
La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…

Lepeletier de Saint-Fargeau, ancêtre de M. de Courson, vota la mort du roi. Espérons que les sans-culottes de LFI ne transformeront pas cette estrade de la commission des finances en échafaud.

Donc, c’est Emmanuel Macron qui décerne les brevets de respectabilité et décide qui a le droit de monter ou pas dans les carrosses de la République.

On l’aura compris, il ne s’agit pas tant de sauver la France que le soldat Macron.

S’il avait perdu les élections, Damien Abad aurait donné sa démission du gouvernement et l’affaire aurait été réglée. Net et sans bavure.

On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !

La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…

Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.

Emmanuel Macron a « besoin d’une majorité solide »… Pas tellement pour assurer la stabilité des institutions, comme lui et ses acolytes essayent de le faire croire, mais parce qu’ils ne savent pas faire autrement.

Lorsqu’un parti met en avant comme argument de vente, son tissu d’élus locaux, c’est pour mieux cacher son incapacité à

Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…
Quoi qu’il en soit, tout ceci concourt un peu à conforter l’image de notre pays « à l’international », comme ils disent : la France, pays des pieds nickelés.

A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?

Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?

Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.

Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.

Il reste une semaine et demie pour sortir les Français de la salle de réanimation…

Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.

Parmi ces cardinaux « bergogliens », on trouve un seul Français, Mgr Jean-Marc Aveline, archevêque métropolitain de Marseille. L’Église de France n’est plus ce qu’elle était !

Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.

Toujours intéressant de fouiller dans le passé d’un individu.

Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?

On aurait pu imaginer que Gérald Darmanin soit ministre des Polices et de la Souveraineté intérieure, dans un esprit de « reconquête républicaine »…

Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.

On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.

Il est évident que si la France devait être embringuée dans une guerre, les pertes seraient hors du commun avec ce qu’elle a pour l’instant subi dans les OPEX (opérations extérieures) de ces dernières décennies.

Grosso modo, les jeunes regardent de moins en moins la télé quand les « vieux » la regardent de plus en plus.
Maintenant, positivons : si, avec tous ces sondages, Emmanuel Macron ne connaît pas les Français…

La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…

Lepeletier de Saint-Fargeau, ancêtre de M. de Courson, vota la mort du roi. Espérons que les sans-culottes de LFI ne transformeront pas cette estrade de la commission des finances en échafaud.

Donc, c’est Emmanuel Macron qui décerne les brevets de respectabilité et décide qui a le droit de monter ou pas dans les carrosses de la République.

On l’aura compris, il ne s’agit pas tant de sauver la France que le soldat Macron.

S’il avait perdu les élections, Damien Abad aurait donné sa démission du gouvernement et l’affaire aurait été réglée. Net et sans bavure.

On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !

La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…

Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.

Emmanuel Macron a « besoin d’une majorité solide »… Pas tellement pour assurer la stabilité des institutions, comme lui et ses acolytes essayent de le faire croire, mais parce qu’ils ne savent pas faire autrement.

Lorsqu’un parti met en avant comme argument de vente, son tissu d’élus locaux, c’est pour mieux cacher son incapacité à

Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…
Quoi qu’il en soit, tout ceci concourt un peu à conforter l’image de notre pays « à l’international », comme ils disent : la France, pays des pieds nickelés.

A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?

Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?

Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.

Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.

Il reste une semaine et demie pour sortir les Français de la salle de réanimation…

Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.

Parmi ces cardinaux « bergogliens », on trouve un seul Français, Mgr Jean-Marc Aveline, archevêque métropolitain de Marseille. L’Église de France n’est plus ce qu’elle était !

Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.

Toujours intéressant de fouiller dans le passé d’un individu.

Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?

On aurait pu imaginer que Gérald Darmanin soit ministre des Polices et de la Souveraineté intérieure, dans un esprit de « reconquête républicaine »…

Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.

On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.

Il est évident que si la France devait être embringuée dans une guerre, les pertes seraient hors du commun avec ce qu’elle a pour l’instant subi dans les OPEX (opérations extérieures) de ces dernières décennies.

Grosso modo, les jeunes regardent de moins en moins la télé quand les « vieux » la regardent de plus en plus.
Maintenant, positivons : si, avec tous ces sondages, Emmanuel Macron ne connaît pas les Français…
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