
Toute référence et similitude avec l’état de la France, actuel et à venir, est évidemment la bienvenue, sans quoi nos candidats auraient été se promener en Allemagne, aux États-Unis ou en Chine.

Lors des trois premières élections présidentielles du régime, en 1965, 1969 et 1974, les parrainages de 100 élus du peuple suffisaient. Ces trois scrutins ont vu concourir 6, 7 et 12 candidats, loin de la cohue qu’on nous présente comme inéluctable en cas d’abaissement de la barre des 500 signatures.

Ce mercredi 22 décembre, quarante élèves officiers de l’Académie militaire de Saint-Cyr livreront une bataille décisive… sur l’antenne de M6.

Notre gauche française jubilante est flashée accélérateur au plancher dans ce que les psychologues appellent un transfert. Elle oublie qu’elle n’est pour rien dans la victoire du jeune leader chilien.

« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».

Cyril Hanouna est la coqueluche d’un public jeune. Or, ce public bascule crescendo vers la droite avec armes et bagages, sans le moindre complexe. Parmi tous les malheurs de la gauche, qui a tant voulu incarner la jeunesse, celui-ci est peut-être le plus cruel.

Qu’a-t-il fait du prestige de la France, de l’image de notre pays auprès des Français eux-mêmes – on les oublie si souvent ?

Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.

A l’origine de ces maux, l’effondrement de nos élites qui n’osent plus dire les choses et sont prêtes à pactiser avec ceux qui veulent notre mort. Ce sont des dhimmis, ils sont soumis.

En 2020, Donald Trump avait respecté une promesse de campagne en inscrivant ces mouvances parmi les organisations terroristes nationales, provoquant une vague d’articles en défense dans la presse américaine.

Les deux personnalités qui s’opposent frontalement sur France 2 font irrésistiblement songer à la fable de La Fontaine Le Loup et le Chien.

Quatre ans après son arrivée au pouvoir, le bilan des affaires appelle le Président-candidat à davantage de modestie.

Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Au cas où Pécresse manifesterait des velléités d’indépendance, elle trouverait face à elle le crâne lisse et l’œil qui frise du député des Alpes maritimes.

« La prochaine élection présidentielle devait être une formalité pour cinq années supplémentaires de macronisme, entame Zemmour, mais un petit grain de sable est venu gripper la machine ».

Valérie Pécresse a donc décroché de haute lutte, après quatre débats télévisés et un vote des militants, le droit de participer à la course présidentielle

En quelques jours, deux candidats se seront déclarés : la vraie campagne présidentielle peut commencer.

« C’est la France qui a fait ce que je suis, je suis prête, capitaine, à lui donner ma vie. Je lui garderai une reconnaissance éternelle. »
Cette mansuétude soudaine pour des idées que le gouvernement auquel il appartient ne cesse de vitupérer s’explique aisément par un calcul bassement politicien. L’essence de la Macronie.

Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).

Le slogan des anti-Zemmour (« Tout le monde déteste Éric Zemmour ») est lui aussi délicieux, très « inclusif », comme on dit.
Pour ces faits gravissimes, l’idole de toute une jeunesse en France risque 75 000 euros d’amende, l’équivalent d’un café noir pour lui, et… six mois de prison avec sursis. Comme notre lanceur d’eau.

Durant six jours et cinq nuits, un train construit pour le Puy du Fou emportera ses passagers dans Le Grand Tour, un périple sur les rails de 4.000 kilomètres à travers la France durant cinq nuits et six jours.

Arnaud Benedetti, politologue, rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire et professeur associé à l’université Paris-Sorbonne, vient de publier Comment sont morts les

Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans

Les voix se multiplient pour tenter d’expliquer au Président pas encore candidat que l’élection a un lendemain et que la stratégie de l’hélicoptère distribuant l’argent d’un État endetté jusqu’aux oreilles retombera un jour sur les Français.

Les candidats rivalisent de réalisme et de fermeté, non sans rappeler régulièrement les errements du président de la République et l’embrouillamini de ses priorités. C’est un Noël patriotique !

Nos plumes indignées passent sans transition des néonazis à… Zemmour, un bond manipulatoire qu’on a le droit de trouver malsain.

Toute référence et similitude avec l’état de la France, actuel et à venir, est évidemment la bienvenue, sans quoi nos candidats auraient été se promener en Allemagne, aux États-Unis ou en Chine.

Lors des trois premières élections présidentielles du régime, en 1965, 1969 et 1974, les parrainages de 100 élus du peuple suffisaient. Ces trois scrutins ont vu concourir 6, 7 et 12 candidats, loin de la cohue qu’on nous présente comme inéluctable en cas d’abaissement de la barre des 500 signatures.

Ce mercredi 22 décembre, quarante élèves officiers de l’Académie militaire de Saint-Cyr livreront une bataille décisive… sur l’antenne de M6.

Notre gauche française jubilante est flashée accélérateur au plancher dans ce que les psychologues appellent un transfert. Elle oublie qu’elle n’est pour rien dans la victoire du jeune leader chilien.

« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».

Cyril Hanouna est la coqueluche d’un public jeune. Or, ce public bascule crescendo vers la droite avec armes et bagages, sans le moindre complexe. Parmi tous les malheurs de la gauche, qui a tant voulu incarner la jeunesse, celui-ci est peut-être le plus cruel.

Qu’a-t-il fait du prestige de la France, de l’image de notre pays auprès des Français eux-mêmes – on les oublie si souvent ?

Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.

A l’origine de ces maux, l’effondrement de nos élites qui n’osent plus dire les choses et sont prêtes à pactiser avec ceux qui veulent notre mort. Ce sont des dhimmis, ils sont soumis.

En 2020, Donald Trump avait respecté une promesse de campagne en inscrivant ces mouvances parmi les organisations terroristes nationales, provoquant une vague d’articles en défense dans la presse américaine.

Les deux personnalités qui s’opposent frontalement sur France 2 font irrésistiblement songer à la fable de La Fontaine Le Loup et le Chien.

Quatre ans après son arrivée au pouvoir, le bilan des affaires appelle le Président-candidat à davantage de modestie.

Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Au cas où Pécresse manifesterait des velléités d’indépendance, elle trouverait face à elle le crâne lisse et l’œil qui frise du député des Alpes maritimes.

« La prochaine élection présidentielle devait être une formalité pour cinq années supplémentaires de macronisme, entame Zemmour, mais un petit grain de sable est venu gripper la machine ».

Valérie Pécresse a donc décroché de haute lutte, après quatre débats télévisés et un vote des militants, le droit de participer à la course présidentielle

En quelques jours, deux candidats se seront déclarés : la vraie campagne présidentielle peut commencer.

« C’est la France qui a fait ce que je suis, je suis prête, capitaine, à lui donner ma vie. Je lui garderai une reconnaissance éternelle. »
Cette mansuétude soudaine pour des idées que le gouvernement auquel il appartient ne cesse de vitupérer s’explique aisément par un calcul bassement politicien. L’essence de la Macronie.

Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).

Le slogan des anti-Zemmour (« Tout le monde déteste Éric Zemmour ») est lui aussi délicieux, très « inclusif », comme on dit.
Pour ces faits gravissimes, l’idole de toute une jeunesse en France risque 75 000 euros d’amende, l’équivalent d’un café noir pour lui, et… six mois de prison avec sursis. Comme notre lanceur d’eau.

Durant six jours et cinq nuits, un train construit pour le Puy du Fou emportera ses passagers dans Le Grand Tour, un périple sur les rails de 4.000 kilomètres à travers la France durant cinq nuits et six jours.

Arnaud Benedetti, politologue, rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire et professeur associé à l’université Paris-Sorbonne, vient de publier Comment sont morts les

Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans

Les voix se multiplient pour tenter d’expliquer au Président pas encore candidat que l’élection a un lendemain et que la stratégie de l’hélicoptère distribuant l’argent d’un État endetté jusqu’aux oreilles retombera un jour sur les Français.

Les candidats rivalisent de réalisme et de fermeté, non sans rappeler régulièrement les errements du président de la République et l’embrouillamini de ses priorités. C’est un Noël patriotique !

Nos plumes indignées passent sans transition des néonazis à… Zemmour, un bond manipulatoire qu’on a le droit de trouver malsain.
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