

Voilà une grosse journée, maintenant, que notre sainte climatique vogue sur les flots.

Après les cinéastes et les acteurs, voilà maintenant les chanteurs qui arrivent dans la porcherie déjà bien garnie.

Efficacité plutôt qu’idéologie, c’est la recette des pays qui ont décidé de faire de l’immigration un atout économique. La France, hélas, persiste dans la démarche inverse…

Ils sont formidables, ces acteurs américains. Ils ont tous le cœur gros comme ça…

Rosanna, génétiquement peace and love, élevée dans une communauté hippie et mariée quatre fois, est une vraie rebelle de la rebellitude !

Je lui reproche – comme à tous ses semblables en politique, ou presque – de tweeter sans réfléchir, juste histoire de ne pas paraître en retard sur une actualité qui nous bombarde en permanence à la vitesse de la lumière.

Les Chinois, dit-on, avaient inventé le supplice de la goutte d’eau. Les feuilletons télé en ont repris le principe : un petit matraquage quotidien.

On ne compte plus les grincheux qui demandent l’arrêt des cloches, quand bien même ils ont posé leurs valises dans l’annexe du presbytère…

Du pain, des jeux, une famille royale… c’est sans doute la recette pour tenir un peuple sous cloche.

Rien de nouveau sous le crachin, me direz-vous, à cela près que le maire de Rennes est, comme dit plus haut, une référence nationale en matière de laïcité.

Il faut, on le comprend bien, tuer dans l’œuf cette méchante idée reçue selon laquelle ce sont les immigrées qui repeuplent la France.

C’est une nouvelle d’importance qui nous est parvenue hier…

Excellente joueuse, militante LGBT et contemptrice de Donald Trump.

Hypocrites jusqu’au fond du tiers-mondisme (mot disparu avec la mondialisation heureuse), nous avons fait de l’Asie notre poubelle.
Je ne crois pas me souvenir que la police patrouillait à nos sorties d’école, mais une fois encore, ces temps ne sont plus…

Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.

Depuis un an, les récompenses ne cessent de pleuvoir sur cette gamine.

La maladie qui nous ronge se résume d’une phrase : on pond des lois, au nom des grands principes, qu’on refuse d’appliquer, au nom des grands sentiments.

On a ainsi appris que le quintuple assassin Jean-Claude Romand quittait la prison centrale de Saint-Maur pour aller couler des jours ô combien paisibles dans l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault…

Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Nous sommes entrés dans un tel temps de la déliquescence que la moindre parole sensée, le plus petit propos de bon sens qui osent aujourd’hui s’afficher dans les hautes sphères de l’État font l’effet de pépites rares.


Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.

Les députés de quatre groupes politiques vont, en effet, déposer prochainement une proposition de loi visant à légaliser le cannabis.

Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.


Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?

Voilà une grosse journée, maintenant, que notre sainte climatique vogue sur les flots.

Après les cinéastes et les acteurs, voilà maintenant les chanteurs qui arrivent dans la porcherie déjà bien garnie.

Efficacité plutôt qu’idéologie, c’est la recette des pays qui ont décidé de faire de l’immigration un atout économique. La France, hélas, persiste dans la démarche inverse…

Ils sont formidables, ces acteurs américains. Ils ont tous le cœur gros comme ça…

Rosanna, génétiquement peace and love, élevée dans une communauté hippie et mariée quatre fois, est une vraie rebelle de la rebellitude !

Je lui reproche – comme à tous ses semblables en politique, ou presque – de tweeter sans réfléchir, juste histoire de ne pas paraître en retard sur une actualité qui nous bombarde en permanence à la vitesse de la lumière.

Les Chinois, dit-on, avaient inventé le supplice de la goutte d’eau. Les feuilletons télé en ont repris le principe : un petit matraquage quotidien.

On ne compte plus les grincheux qui demandent l’arrêt des cloches, quand bien même ils ont posé leurs valises dans l’annexe du presbytère…

Du pain, des jeux, une famille royale… c’est sans doute la recette pour tenir un peuple sous cloche.

Rien de nouveau sous le crachin, me direz-vous, à cela près que le maire de Rennes est, comme dit plus haut, une référence nationale en matière de laïcité.

Il faut, on le comprend bien, tuer dans l’œuf cette méchante idée reçue selon laquelle ce sont les immigrées qui repeuplent la France.

C’est une nouvelle d’importance qui nous est parvenue hier…

Excellente joueuse, militante LGBT et contemptrice de Donald Trump.

Hypocrites jusqu’au fond du tiers-mondisme (mot disparu avec la mondialisation heureuse), nous avons fait de l’Asie notre poubelle.
Je ne crois pas me souvenir que la police patrouillait à nos sorties d’école, mais une fois encore, ces temps ne sont plus…

Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.

Depuis un an, les récompenses ne cessent de pleuvoir sur cette gamine.

La maladie qui nous ronge se résume d’une phrase : on pond des lois, au nom des grands principes, qu’on refuse d’appliquer, au nom des grands sentiments.

On a ainsi appris que le quintuple assassin Jean-Claude Romand quittait la prison centrale de Saint-Maur pour aller couler des jours ô combien paisibles dans l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault…

Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Nous sommes entrés dans un tel temps de la déliquescence que la moindre parole sensée, le plus petit propos de bon sens qui osent aujourd’hui s’afficher dans les hautes sphères de l’État font l’effet de pépites rares.


Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.

Les députés de quatre groupes politiques vont, en effet, déposer prochainement une proposition de loi visant à légaliser le cannabis.

Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.


Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?
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