

Cette mesure intervient en pleine crise des dîners clandestins. Il avait fait la même annonce le 25 avril 2019, en pleine crise des gilets jaunes.

Retenons que tout est sous contrôle, de la menace soviétique à la réouverture des établissements et des commerces…

Il avait annoncé : « Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire. » Une fois de plus, il avait raison.

Si la tendance est à l’humanité augmentée, la marque nous vend ici la beauté de l’humanité diminuée et lui confère toute sa dignité à travers ce joli cliché.

70 % approuvent ces nouvelles mesures de restrictions et, en même temps, 46 % d’entre eux (soit près d’un Français sur deux) ne les respecteront pas !


L’idée d’« un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire » est lancée.

Ils sont jeunes, amoureux du patrimoine religieux et animés d’une foi qui les pousse à restaurer des croix.

Un an plus tard, tandis que se pose à nouveau la question du manque de lits à l’hôpital, la situation n’est plus imprévisible, loin de là.

Face à une telle dérision sur son chef-d’œuvre bureaucratique, acculé, le gouvernement est contraint de revoir sa copie mais le mal est fait…

Cette fuite au vert ou à la mer, vers des zones où le virus circule peu, risque vraisemblablement de contaminer les régions dont les services hospitaliers ne sont pas encore saturés. Mais que faire ?

Une liberté retrouvée pour les uns, une servitude volontaire pour les autres.

Éric Dupond-Moretti assure travailler avec Florence Parly sur ces questions mais répond que son application « est techniquement un peu compliquée »…

Depuis un an, le gouvernement utilise cette technique comportementale dans sa communication politique.

« Quand nous sommes dans des circonstances difficiles, avec une vie violente et pauvre, l’être humain veut créer quelque chose qui reste beau malgré le temps qui passe », déclare-t-il.

Il faut vraiment que l’heure soit grave pour qu’un capitaine sorte de son devoir de réserve, quitte à assumer les sanctions disciplinaires.

Ainsi, donc, émerge une censure, voire une autocensure, imposée par cette génération qui, à défaut d’avoir été instruite correctement, se retrouve complètement déracinée, mondialisée et biberonnée aux idéologies progressistes.
Au lieu de manifester un semblant de reconnaissance à ce pays qui le nourrit, le loge, Yaya estime plutôt qu’il est maltraité et porte plainte contre X pour « délaissement d’une personne incapable de se protéger ».

Tandis que l’école connaît de plus en plus de difficultés à remplir son rôle d’instruction, que le niveau scolaire est en dégringolade, les professeurs devraient rogner sur leur temps de cours pour prélever les tests eux-mêmes.

Las, il faut peut-être aussi chercher du côté de Mai 68 et des bouleversements sociétaux quotidiens…

Entre peur, pusillanimité et refus d’enquêter, on finit par se taire.

Aussi, on joue de la sémantique en ce qu’il serait sanitaire ou vaccinal, on réfléchit s’il ne conditionnerait que les voyages ou bien l’accès aux lieux culturels…

Non, ce n’est pas un « rétropédalage » mais elle est bien là pour « affiner sa pensée », car personne n’a vraiment compris ce qu’elle voulait proposer in fine.

Mais fallait-il vraiment chercher la réponse du côté des experts ? Un peu de bon sens ne suffisait-il pas à imaginer que ces températures, un peu plus rudes que d’habitude, ne sont pas forcément propices aux longues sorties à l’extérieur ?
Les actions portées par le syndicat des Étudiants musulmans de France (EMF) ressemblent, à s’y méprendre, à celles d’autres organisations étudiantes. Et pourtant…

De part et d’autres, les invités sont entraînés et les couteaux sans doute bien affûtés pour ce duel cathodique aux considérables répercussions politiques.
Un documentaire Arte disponible depuis le 4 février met en lumière le combat de Blythe Pepino, cette activiste à l’origine du collectif BirthStrike.

Pratique interdite depuis 1803, force est de constater que le mariage forcé est une tradition bien ancrée et qui concernerait 200.000 jeunes filles par an…

Cette mesure intervient en pleine crise des dîners clandestins. Il avait fait la même annonce le 25 avril 2019, en pleine crise des gilets jaunes.

Retenons que tout est sous contrôle, de la menace soviétique à la réouverture des établissements et des commerces…

Il avait annoncé : « Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire. » Une fois de plus, il avait raison.

Si la tendance est à l’humanité augmentée, la marque nous vend ici la beauté de l’humanité diminuée et lui confère toute sa dignité à travers ce joli cliché.

70 % approuvent ces nouvelles mesures de restrictions et, en même temps, 46 % d’entre eux (soit près d’un Français sur deux) ne les respecteront pas !


L’idée d’« un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire » est lancée.

Ils sont jeunes, amoureux du patrimoine religieux et animés d’une foi qui les pousse à restaurer des croix.

Un an plus tard, tandis que se pose à nouveau la question du manque de lits à l’hôpital, la situation n’est plus imprévisible, loin de là.

Face à une telle dérision sur son chef-d’œuvre bureaucratique, acculé, le gouvernement est contraint de revoir sa copie mais le mal est fait…

Cette fuite au vert ou à la mer, vers des zones où le virus circule peu, risque vraisemblablement de contaminer les régions dont les services hospitaliers ne sont pas encore saturés. Mais que faire ?

Une liberté retrouvée pour les uns, une servitude volontaire pour les autres.

Éric Dupond-Moretti assure travailler avec Florence Parly sur ces questions mais répond que son application « est techniquement un peu compliquée »…

Depuis un an, le gouvernement utilise cette technique comportementale dans sa communication politique.

« Quand nous sommes dans des circonstances difficiles, avec une vie violente et pauvre, l’être humain veut créer quelque chose qui reste beau malgré le temps qui passe », déclare-t-il.

Il faut vraiment que l’heure soit grave pour qu’un capitaine sorte de son devoir de réserve, quitte à assumer les sanctions disciplinaires.

Ainsi, donc, émerge une censure, voire une autocensure, imposée par cette génération qui, à défaut d’avoir été instruite correctement, se retrouve complètement déracinée, mondialisée et biberonnée aux idéologies progressistes.
Au lieu de manifester un semblant de reconnaissance à ce pays qui le nourrit, le loge, Yaya estime plutôt qu’il est maltraité et porte plainte contre X pour « délaissement d’une personne incapable de se protéger ».

Tandis que l’école connaît de plus en plus de difficultés à remplir son rôle d’instruction, que le niveau scolaire est en dégringolade, les professeurs devraient rogner sur leur temps de cours pour prélever les tests eux-mêmes.

Las, il faut peut-être aussi chercher du côté de Mai 68 et des bouleversements sociétaux quotidiens…

Entre peur, pusillanimité et refus d’enquêter, on finit par se taire.

Aussi, on joue de la sémantique en ce qu’il serait sanitaire ou vaccinal, on réfléchit s’il ne conditionnerait que les voyages ou bien l’accès aux lieux culturels…

Non, ce n’est pas un « rétropédalage » mais elle est bien là pour « affiner sa pensée », car personne n’a vraiment compris ce qu’elle voulait proposer in fine.

Mais fallait-il vraiment chercher la réponse du côté des experts ? Un peu de bon sens ne suffisait-il pas à imaginer que ces températures, un peu plus rudes que d’habitude, ne sont pas forcément propices aux longues sorties à l’extérieur ?
Les actions portées par le syndicat des Étudiants musulmans de France (EMF) ressemblent, à s’y méprendre, à celles d’autres organisations étudiantes. Et pourtant…

De part et d’autres, les invités sont entraînés et les couteaux sans doute bien affûtés pour ce duel cathodique aux considérables répercussions politiques.
Un documentaire Arte disponible depuis le 4 février met en lumière le combat de Blythe Pepino, cette activiste à l’origine du collectif BirthStrike.

Pratique interdite depuis 1803, force est de constater que le mariage forcé est une tradition bien ancrée et qui concernerait 200.000 jeunes filles par an…
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