

Cinq jours après l’accident, les médecins engagent un protocole d’arrêt des traitements en fin de vie.

À quelques mètres de l’inégalable merveille de marbre sculptée par Michel-Ange, cette crèche est une insulte au bon goût.

On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.

Le message va plus loin encore, il valorise la lactation induite…
Etonnante façon de gouverner que de pondre des mesures inconsidérées…

Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.

Les motifs exposés démontrent que ce n’est pas tant l’intérêt de l’enfant qui est pris en compte que celui des parents candidats à l’adoption…

Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?

Être bon en tapant dans un ballon suffit-il à commenter l’actualité dont, manifestement, on ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants ?

Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.

Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.

Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »

Pendant que l’affaire Daval défraie la chronique avec son lot de révélations voyeuristes, un autre procès a démarré le 16 novembre…

Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.

Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.

Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.

Au-delà de la découverte des expositions permanentes et temporaires actuelles, il est possible d’accéder à des lieux normalement difficiles d’accès ou fermés pour des raisons de sécurité.

Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »

Voici quelques bonnes idées pour occuper ce confinement imposé, qui nous met de nouveau à l’arrêt, par ce qui ne s’invente pas : La République en marche !

Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…

Si certains semblent rassurés par cette nouvelle mesure, d’autres sont scandalisés de cette atteinte à l’intégrité physique et morale de leur progéniture.

Quant au ministère de l’Éducation, visiblement dépassé par cette double crise sanitaire et sécuritaire, il feint de ne pas voir le problème…

« La liberté de culte n’est pas négociable. Si commerces et écoles restent ouverts, les catholiques doivent avoir le droit d’assister à la messe. »

Comme le père Hamel, il y a quatre ans, ces trois personnes sont mortes sauvagement assassinées d’avoir pratiqué leur foi ou consacré leur vie à servir l’Église.

Constatant que nous sommes en guerre, « que le djihad est lancé contre la France », que « les cellules islamistes, suite à la décapitation de Samuel Paty, sont en train de se réactiver d’un coup sur tout le territoire », elle en appelle à un vote du peuple pour une vraie réforme constitutionnelle.

Un nouveau pas vient d’être franchi dans la dhimmitude de notre pays baptisé, jusque-là, France fille aînée de l’Église.

Qu’il soit réélu ou pas, il laisse ainsi son empreinte sur la politique américaine pour encore de nombreuses années.

Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.

Cinq jours après l’accident, les médecins engagent un protocole d’arrêt des traitements en fin de vie.

À quelques mètres de l’inégalable merveille de marbre sculptée par Michel-Ange, cette crèche est une insulte au bon goût.

On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.

Le message va plus loin encore, il valorise la lactation induite…
Etonnante façon de gouverner que de pondre des mesures inconsidérées…

Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.

Les motifs exposés démontrent que ce n’est pas tant l’intérêt de l’enfant qui est pris en compte que celui des parents candidats à l’adoption…

Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?

Être bon en tapant dans un ballon suffit-il à commenter l’actualité dont, manifestement, on ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants ?

Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.

Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.

Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »

Pendant que l’affaire Daval défraie la chronique avec son lot de révélations voyeuristes, un autre procès a démarré le 16 novembre…

Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.

Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.

Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.

Au-delà de la découverte des expositions permanentes et temporaires actuelles, il est possible d’accéder à des lieux normalement difficiles d’accès ou fermés pour des raisons de sécurité.

Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »

Voici quelques bonnes idées pour occuper ce confinement imposé, qui nous met de nouveau à l’arrêt, par ce qui ne s’invente pas : La République en marche !

Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…

Si certains semblent rassurés par cette nouvelle mesure, d’autres sont scandalisés de cette atteinte à l’intégrité physique et morale de leur progéniture.

Quant au ministère de l’Éducation, visiblement dépassé par cette double crise sanitaire et sécuritaire, il feint de ne pas voir le problème…

« La liberté de culte n’est pas négociable. Si commerces et écoles restent ouverts, les catholiques doivent avoir le droit d’assister à la messe. »

Comme le père Hamel, il y a quatre ans, ces trois personnes sont mortes sauvagement assassinées d’avoir pratiqué leur foi ou consacré leur vie à servir l’Église.

Constatant que nous sommes en guerre, « que le djihad est lancé contre la France », que « les cellules islamistes, suite à la décapitation de Samuel Paty, sont en train de se réactiver d’un coup sur tout le territoire », elle en appelle à un vote du peuple pour une vraie réforme constitutionnelle.

Un nouveau pas vient d’être franchi dans la dhimmitude de notre pays baptisé, jusque-là, France fille aînée de l’Église.

Qu’il soit réélu ou pas, il laisse ainsi son empreinte sur la politique américaine pour encore de nombreuses années.

Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.
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