
La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.

Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?

La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.

Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.

Alors que l’Ukraine vit des heures sombres, il faut lire, faire lire à vos enfants et relire Maroussia. Pour comprendre la résistance acharnée des Ukrainiens et apprendre à aimer l’âme d’un pays. Le nôtre, par exemple.

C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.

À l’étude des déclarations, un patrimoine et un seul a de quoi surprendre. C’est celui du candidat Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas son enrichissement, c’est au contraire sa stupéfiante modestie qui pose question.

Le Président a trouvé une manière de sanctuariser ces caisses de résonnance honnies par bien des Français. Ils constatent l’écart de ce média qui leur appartient avec ce qu’ils sont et ce qu’ils pensent.

C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.

Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.

Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Dans ses années de formation au KGB, ce goût du risque est la seule réserve émise par ses instructeurs. Là, il risque effectivement très gros.
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.

« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »

Le propriétaire d’un chien, appelé Douglas, aurait pris pour son animal une carte du parti et l’aurait inscrit sur les listes du vote !
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.

« J’ai compris tout de suite qui était venu, dit le jeune agriculteur de 24 ans. J’en ai pleuré de tristesse et de colère. Il y a eu des larmes dans la famille. On aime nos animaux… »

À gauche, Bolloré a pris les dimensions d’un fantasme, d’un épouvantail à moineaux politiquement corrects. Il est partout, il voit tout, il finance tout, il manigance tout, jusqu’à cette élection présidentielle.

Nous qui sommes si taxés, comment peut-on accepter d’avoir de si mauvais résultats pour l’éducation, la santé, la lutte contre la pauvreté, l’insécurité… ?

La dette a augmenté sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy d’environ 600 milliards, sous François Hollande d’environ 400 milliards ; le quinquennat actuel l’aura vu bondir d’environ 690 milliards.

Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.

La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.

On a entendu l’élève Pécresse, bonne dernière de la classe d’éloquence, ton monocorde et sourire gêné. Pas de structure, pas de lignes de force, pas de choix dans les idées développées…
Le redoutable maire du 7e arrondissement de Paris et première opposante d’Anne Hidalgo s’est livrée, ce 10 février, à un de ces découpages à la scie sauteuse dont elle a le secret.

Qu’il mette ses mots et ses actes en cohérence, demandent-ils, et parraine Marine Le Pen.

Ah, les méchants capitalistes, ouh, les vilains riches qui essorent nos anciens ! À son tour, Bruno Le Maire est tombé, ce 8 février, sur France Inter, dans le panneau tendu par la gauche depuis le lancement de cette affaire.

Les deux candidats patriotes n’ont pas livré un match de boxe, au contraire. Pas d’attaque personnelle, pas un mot fielleux. Ils se sont recentrés sur leurs stratégies, adaptées à leurs positions dans la course présidentielle.

Ismérie se donne pour mission d’accompagner les musulmans qui se convertissent à la foi chrétienne.

La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.

Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?

La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.

Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.

Alors que l’Ukraine vit des heures sombres, il faut lire, faire lire à vos enfants et relire Maroussia. Pour comprendre la résistance acharnée des Ukrainiens et apprendre à aimer l’âme d’un pays. Le nôtre, par exemple.

C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.

À l’étude des déclarations, un patrimoine et un seul a de quoi surprendre. C’est celui du candidat Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas son enrichissement, c’est au contraire sa stupéfiante modestie qui pose question.

Le Président a trouvé une manière de sanctuariser ces caisses de résonnance honnies par bien des Français. Ils constatent l’écart de ce média qui leur appartient avec ce qu’ils sont et ce qu’ils pensent.

C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.

Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.

Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Dans ses années de formation au KGB, ce goût du risque est la seule réserve émise par ses instructeurs. Là, il risque effectivement très gros.
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.

« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »

Le propriétaire d’un chien, appelé Douglas, aurait pris pour son animal une carte du parti et l’aurait inscrit sur les listes du vote !
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.

« J’ai compris tout de suite qui était venu, dit le jeune agriculteur de 24 ans. J’en ai pleuré de tristesse et de colère. Il y a eu des larmes dans la famille. On aime nos animaux… »

À gauche, Bolloré a pris les dimensions d’un fantasme, d’un épouvantail à moineaux politiquement corrects. Il est partout, il voit tout, il finance tout, il manigance tout, jusqu’à cette élection présidentielle.

Nous qui sommes si taxés, comment peut-on accepter d’avoir de si mauvais résultats pour l’éducation, la santé, la lutte contre la pauvreté, l’insécurité… ?

La dette a augmenté sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy d’environ 600 milliards, sous François Hollande d’environ 400 milliards ; le quinquennat actuel l’aura vu bondir d’environ 690 milliards.

Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.

La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.

On a entendu l’élève Pécresse, bonne dernière de la classe d’éloquence, ton monocorde et sourire gêné. Pas de structure, pas de lignes de force, pas de choix dans les idées développées…
Le redoutable maire du 7e arrondissement de Paris et première opposante d’Anne Hidalgo s’est livrée, ce 10 février, à un de ces découpages à la scie sauteuse dont elle a le secret.

Qu’il mette ses mots et ses actes en cohérence, demandent-ils, et parraine Marine Le Pen.

Ah, les méchants capitalistes, ouh, les vilains riches qui essorent nos anciens ! À son tour, Bruno Le Maire est tombé, ce 8 février, sur France Inter, dans le panneau tendu par la gauche depuis le lancement de cette affaire.

Les deux candidats patriotes n’ont pas livré un match de boxe, au contraire. Pas d’attaque personnelle, pas un mot fielleux. Ils se sont recentrés sur leurs stratégies, adaptées à leurs positions dans la course présidentielle.

Ismérie se donne pour mission d’accompagner les musulmans qui se convertissent à la foi chrétienne.
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