
« Dès midi, des faits de délinquance sont constatés : 300 à 400 délinquants ont perturbé la gestion des flux. L’organisation des forces de l’ordre n’était pas adaptée pour y faire face »

Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.

Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.

La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».

Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.

La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.

Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigeria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables.

Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Devant la Commission des lois au Sénat, ce 1er juin, Gérald Darmanin s’est surpassé dans la mauvaise foi et le déni de réalité.

Hou hou ! Où est donc passé Emmanuel Macron ? Boulevard Voltaire se désespère, vous pensez bien ! Le président de la République a disparu. Seul l’écho répond aux appels des Français.

Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.

« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…

Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.

Donc, la France attend. Macron avait pourtant peu de doutes sur l’issue du scrutin. Il aurait pu prendre un peu d’avance sur le dossier, répartir les postes voilà un an puisque tous les sondages le donnaient gagnant du début jusqu’à la fin de cette campagne. Mais non, il n’a rien prévu.

L’affaire illustre à merveille la situation humiliante de la France vis-à-vis des pays du Maghreb. Une situation qui dure.

Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».

Il va tenter de montrer qu’on peut être perdant mais courageux. Il sculpte son personnage, son image, sa stature de chef de parti politique.

Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.

Les relations du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti avec les magistrats étaient notoirement mauvaises. De là à ce que l’ancien « as » du barreau se retrouve devant des juges, il d avait un pas. Un pas franchi mardi.

Un « peuple nouveau » ? Comment ne pas penser à cet « homme nouveau » que le président nouveau, Mao Tsé-toung, voulait voir surgir lors de la révolution culturelle.

C’est parti : Marine Le Pen se lance à son tour dans la bataille des législatives. Elle adopte la stratégie inverse de celle de ses deux grands concurrents. Rien pour attirer les feux de la rampe…

Pour Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu, rédacteur en chef à Valeurs actuelles et auteur d’un livre sur l’Eglise et l’immigration, se penche sur l’évolution du vote catholique en analysant les résultats des élections présidentielles. Un électorat plein de promesses.

Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?

Méfiez-vous des imitations, comme dit la publicité. Cette union de la gauche est au Front populaire ce que Mélenchon est à Staline : une miniature grotesque.

Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.

« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »

Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême

« Dès midi, des faits de délinquance sont constatés : 300 à 400 délinquants ont perturbé la gestion des flux. L’organisation des forces de l’ordre n’était pas adaptée pour y faire face »

Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.

Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.

La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».

Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.

La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.

Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigeria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables.

Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Devant la Commission des lois au Sénat, ce 1er juin, Gérald Darmanin s’est surpassé dans la mauvaise foi et le déni de réalité.

Hou hou ! Où est donc passé Emmanuel Macron ? Boulevard Voltaire se désespère, vous pensez bien ! Le président de la République a disparu. Seul l’écho répond aux appels des Français.

Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.

« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…

Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.

Donc, la France attend. Macron avait pourtant peu de doutes sur l’issue du scrutin. Il aurait pu prendre un peu d’avance sur le dossier, répartir les postes voilà un an puisque tous les sondages le donnaient gagnant du début jusqu’à la fin de cette campagne. Mais non, il n’a rien prévu.

L’affaire illustre à merveille la situation humiliante de la France vis-à-vis des pays du Maghreb. Une situation qui dure.

Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».

Il va tenter de montrer qu’on peut être perdant mais courageux. Il sculpte son personnage, son image, sa stature de chef de parti politique.

Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.

Les relations du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti avec les magistrats étaient notoirement mauvaises. De là à ce que l’ancien « as » du barreau se retrouve devant des juges, il d avait un pas. Un pas franchi mardi.

Un « peuple nouveau » ? Comment ne pas penser à cet « homme nouveau » que le président nouveau, Mao Tsé-toung, voulait voir surgir lors de la révolution culturelle.

C’est parti : Marine Le Pen se lance à son tour dans la bataille des législatives. Elle adopte la stratégie inverse de celle de ses deux grands concurrents. Rien pour attirer les feux de la rampe…

Pour Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu, rédacteur en chef à Valeurs actuelles et auteur d’un livre sur l’Eglise et l’immigration, se penche sur l’évolution du vote catholique en analysant les résultats des élections présidentielles. Un électorat plein de promesses.

Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?

Méfiez-vous des imitations, comme dit la publicité. Cette union de la gauche est au Front populaire ce que Mélenchon est à Staline : une miniature grotesque.

Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.

« Comment peut-on, alors que l’on exerce une mission au service de l’État et des Français, être finalement considéré et traité comme le premier criminel venu ? »

Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
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