

Réouverture tant attendue des restaurants oblige, notre voyage culturel s’invite à table cette semaine.

Qu’a donc pu annoncer la médiatique Aïssa Maïga pour que des titres français ou internationaux cèdent à la facilité de l’uniformité ? En quoi son discours est-il unanimement édifiant ?

Las, ce n’est pas l’épidémie du Covid-19 qui aura eu raison du troquet, mais un tout autre mal bien plus pernicieux.

À la découverte de notre patrimoine, sur les routes de Beauce. Épisode 7.

Signes de contradiction dans notre société virtuelle et aseptisée, les marcheurs arpenteront donc leurs routes locales par petits groupes de dix pour invoquer la Mère de Dieu et prier pour la France.

« On ne peut pas être travailleur – parent – professeur en même temps… C’est impossible, sous peine de filer droit vers le burn out. Ici encore, il faut choisir… et accepter que choisir, c’est renoncer »

On ne présente plus Marc Eynaud dans ces colonnes. Notre confrère, habitué à commenter, décortiquer, analyser l’actualit

Occasion, encore, de fleurir les croix de nos chemins avant qu’ils ne disparaissent sous le bitume des lotissements et des déviations.

Quelles seront les conséquences du rapport sur la mixité sociale signé entre Pap Ndiaye et l’Enseignement catholique ?

L’épidémie de coronavirus comme prétexte à la déshumanisation des rapports ?

Ici, rien de conceptuel et rien de reconstitué à la sauce Disneyland non plus : tout est authentique et parfaitement à sa place.

À l’heure de tirer des conclusions se pose donc la question de la politique de la ville de demain.


Stéphane Bern n’a pas manqué d’expliquer à ses millions de téléspectateurs que « cette sainte si proche et si humaine nous rappelle qu’il n’y a pas de plus bel idéal sur Terre que de vouloir vivre d’amour ».

Retrouvez, chaque samedi, notre nouvelle série culturelle pour découvrir un joyau du patrimoine français.

Confinés avec des enfants collés aux écrans, privés de muguet, de messes, de masques ou de tests, mais aussi de la possibilité de travailler ou d’enterrer leurs morts dans de bonnes conditions, puissent les Français ne jamais oublier…

Deuxième épisode de notre série du week-end consacrée aux joyaux du patrimoine français.

Le risque est qu’un ressort trop longtemps serré finisse par littéralement exploser.

Timidement pratiquée jusque-là, avec moins de 10.000 actes par semaine, ce sont près de 500.000 téléconsultations qui ont été facturées à l’assurance maladie entre le 23 et le 29 mars.

Nous démantelons chez nous notre savoir-faire industriel pharmaceutique, nous le cédons à la Chine, quelques années après, elle importe avec notre consentement le virus et bientôt les moyens de le combattre.

Rédiger un mot sur un Post-it ou remplir un chèque, des activités reléguées au passé ?

Plate-forme d’échanges, Over the Blues centralise les offres et les demandes entre les particuliers, les soignants et les entreprises.

Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.

« Je me sens donc totalement en sécurité et ce que certains dénoncent comme une violation des libertés individuelles ne me choque pas plus que ça dans la mesure où les résultats sont visibles… »

Bon nombre de défis sont lancés pour nous occuper pendant cette période de vacuité.

N’attendant pas la fin du carême qui signifie la sainte quarantaine, notre sympathique Homo ventrus, ayant visiblement plus peur de mourir de faim que de ce satané virus, s’est mis en chasse d’un nouveau trophée.

Face à « l’équilibre difficile à trouver » annoncé par Édouard Philippe, lundi soir, au JT de TF1, certains réfractaires tentent le numéro d’équilibriste et leur imagination semble sans faille…

Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.

Réouverture tant attendue des restaurants oblige, notre voyage culturel s’invite à table cette semaine.

Qu’a donc pu annoncer la médiatique Aïssa Maïga pour que des titres français ou internationaux cèdent à la facilité de l’uniformité ? En quoi son discours est-il unanimement édifiant ?

Las, ce n’est pas l’épidémie du Covid-19 qui aura eu raison du troquet, mais un tout autre mal bien plus pernicieux.

À la découverte de notre patrimoine, sur les routes de Beauce. Épisode 7.

Signes de contradiction dans notre société virtuelle et aseptisée, les marcheurs arpenteront donc leurs routes locales par petits groupes de dix pour invoquer la Mère de Dieu et prier pour la France.

« On ne peut pas être travailleur – parent – professeur en même temps… C’est impossible, sous peine de filer droit vers le burn out. Ici encore, il faut choisir… et accepter que choisir, c’est renoncer »

On ne présente plus Marc Eynaud dans ces colonnes. Notre confrère, habitué à commenter, décortiquer, analyser l’actualit

Occasion, encore, de fleurir les croix de nos chemins avant qu’ils ne disparaissent sous le bitume des lotissements et des déviations.

Quelles seront les conséquences du rapport sur la mixité sociale signé entre Pap Ndiaye et l’Enseignement catholique ?

L’épidémie de coronavirus comme prétexte à la déshumanisation des rapports ?

Ici, rien de conceptuel et rien de reconstitué à la sauce Disneyland non plus : tout est authentique et parfaitement à sa place.

À l’heure de tirer des conclusions se pose donc la question de la politique de la ville de demain.


Stéphane Bern n’a pas manqué d’expliquer à ses millions de téléspectateurs que « cette sainte si proche et si humaine nous rappelle qu’il n’y a pas de plus bel idéal sur Terre que de vouloir vivre d’amour ».

Retrouvez, chaque samedi, notre nouvelle série culturelle pour découvrir un joyau du patrimoine français.

Confinés avec des enfants collés aux écrans, privés de muguet, de messes, de masques ou de tests, mais aussi de la possibilité de travailler ou d’enterrer leurs morts dans de bonnes conditions, puissent les Français ne jamais oublier…

Deuxième épisode de notre série du week-end consacrée aux joyaux du patrimoine français.

Le risque est qu’un ressort trop longtemps serré finisse par littéralement exploser.

Timidement pratiquée jusque-là, avec moins de 10.000 actes par semaine, ce sont près de 500.000 téléconsultations qui ont été facturées à l’assurance maladie entre le 23 et le 29 mars.

Nous démantelons chez nous notre savoir-faire industriel pharmaceutique, nous le cédons à la Chine, quelques années après, elle importe avec notre consentement le virus et bientôt les moyens de le combattre.

Rédiger un mot sur un Post-it ou remplir un chèque, des activités reléguées au passé ?

Plate-forme d’échanges, Over the Blues centralise les offres et les demandes entre les particuliers, les soignants et les entreprises.

Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.

« Je me sens donc totalement en sécurité et ce que certains dénoncent comme une violation des libertés individuelles ne me choque pas plus que ça dans la mesure où les résultats sont visibles… »

Bon nombre de défis sont lancés pour nous occuper pendant cette période de vacuité.

N’attendant pas la fin du carême qui signifie la sainte quarantaine, notre sympathique Homo ventrus, ayant visiblement plus peur de mourir de faim que de ce satané virus, s’est mis en chasse d’un nouveau trophée.

Face à « l’équilibre difficile à trouver » annoncé par Édouard Philippe, lundi soir, au JT de TF1, certains réfractaires tentent le numéro d’équilibriste et leur imagination semble sans faille…

Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.
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