

C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Et si la France, qui fut très jaune ces derniers mois, n’avait pas envie de payer la fabrication artificielle des enfants alors qu’elle n’a pas les moyens de se payer des dents ou des lunettes ?

C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est

Il faut regarder la vérité en face : les profanations de cimetières sont devenues un fait divers banal.

On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !

Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !

Selon que vous serez puissant ou misérable… votre vie sera un long fleuve tranquille ou une galère sans fin.

Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?

C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…

Après les messages nous invitant à nous couvrir quand il fait froid, boire quand il fait chaud, sortir le parapluie s’il pleut…


Combien y a-t-il de Mohamed Hichem M. sur le territoire français ?

Entre les écolos qui nous expliquent qu’il faut cesser de se reproduire pour sauver la planète et les publicitaires qui trouvent cela mauvais pour leur image, sale temps pour les futures parturientes…

Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.

Difficile d’exister quand on s’appelle Benoît Hamon. Il rame, le pauvre, en galérien de la politique qu’il est devenu.

La mère le dit, elle « ne veut plus d’eux », le père non plus.

On en pleurerait de bonheur s’il n’y avait un hic…

La seule parole apaisée entendue dans ces jours où tout se joue est celle de Marie de Hennezel.

Monsieur Canfin se cramponne donc. Il sent le bateau qui tangue et s’agrippe au bastingage.

Les tulipes devaient, initialement, être installées entre le Musée d’art moderne de la ville de Paris et le Palais de Tokyo, juste en face de la tour Eiffel. On aura au moins évité cela…

Ça vous intéresse, vous, le calibrage des abricots ? Pour moi, ce qui compte est qu’ils soient mûrs, juteux, goûteux.

De quoi parle-t-on, au juste : c’est quoi, cette « diversité » qu’on prétend examiner à la loupe ?

Cela, à vrai dire, ne nous inspire qu’une remarque pour les initiateurs d’outre-Atlantique : occupez-vous de vos fesses !

Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…
Le parquet de Paris vient d’ouvrir une enquête préliminaire à l’encontre de Jack Lang pour « abus de biens sociaux ».

Aucun lieu ni, pire encore, aucun moment de nos vies n’est plus sanctuarisé.

Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !

L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.

C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Et si la France, qui fut très jaune ces derniers mois, n’avait pas envie de payer la fabrication artificielle des enfants alors qu’elle n’a pas les moyens de se payer des dents ou des lunettes ?

C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est

Il faut regarder la vérité en face : les profanations de cimetières sont devenues un fait divers banal.

On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !

Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !

Selon que vous serez puissant ou misérable… votre vie sera un long fleuve tranquille ou une galère sans fin.

Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?

C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…

Après les messages nous invitant à nous couvrir quand il fait froid, boire quand il fait chaud, sortir le parapluie s’il pleut…


Combien y a-t-il de Mohamed Hichem M. sur le territoire français ?

Entre les écolos qui nous expliquent qu’il faut cesser de se reproduire pour sauver la planète et les publicitaires qui trouvent cela mauvais pour leur image, sale temps pour les futures parturientes…

Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.

Difficile d’exister quand on s’appelle Benoît Hamon. Il rame, le pauvre, en galérien de la politique qu’il est devenu.

La mère le dit, elle « ne veut plus d’eux », le père non plus.

On en pleurerait de bonheur s’il n’y avait un hic…

La seule parole apaisée entendue dans ces jours où tout se joue est celle de Marie de Hennezel.

Monsieur Canfin se cramponne donc. Il sent le bateau qui tangue et s’agrippe au bastingage.

Les tulipes devaient, initialement, être installées entre le Musée d’art moderne de la ville de Paris et le Palais de Tokyo, juste en face de la tour Eiffel. On aura au moins évité cela…

Ça vous intéresse, vous, le calibrage des abricots ? Pour moi, ce qui compte est qu’ils soient mûrs, juteux, goûteux.

De quoi parle-t-on, au juste : c’est quoi, cette « diversité » qu’on prétend examiner à la loupe ?

Cela, à vrai dire, ne nous inspire qu’une remarque pour les initiateurs d’outre-Atlantique : occupez-vous de vos fesses !

Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…
Le parquet de Paris vient d’ouvrir une enquête préliminaire à l’encontre de Jack Lang pour « abus de biens sociaux ».

Aucun lieu ni, pire encore, aucun moment de nos vies n’est plus sanctuarisé.

Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !

L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.
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