

On connaissait la phase 1, celle des territoires perdus de la République. Voilà donc la phase 2 : les territoires d’où s’enfuit la République.

alors puisque les fleurs, c’est périssable et les bonbons, c’est tellement bon, les syndicats de police ont entrepris de distribuer ici des glaces, là des sucettes, avec en fond sonore le générique des Bisounours.

Si tests il y eut en abondance, c’était plus pour chercher à savoir ce que les Français avaient derrière la tête que dans les fosses nasales.

Emmanuel Macron se retranche et se retranchera toujours derrière « les avis des scientifiques » pour mettre le pays totalement à l’arrêt.

Sous la frise ACAB, le sommier de police relatant les faits d’armes du héros et de ses frères ferait une jolie déco sur les murs. Ça serait sympa, non ?

À ce train-là, l’école n’aura toujours pas repris à Noël…

Il y a cinq ans, maintenant, nous étions tous sommés d’être Charlie. On embrassait la police, on fraternisait dans les carrefours, plus rien ne serait comme avant…

Christo va-t-il encore nous emballer ? Réponse dans un an.

La demande d’exorcismes et autres saignées prophétiques serait exponentielle, si l’on en croit la DGSI et la MIVILUDES.

Nous nous glorifions sans cesse d’avoir aboli la peine de mort. On a inventé la peine de vivre. Une trouvaille de la modernité.

Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !


Et pourquoi pas, aussi, une distribution de tétines pour tout le monde ?

La dame va défaillir : y aurait-il « something rotten in the state of Denmark » ?

Parisienne, la dame n’en joue pas moins l’Arlésienne. Ira, n’ira pas ? Un coup je te vois, un coup je te vois pas.

Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.

Je ne vois pas comment vous pourrez financer tous ces milliards que vous jetez au vent mauvais, sinon en ponctionnant jusqu’à l’os nos maigres économies et nos pauvres retraites.

Comme disent les crétins quand on leur fait une remarque : « Ben quoi, on est en démocratie ! » Traduction : j’ai le droit de tout faire.

Parti en pleurnichant pour avoir rudement éprouvé le principe de réalité, il continue de nous gratifier de ses idées merveilleuses.

Bref, alors que l’aréopage macronien avait tombé les masques, Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, a tenu à garder le sien. C’était sa ligne de démarcation, ou de démasquation.

Dans leur ensemble, les personnels n’ont que faire des hochets. Ils veulent travailler dans de meilleures conditions et être mieux rémunérés.


Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.

Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.

À l’heure où l’on s’inquiète de l’avenir de la planète et de la biodiversité, voilà une belle façon de gâcher du papier et donc des arbres.

Dignité et cohérence, c’est vous qui l’avez dit. Alors, chiche !

Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.

Quant à moi, j’attends toujours la nomination du juge d’instruction promise suite à mon agression avec violences, en février 2017…

On connaissait la phase 1, celle des territoires perdus de la République. Voilà donc la phase 2 : les territoires d’où s’enfuit la République.

alors puisque les fleurs, c’est périssable et les bonbons, c’est tellement bon, les syndicats de police ont entrepris de distribuer ici des glaces, là des sucettes, avec en fond sonore le générique des Bisounours.

Si tests il y eut en abondance, c’était plus pour chercher à savoir ce que les Français avaient derrière la tête que dans les fosses nasales.

Emmanuel Macron se retranche et se retranchera toujours derrière « les avis des scientifiques » pour mettre le pays totalement à l’arrêt.

Sous la frise ACAB, le sommier de police relatant les faits d’armes du héros et de ses frères ferait une jolie déco sur les murs. Ça serait sympa, non ?

À ce train-là, l’école n’aura toujours pas repris à Noël…

Il y a cinq ans, maintenant, nous étions tous sommés d’être Charlie. On embrassait la police, on fraternisait dans les carrefours, plus rien ne serait comme avant…

Christo va-t-il encore nous emballer ? Réponse dans un an.

La demande d’exorcismes et autres saignées prophétiques serait exponentielle, si l’on en croit la DGSI et la MIVILUDES.

Nous nous glorifions sans cesse d’avoir aboli la peine de mort. On a inventé la peine de vivre. Une trouvaille de la modernité.

Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !


Et pourquoi pas, aussi, une distribution de tétines pour tout le monde ?

La dame va défaillir : y aurait-il « something rotten in the state of Denmark » ?

Parisienne, la dame n’en joue pas moins l’Arlésienne. Ira, n’ira pas ? Un coup je te vois, un coup je te vois pas.

Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.

Je ne vois pas comment vous pourrez financer tous ces milliards que vous jetez au vent mauvais, sinon en ponctionnant jusqu’à l’os nos maigres économies et nos pauvres retraites.

Comme disent les crétins quand on leur fait une remarque : « Ben quoi, on est en démocratie ! » Traduction : j’ai le droit de tout faire.

Parti en pleurnichant pour avoir rudement éprouvé le principe de réalité, il continue de nous gratifier de ses idées merveilleuses.

Bref, alors que l’aréopage macronien avait tombé les masques, Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, a tenu à garder le sien. C’était sa ligne de démarcation, ou de démasquation.

Dans leur ensemble, les personnels n’ont que faire des hochets. Ils veulent travailler dans de meilleures conditions et être mieux rémunérés.


Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.

Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.

À l’heure où l’on s’inquiète de l’avenir de la planète et de la biodiversité, voilà une belle façon de gâcher du papier et donc des arbres.

Dignité et cohérence, c’est vous qui l’avez dit. Alors, chiche !

Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.

Quant à moi, j’attends toujours la nomination du juge d’instruction promise suite à mon agression avec violences, en février 2017…
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