avoir la place…

Les anciens disaient « bête à bouffer du foin »…

On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !

La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.

Fini de faire les kékés sur Facebook ou Instagram…
Ce qu’on lit entre les lignes, c’est l’indicible, évidemment. On dit #PasdeVague parce qu’on sait que cela désigne les jeunes des « territoires perdus de la République ».

Cette affaire est « surmédiatisée », s’est plainte la mère sur RMC, dénonçant un événement « monté en épingle ».

Les demandes affluent dans les services hospitaliers. Parfois, des mères affolées. Plus souvent des pères, des grand-mères, des tantes, de futurs époux qui viennent faire contrôler la marchandise.
Les braves gens se font agresser et voler et il leur faut, en plus, payer sur leurs impôts l’installation de caméras !

Ce lundi 5 novembre, jour de rentrée au terme des congés de la Toussaint, la mesure votée par les Provinois est entrée en vigueur.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.

Les chiffres rapportés ont de quoi laisser le contribuable sans voix, surtout à l’heure où on lui annonce de nouvelles ponctions sur son modeste budget.

Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.

Il faut dire que la victimisation est une constante chez ces femmes politiques de gauche.

Participer à des échauffourées, incendier les poubelles et les véhicules, dégrader les bâtiments ou monter des barricades n’est pas une aimable promenade au jardin d’enfants.
Johnny Hallyday n’est plus mais il est toujours là, occupant le devant de la scène avec sa veuve, ses enfants, son pognon et ses chansons.
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.

On peut ignorer le montant du SMIC… à quelques dizaines d’euros près, peut-être…

Monsieur Macron ne pense que macro. Les Français, dans leur grande majorité, pensent à ce qu’ils vont mettre dans leur assiette à midi et dans leur voiture le soir.
C’est là où l’on retombe dans l’insupportable tropisme des régimes totalitaires qui entendent toujours nous imposer leur idée du bien par la loi, puis par la force…

Le souci de la prise en charge de leurs dernières années de vie est un grand sujet d’angoisse pour une majorité de Français.

Peut-être même qu’il passait le balai et la serpillière.

Le petit fiancé de la France a pris de l’âge mais il a toujours le réflexe de la mise en scène.

La Réunion est comme la Guyane : un déversoir. Prenons garde à ce que cela ne devienne pas un laboratoire, dramatique préfiguration de ce qui nous attend.

Le positionnement est politique, manichéen : l’Occident a pillé l’Afrique, il doit rendre gorge. Point.

Macron cristallise la rancœur parce qu’il est trop jeune, trop diplômé, trop belle gueule, trop sûr d’être dans le vrai.

Et dire qu’il y en a qui se battent pour avoir la place…

Les anciens disaient « bête à bouffer du foin »…

On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !

La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.

Fini de faire les kékés sur Facebook ou Instagram…
Ce qu’on lit entre les lignes, c’est l’indicible, évidemment. On dit #PasdeVague parce qu’on sait que cela désigne les jeunes des « territoires perdus de la République ».

Cette affaire est « surmédiatisée », s’est plainte la mère sur RMC, dénonçant un événement « monté en épingle ».

Les demandes affluent dans les services hospitaliers. Parfois, des mères affolées. Plus souvent des pères, des grand-mères, des tantes, de futurs époux qui viennent faire contrôler la marchandise.
Les braves gens se font agresser et voler et il leur faut, en plus, payer sur leurs impôts l’installation de caméras !

Ce lundi 5 novembre, jour de rentrée au terme des congés de la Toussaint, la mesure votée par les Provinois est entrée en vigueur.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.

Les chiffres rapportés ont de quoi laisser le contribuable sans voix, surtout à l’heure où on lui annonce de nouvelles ponctions sur son modeste budget.

Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.

Il faut dire que la victimisation est une constante chez ces femmes politiques de gauche.
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