

Étudiants et professeurs doivent désormais se soumettre à la graphie inclusive sous peine d’être pénalisés.

Cette petite voix commence à se distiller dans les médias pour nous inciter à penser que « toutes les vies n’ont pas le même prix ».

Familles, amis ou voisins sont désormais voués à s’improviser chroniqueurs, professeurs ou politiciens sur des sujets aussi entêtants que Raoult, le confinement ou les vaccins.

Les deux figures de l’émission « Face à l’info » sont mis en cause par le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) qui condamne leur manque d’éthique professionnelle.

Autour d’une table ou dans la rue, avec ou sans masque, les appels à la dissidence le 1er février se multiplient.

Claude Lévêque est un artiste internationalement reconnu, et que le monde de l’enfance a toujours fasciné, entouré constamment d’adolescents qu’il aime à présenter comme ses filleuls, ses assistants, ses neveux ou ses enfants…

Impensable, pour lui, de répondre « à la grandeur de cette aventure » par le silence de « quais fermés au public ».

Selon un sondage IFOP, « 22 % des Français entre 18 et 30 ans ne se sentent ni homme ni femme » et un nouveau hashtag #MembreDes22pourcents fleurit sur les réseaux sociaux.

Cher compatriote installé confortablement dans ton canapé, l’Europe tu aimeras, Ursula von der Leyen tu suivras, la directive Bolkestein tu estimeras et les aventures des technocrates de Bruxelles tu ne manqueras pas.

Les autorités en marche peuvent toujours s’indigner, trouver les moyens juridiques pour faire évoluer l’imprescriptibilité de l’inceste ou l’âge légal de l’enfant, ou même organiser des Assises de la psychiatrie, ce ne sera que cautère sur une jambe de bois.

Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?

Certains expliquent ne plus s’habiller le matin et travailler depuis leur lit, d’autres ne peuvent se payer qu’un repas par jour…

Si 2020 a été une année très difficile pour les commerçants, restaurateurs et milieux culturels, 2021 fait redouter le pire.

Joignant ses mains en Namasté, le Premier ministre en a appelé à la sérénité…

Aujourd’hui démasquée, cette gauche bien-pensante et libérée prend des airs de vierge effarouchée.

En se substituant à la responsabilité des parents, l’État ne risque-t-il pas, encore une fois, de favoriser l’assistanat ?

Les Gaulois réfractaires se laisseront-ils convaincre par ce nouveau simulacre de démocratie participative ?

Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…

Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…

En pleine pandémie, même si, au Brésil, aucune loi ne s’oppose à l’organisation d’un tel événement, cette fiesta prévue durant cinq jours ne pouvait passer inaperçue et a suscité un véritable tollé.

Son tort ? Poser entouré de sa femme et ses deux filles devant le sapin de Noël et poster cette scène de bonheur familial sur les réseaux sociaux.

Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.

Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.

L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?

En Égypte, l’islam est la religion d’État, et la charia islamique sa source principale de la législation.

Qu’importent les critiques d’une certaine caste journalistique, puisque malgré la multiplicité des chapelles, les fidèles sont nombreux à suivre sa grand-messe cathodique et ses traditions !

Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.

Désormais, le sort de la deuxième fille de saint Bernard de Clairvaux (après l’abbaye de Cîteaux) semble acté. Sauf annulation de la délibération par la Justice ou… miracle !

Étudiants et professeurs doivent désormais se soumettre à la graphie inclusive sous peine d’être pénalisés.

Cette petite voix commence à se distiller dans les médias pour nous inciter à penser que « toutes les vies n’ont pas le même prix ».

Familles, amis ou voisins sont désormais voués à s’improviser chroniqueurs, professeurs ou politiciens sur des sujets aussi entêtants que Raoult, le confinement ou les vaccins.

Les deux figures de l’émission « Face à l’info » sont mis en cause par le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) qui condamne leur manque d’éthique professionnelle.

Autour d’une table ou dans la rue, avec ou sans masque, les appels à la dissidence le 1er février se multiplient.

Claude Lévêque est un artiste internationalement reconnu, et que le monde de l’enfance a toujours fasciné, entouré constamment d’adolescents qu’il aime à présenter comme ses filleuls, ses assistants, ses neveux ou ses enfants…

Impensable, pour lui, de répondre « à la grandeur de cette aventure » par le silence de « quais fermés au public ».

Selon un sondage IFOP, « 22 % des Français entre 18 et 30 ans ne se sentent ni homme ni femme » et un nouveau hashtag #MembreDes22pourcents fleurit sur les réseaux sociaux.

Cher compatriote installé confortablement dans ton canapé, l’Europe tu aimeras, Ursula von der Leyen tu suivras, la directive Bolkestein tu estimeras et les aventures des technocrates de Bruxelles tu ne manqueras pas.

Les autorités en marche peuvent toujours s’indigner, trouver les moyens juridiques pour faire évoluer l’imprescriptibilité de l’inceste ou l’âge légal de l’enfant, ou même organiser des Assises de la psychiatrie, ce ne sera que cautère sur une jambe de bois.

Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?

Certains expliquent ne plus s’habiller le matin et travailler depuis leur lit, d’autres ne peuvent se payer qu’un repas par jour…

Si 2020 a été une année très difficile pour les commerçants, restaurateurs et milieux culturels, 2021 fait redouter le pire.

Joignant ses mains en Namasté, le Premier ministre en a appelé à la sérénité…

Aujourd’hui démasquée, cette gauche bien-pensante et libérée prend des airs de vierge effarouchée.

En se substituant à la responsabilité des parents, l’État ne risque-t-il pas, encore une fois, de favoriser l’assistanat ?

Les Gaulois réfractaires se laisseront-ils convaincre par ce nouveau simulacre de démocratie participative ?

Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…

Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…

En pleine pandémie, même si, au Brésil, aucune loi ne s’oppose à l’organisation d’un tel événement, cette fiesta prévue durant cinq jours ne pouvait passer inaperçue et a suscité un véritable tollé.

Son tort ? Poser entouré de sa femme et ses deux filles devant le sapin de Noël et poster cette scène de bonheur familial sur les réseaux sociaux.

Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.

Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.

L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?

En Égypte, l’islam est la religion d’État, et la charia islamique sa source principale de la législation.

Qu’importent les critiques d’une certaine caste journalistique, puisque malgré la multiplicité des chapelles, les fidèles sont nombreux à suivre sa grand-messe cathodique et ses traditions !

Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.

Désormais, le sort de la deuxième fille de saint Bernard de Clairvaux (après l’abbaye de Cîteaux) semble acté. Sauf annulation de la délibération par la Justice ou… miracle !
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